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Les meilleurs légumes sauvages - Aurora

Les meilleurs légumes sauvages - Aurora

Fiches Recettes De bien belles racines En général, les plantes sauvages dont les racines sont comestibles (bardane, pissenlit, carotte, panais, onagre) produisent des tubercules beaucoup moins volumineux que les habituels légumes cultivés. Les croisements, sélections et autres stratégies « eugénistes » ont permis, parfois en quelques décennies, souvent au bout de plusieurs siècles, d’augmenter plus que significativement leur taille. Ce n’est pas le cas de la plupart des plantes sauvages, mais on trouve pourtant quelques exceptions dans la nature. C’est le cas de la ravenelle (raphanus raphanistrum, ou radis sauvage) qui en ce moment même est au sommet de sa croissance souterraine, au point que si le sol s’y prête, il est assez facile de trouver des tubercules dépassant les 200g une fois pelés ! En plus, elle est très facile à reconnaitre ! Jusqu’à présent, je n'avais utilisée que les racines crues. Ravenelle glacée Ingrédient (accompagnement pour 4) : Préparation :

La cueillette de plantes, quelques erreurs à éviter. « Il y a quelques erreurs élémentaires à éviter absolument quand tu fais une cueillette ! » m’a-t-on murmuré un jour au détour d’une promenade. Alors j’ai décidé de partager ici avec vous ces règles de savoir-cueillir. Erreur n° 1 : le sac plastique C’est peut-être le sac que le cueilleur débutant va prendre le plus facilement en partant de chez lui pour une cueillette de plantes ou de champignons… Grave erreur car au contact du plastique, la cueillette se gâte ! Le conseil : privilégiez des sacs en tissu ou encore un panier en osier dont le fond sera recouvert d’un tissu confortable pour vos trouvailles. Si vous vous promenez, essayez de retarder le moment de la cueillette pour garder des plantes de première fraîcheur avant de les cuisiner. Je me rappelle de coprins chevelus (des champignons) qui n’avaient pas apprécié du tout le sac plastique… Il en va de même pour certaines herbes fragiles comme la stellaire (une salade sauvage). Erreur n° 2 : piller le spot

raviolis très ail des ours Pour 18 gros raviolis: (Devrait suffire pour 3 personnes) une portion de pâte à l'ail des ours (voir message précédent) du temps un laminoir de la farce: 200 gr de ricotta 20 gr de pignons hachés 40 gr de parmesan râpé 1 c s de chapelure 1 c s d'huile d'olive sel, poivre, paprika 1 c c de vinaigre 50 gr de feuilles d'ail des ours finement hachées tout mélanger, vérifier l'assaisonnement Couper la pâte en gros carrés, poser une boulette de farce, mouiller la pâte au pinceau, poser une 2e couche de pâte, recouper les bords, poser sur une feuille de papier sulfurisé fariné. J'aurais voulu des gros raviolis ronds, genre soucoupe volante de martien tout vert, mais je n'avais pas le bon emporte-pièce. Cuisson: 5 minutes dans une casserole d'eau frémissante, sortir à l'écumoire, arroser d'un filet d' huile d'olive. C'est long à confectionner. Mais c'est tellement bon...

soupe glacée aux herbes sauvages Pour 2 personnes: Promenez-vous dans un jardin et mettez dans le pot du blender: 3 à 4 feuilles de consoude 4 ou 5 têtes d'orties 5 gros brins de persil quelques feuilles de roquette 1 carotte 1 tomate ajoutez encore 1/3 de banane, quelques glaçons, un peu d'eau, sel et poivre. Mixez. Versez dans 2 verres, ajouter 1 c s de crème acidulée, quelques fleurs comestibles. Munissez-vous d'une cuillère, taille moyenne. Et installez-vous au soleil. Cuisinez les plantes sauvages comestibles, récolte, cueillette et recettes. Les plantes sauvages comestibles : La nature nous offre des merveilles, des plantes poussées librement, et qui peuvent être utilisées en cuisine, pour leur saveur agréable ou pour leurs vertus thérapeutiques, en tisanes, infusions, décoctions, en onguents, en crème, en macérats... Certaines sont intéressantes par la totalité de la plante, d'autres par leurs feuilles, leurs bourgeons, leurs fleurs, leurs fruits, leurs écorces... Certaines plantes serviront pour les assaisonnements : thyms, romarins, sariettes,... ou les tisanes et décoctions à consommer pour le plaisir ou pour leurs propriétés médicinales. Certaines plantes sont des versions sauvages de légumes courants comme les poireaux et les asperges sauvages. Beaucoup de plantes sauvages s'utilisent comme des légumes : feuilles de bourraches, de pissenlit... tisanes,infusions,décoctions,alcools,apéritifs,sirops,confitures,plats,salades sauvages,confits,glaces,sorbets,confitures,gelées,... La cueillette ou la récolte Les noyers sauvages

Mangeons nos mauvaises herbes! Les mauvaises herbes sont des plantes compagnes de l’homme depuis la nuit des temps. En effet, elles se plaisent dans les milieux anthropiques (sols nus, retournés, tassés, riches en matières organiques et azotées d’origine humaines ou du bétail) et il est vraiment étonnant de voir à quel point elles peuvent justement être utiles à l’homme. Un troublant rapport gagnant/gagnant. Décidément la Nature fait vraiment bien les choses… En effet, après différentes recherches et expériences sur les plantes sauvages comestibles, quelle ne fut ma surprise de constater que la quasi-totalité des « adventices » de mon modeste potager étaient potentiellement nourrissantes, délicieuses, voire médicinales! Oh, j’entends d’ici les mauvaises langues aller bon train et filer les quolibets tels les stolons de fraisiers du mois de juillet. En effet, les « mauvaises herbes » ont différentes qualités et utilisations pas forcément évidentes au premier abord : Petit tour d’horizon des sans-papiers de mon potager :

Tour d’horizon des légumes perpétuels et vivaces A une époque où l’on cuisine du durable (et pas que de lapin) à toutes les sauces, peut-être est-il bon de réfléchir à de nouvelles manières d’envisager nos propres légumes. Le jardinage ne serait-il pas lui aussi soumis à la frénésie consumériste au même titre que le reste? Nos légumes actuels sont le fruit d’une sélection basée sur une certaine façon de cultiver, de "consommer" le jardin. cerfeuil tubéreux – Chaerophyllum bulbosum La valeur du travail est très importante dans nos sociétés occidentales mais le temps qu’on peut passer pour ne pas faire grand-chose frise parfois le ridicule. Il ne s’agit ici pas de jeter le bébé avec l’eau du bain ni de cracher dans la soupe à la tomate, mais d’envisager que ce qui nous semble évident et immuable n’est peut-être, elle aussi, qu’une construction mentale comme les autres. egopode podagraire – Aegopodium podagraria L’utilisation de légumes vivaces est actuellement cantonnée aux asperges et artichauts. ail des ours – alium ursinum Like this:

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