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"Les dys : point de vue cognitif et implications pédagogiques"

"Les dys : point de vue cognitif et implications pédagogiques"
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Les principes d'un enseignement efficace Comment procède-t-on pour enseigner une nouvelle notion de manière efficace? Les recherches en psychologie cognitive sur le cerveau et l’apprentissage ainsi que celles sur les pratiques d’enseignement et d’apprentissage ont permis de dégager les principes d’un enseignement dit « efficace ». Cette infographie présente une adaptation du document « The Principles of Instruction », d’après les propos de Barak Rosenshine, professeur de l’University of Illinois. Pour consultation sur mobile, cliquez ici. Pour imprimer ce document, cliquez ici.

Apprendre autrement by Romance Cornet on Prezi Enseigner plus explicitement : l'essentiel en quatre pages Ce que dit le prescrit Le référentiel de l'Éducation prioritaire (« enseigner plus explicitement les compétences que l’école requiert pour assurer la maitrise du socle commun »), comme les programmes 2015 des cycles 2, 3 et 4, avec de nombreuses occurrences du terme «explicite», s’accordent sur la nécessité « d’enseigner plus explicitement ». Nombre de modalités sont recommandées au fil des pages : expliciter des techniques, des pratiques, des attentes, des règles, des stratégies, des démarches, des savoir-faire, des implicites dans la compréhension des textes, des connaissances préalables aux apprentissages... Des cadres théoriques différents Depuis quelques années, le vocable « pédagogie explicite » est utilisé par plusieurs courants de recherche au risque de malentendus : Les savoirs scolaires ne sont pas une somme de connaissances à accumuler dans la tête des élèves. Expliciter : comment, pourquoi, quand ? En résumé Des outils pour la formation ? Lire la suite... Pour aller plus loin

#CLASSINNOV - Le blog de la classe innovante du lycée Louis Armand (Eaubonne) La seconde innovante du lycée Louis Armand est une classe sans note coopérative qui favorisel’entraide entre élèves et la personnalisation des apprentissages. Le projet vise à lutter contre le décrochage scolaire en redonnant du sens aux apprentissages et en améliorant le bien-être des élèves au lycée. Ces derniers prennent part aux décisions et sont amenés à réfléchir par eux-mêmes aux solutions les plus adaptées pour répondre aux problèmes tant collectifs que personnels (du point de vue de leurs apprentissages et des compétences à acquérir). Des espaces d’expression et de décision leur permettent de gagner en autonomie, de prendre des initiatives et de mieux s’exprimer à l’oral ou à l’écrit (débats, journal des apprentissages, webradio, blog). Un bilan intermédiaire du projet : [

Les collèges connectés : une utilisation plus fréquente des outils numériques par les élèves, associée à une évolution des pratiques pédagogiques des enseignants Auteurs : Jeanne Benhaïm-Grosse, Stéphanie Moreau, Pascal Bessonneau, DEPP-B4 L'infographie Comparaison de l’indice moyen d’activités de différenciation pédagogique déclarées par les élèves en fonction du type d’utilisation du numérique en classe Tous collèges confondus, l’indice moyen d’activités de différenciation pédagogique est significativement plus élevé lorsque les élèves utilisent les outils numériques en classe, à l’exception de la Langue Vivante 1 (LV1). Par contre, on ne peut établir de différences significatives à ce niveau lorsque l’outil numérique n’est pas utilisé en classe et lorsque seul le professeur l’utilise. L'essentiel Les professeurs des collèges connectés de la première phase sont plus nombreux à faire utiliser les outils numériques en classe par leurs élèves. A contrario, lorsque l’enseignant seul utilise les outils numériques en classe, les méthodes d’enseignement semblent plus relever de pédagogies traditionnelles. Repères L’indice d’écosystème numérique.

Classe inversée : pistes et points de vigilance La classe inversée, pièges à éviter : une voix du terrain s’exprime Virginie Shipley, professeur de SVT au collège Chevreul à L’Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne, actuellement en poste et en master II de didactique des sciences expérimentales, répond aux questions de Marianne Durand-Lacaze, collaboratrice CARDIE sur le sujet de la classe inversée : réflexions et témoignage sur une pratique pédagogique très en vogue : quels sont les points positifs et négatifs de la classe inversée pour les élèves et pour les enseignants ? Quels sont les pièges à éviter pour que la classe inversée apporte une réelle plus-value pédagogique ? Parmi les questions posées : 1 Quelles est votre définition de la classe inversée ? 2 Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à la classe inversée ? 3 En vous appuyant sur votre expérience quels sont les points positifs que vous retiendriez ? 4 Quels sont les pistes de réflexion que vous proposez ? 7 Comment se poser la question de l’évaluation en classe inversée ?

» L’interdisciplinarité, 10 points à retenir et 10 ressources pour les équipes Chroniques en innovation et en formation Dans plusieurs académies à l’occasion de la formation des formateurs et de l’accompagnement de nombreuses équipes de collège sur site , nous[1] constatons la distorsion importante entre la dynamique des pratiques à l’œuvre, couplée à l’évolution des organisations engagée depuis quelques années et pourtant les inerties des représentations, ou encore les résistances des discours produits par ailleurs. Cette situation dialogique n’est pas inconnue ; elle marque une « transformation silencieuse » de l’Ecole, déjà évoquée dans un article précédent[2]. Un acronyme comme EPI cristallise l’attention comme les tensions. Il est intéressant de revenir, fort des expériences passées et actuelles, sur 10 points relatifs à l’interdisciplinarité au collège. Sommaire Entre, avec ou contre ? L’étymologie renseigne sur la polysémie de ce préfixe : inter- a trois acceptions : Q-sort sur l’interdisciplinarité, méthodologie pour un groupe, ou des équipes en formation Consignes de passation Un leadership actif

Intelligences Multiples - Enseigner en élémentaire Les Intelligences Multiples « Il n’y a pas 2 apprenants qui apprennent de la même manière. » a écrit R. Burns. Différencier les propositions pédagogiques de telle façon que chaque élève trouve à un moment ou à un autre une « prise » sur le savoir enseigné. Différents théoriciens ont réfléchi à la diversité des intelligences, aux notions de profils pédagogiques (A de la Garanderie par exemple). La question n'est pas de savoir dans quelle mesure l'élève est intelligent, mais de quelles multiples façons il l'est. VIdéo de présentation : présentation par B Hourst (conférence TEDx) Qu'est-ce que les intelligences multiples ? La théorie des intelligences multiples est due à Howard Gardner, psychologue cognitiviste et professeur de neurologie. Ses recherches ont conduit à une nouvelle définition du concept d’intelligence : au lieu de voir l’« intelligence humaine » en termes de score résultant de tests standardisés, Gardner la définit comme ayant trois composantes : 6/ l'intelligence interpersonnelle

revue scientifique internationale en éducation Numero View Articles scientifiques LEROUX, Mylène; MALO, Annie PRUD'HOMME, Luc; BERGERON, Geneviève; FORTIN, Annabelle LEROUX, Mylène; FONTAINE, Sylvie; SINCLAIR, Francine TREMBLAY, Philippe GUILLEMETTE, Suzanne; MORIN, France; SIMON, Louise CAPITANESCU BENETTI, Andreea PERRENOUD, Olivier FORGET, Alexia; LEHRAUS, Katia LECLERC, Martine; DUMOUCHEL, Catherine; DE GRANDPRÉ, Martine CAPITANESCU BENETTI, Andreea Chroniques Technologies en éducation KARSENTI, Thierry Intervention éducative GAGNÉ, Ysabelle Formation des maîtres SIMARD, Denis; CARDIN, Jean-François Éthique en éducation JEFFREY, Denis Recherche étudiante GAGNÉ, Andréanne Recension HARVENGT, David Télécharger le numéro complet * Les articles d'un numéro sont mis en ligne dès qu'ils sont prêts, afin de diminuer les délais de publication.

L’essentiel sur… : L’utilisation de l’interdisciplinarité dans le secondaire Reverdy Catherine (2016). « L’utilisation de l’interdisciplinarité dans le secondaire ». Document Veille & Analyses, IFÉ. Lyon : ENS de Lyon. Disponible au format PDF : Reverdy_2016_Interdisciplinarité La problématique de l’interdisciplinarité telle que présentée dans la réforme du collège prévue en 2016 en France est beaucoup plus large que la question déjà complexe des contenus d’enseignement. On comprend que cette question cristallise les débats et soit complexe à aborder dans son intégralité. Les matières scolaires sont des constructions sociales organisées Les disciplines académiques abordées par les enseignants lors de leurs études résultent d’un partage global du savoir. L’interdisciplinarité se pratique peu en classe : pourquoi ? Les chercheurs en éducation observent que les séquences d’interdisciplinarité dans les classes sont en réalité pluridisciplinaires, et qu’il y a peu d’interdisciplinarité effective. Quelques définitions pour appréhender le problème Documents officiels

Analyse critique des concepts de persévérance et de réussite en Belgique Paru en 2015 dans la Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur (RIPES) l’article Vers une meilleure compréhension de la persévérance et de la réussite académique : analyse critique de ces concepts adaptée au contexte belge francophone vise à définir les concepts de persévérance et de réussite afin de les opérationnaliser et d’en accroître la portée en Belgique francophone où, depuis trente ans, le taux d’échec avoisine les 60% pour les étudiants de première année dans l’enseignement supérieur. Parmi ces étudiants en échec, plus de 25 % décident d’abandonner l’enseignement universitaire. Cette donnée peut étonner, mais une enquête de l’OCDE (2013) confirme ces taux à un niveau européen. La problématique de l’échec et de l’abandon est souvent mise en exergue lors de la transition secondaire-universitaire. Cependant, ce problème ne se limite pas à la première année et s’étend à tout le cursus universitaire. L’article est structuré en quatre points:

Bulletin de veille no.6 - février 2016 - L’évaluation et la rétroaction par les pairs en enseignement supérieur Rédigé par Claude Boucher, conseillère en pédagogie universitaire et chargée de cours à l’UQAT. La question de l’évaluation des apprentissages, et plus spécifiquement, la rétroaction qui y est intimement liée, sont souvent considérés comme des sujets épineux en enseignement supérieur (Berthiaume et Rege Colet, 2013 ; Nicol, Thomson et Breslin, 2014). En effet, bien que la rétroaction soit reconnue comme un élément essentiel au processus d’apprentissage, plusieurs études révèlent que les étudiants sont moins satisfaits de la rétroaction reçue, que de tout autre aspect lié à leurs cours (Nicole, Thomson et Breslin, 2014, p. 102). La façon de palier la plus fréquente observée consiste à tenter d’améliorer la qualité de la rétroaction donnée par les enseignants, contexte qui prend tout de même souvent l’allure d’un monologue. Or, Nicol (2010) suggère plutôt que la rétroaction soit abordée comme un dialogue entre l’enseignant et les étudiants. Les questions de cette recherche sont :

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