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Exercices pour mieux écrire

Exercices pour mieux écrire

Des activités pour bien tenir son crayon en ps Quelques idées inspirées de Danièle Dumont, pour apprendre à bien tenir le crayon en Petite Section… Je travaille d’abord sur la reconnaissance des doigts de la main, avec une chanson des Versini : Le_pouce_me_pousse et en traçant le contour de sa main pour nommer chaque doigt puis composer un paon avec les mains de tous les copains… Je focalise ensuite sur les trois doigts nécessaires à la prise du crayon, en faisant faire “la tête du lapin” : avec le pouce, l’index et le majeur, qu’on apprend à reconnaître sur sa propre main puis sur le dessin d’une main : La fiche de travail correspondante : fiche_reconnaissance_des_doigts_pouce_index_majeur Et pour finir, on apprend à reconnaître la bonne position des doigts qui permet de réaliser la tête du lapin. La fiche de travail correspondante : _fiche_reconnaissance_des_doigts_t_te_de_lapin_

Liaison lecture / écriture : la quadrature du cercle N'écrire que ce qu'on sait lire ou ne lire que ce qu'on sait écrire ? En grande section de maternelle, puis en cours préparatoire, on apprend à lire et à écrire. Or, quatre grands principes doivent à mon sens gouverner ces apprentissages, principes qui rendent leur programmation dans le temps extrêmement difficile. 1/ Il faut toujours aller du simple vers le complexe. 2/ Il ne faut demander à un élève de faire que ce qu'on lui a appris à faire. 3/ C'est en écrivant qu'on apprend le mieux à lire. 4/ On ne doit écrire que ce qu'on peut lire. Si la progression du simple vers le complexe était la même en lecture et en écriture, tout irait pour le mieux. En écriture, le début de la programmation est à peu près immuable, puisqu'on progresse en fonction de la forme des lettres. En lecture, on commence souvent par les voyelles : a, e, i, o, u (avec ou sans le y selon les méthodes), puis par des consonnes facilitant la fusion syllabique : l, m, r, ch... Une progression logique en écriture

L’écriture de l’enfant – Ajuriaguerra | Aide mémoire dys Le langage exprime la pensée par le mouvement significatif. (5) "L’écriture est praxie et langage… Elle est une gnosie-praxie" (6) Le développement de l’écriture est mesurable : "elle est fonction d’une part de facteurs maturatifs, organo-fonctionnels… d’autre part d’un apprentissage scolaire hiérarchisé." Comme tout activité motrice, elle garde aussi un style personnel. Exigences sociales : mise en page, libilité, rapidité. Apprentissage : forme des lettres, levers de plume, modes de liaison. (7) Plan : évolution de l’écriture évolution de la trace graphiqueévolution de la motricité sous l’angle des positions, du tonus, du mouvementles difficultés d’apprentissage : analyse de leur mécanisme à partir d’examens graphométriques et psychologiques, avec un point de vue génétique et pathologiqueméthodes de rééducation Remerciements Hélène de Gobineau. L’écriture est un témoin : Renée Piscart (1950) a recueilli plus de 40 000 écritures, Vin Bang, 7 000. Principes de l’échelle analytique : Rq.

Test de Mesker et Latéralité grapho-motrice Dr Jean Raynaud Ce travail est fondé sur la traduction du livre de P.MESKER qui porte originellement le titre « la main humaine », traduction réalisée dans le cadre de l’Association Française d’audio-psycho-phonologie. Ce livre fonde une pratique et il pose un certain nombre de questions essentielles que j’ai essayé de préciser. En premier lieu celui du développement psychomoteur qui doit être centré sur l’exécution motrice. Il révèle l’importance du bilatéralisme et pose la question fondamentale de la dominance cérébrale. Il permet une évaluation du degré de maturité cérébrale donc motrice et met en évidence l’importance du corps calleux, le grand oublié des méthodes pédagogiques actuelles. Il permet de comprendre les raisons principales les plus fréquentes des échecs scolaires si nombreux et souvent si catastrophiques pour l’avenir d’un certain nombre d’enfants, dont les plus défavorisés socialement mais aussi ceux qui le sont le moins. Jean RAYNAUD By P. F = Firmnes ­ = Centrifugal G = Good

La rééducation de l’écriture chez l’adulte L’écriture est un geste acquis qui exige certaines habilités motrices. Le geste réussi, efficace et abouti est souvent machinal. L’écriture s’organise presque à l’insu de son auteur et seul son but est soumis à la volonté consciente. Mais pour celui dont l’écriture se dégrade, le geste ne se soumet plus, il résiste, il fait souffrir et c’est là tout l’enjeu d’une rééducation de l’écriture. La difficulté graphique ne s’installe pas brusquement du jour au lendemain (sauf dans les cas d’accidents cérébraux vasculaires ou autres) mais de façon insidieuse. Les conséquences de cette régression peuvent être multiples. Ces adultes n’osent pas en parler et encore moins aller consulter. Souvent, nous nous trouvons face à une dystonie de fonction ou une crampe de l’écrivain. Avant de s’engager dans une rééducation, un examen approfondi du geste d’écriture est pratiqué. Klara Leclercq BackesGraphothérapeute, rééducateur de l’écriture

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