Une première application iPad pour découvrir l’oeuvre de Keith Haring et revivre son époque Au début du mois de mai 2013, la Keith Haring Foundation a officiellement annoncé la publication de la première application dédiée à Keith Haring et destinée aux iPad. Développée par la société Art Intelligence, l’application payante ne se contente pas de raconter l’artiste et son oeuvre, mais elle resitue également le travail créatif de Keith Haring dans son époque. Afin d’accompagner les deux expositions majeures à Paris, l’application est proposée en langue anglaise et française. Conçue en étroite relation avec la Keith Haring Foundation qui gère la succession de l’artiste, l’application Art Intelligence: Keith Haring, la politique de la danse se veut une « nouvelle façon radicale pour se connecter au monde de Keith Haring et au monde de l’art et revivre l’époque et la conception joyeuse et insouciante que Keith Haring avait de la vie, de l’art, de la politique, de la musique et de la danse ». Des contenus très riches organisés en 4 parties . Le soutien de la fondation Keith Haring
Institutions culturelles et applications mobiles : état des lieux et enjeux via le prisme des musées Bonjour ! si vous venez sur notre site pour la première fois, vous voudrez peut-être souscrire à notre flux RSS pour être tenu informé des nouveaux articles. Merci d'avoir consulté Culture-Conseil.com. J’ai publié récemment les résultats d’une étude « Applications mobiles des musées en France : état des lieux » dans le groupe Culture Conseil que j’administre sur Linkedin (j’interviens en effet régulièrement sur un certain nombre de groupe de discussion sur Linkedin ou Viadéo). Résultats de l’étude Applications mobiles des musées en France : état des lieux Cette étude a été réalisée auprès des responsables de la communication de cent musées français entre février et avril 2011 par BulkyApps, la division dédiée aux applications d’entreprises sur smartphones de BulkyPix. Un des contributeurs du groupe, Omer Pesquer (@_omer) m’a fait remarquer qu’ Applications mobiles : gratuites ou payantes ? Omer m’a alors justement fait remarquer que
Une carte de bibliothèque dans le téléphone Brian Herzog, sur son blog Swiss Army Librarian, vient de publier un billet intitulé :Scanning Library Cards on Smartphones. Il s'agit d'offrir un nouveau système d'emprunt aux usagers qui voudraient utiliser leur smartphone comme carte de biblitohèque. 1. On savait déjà le téléphone au cœur des intérêts des spécialistes de marketing et, de fait, le smartphone s'est vu héberger nombre de nouvelles fonctionnalités depuis la validation de son titre de transport, au porte-monnaie électronique pour payer ses courses au supermarché ou dans une boutique, grâce à la technologie NFC (Near Field Communication). Alors pourquoi pas des codes-barres de bibliothèques ? Il suffirait de rentrer non les données usagers mais son identifiant dans la puce que l'automate pourrait ainsi reconnaître rapidement. un peu comme si vous aviez une puce RFID dans votre mobile en quelque sorte. 2. Dans son billet, Brian Herzog propose de ne pas même attendre ces fameuses puces NFC.
Geoffrey Dorne: « presque aucun site de musée français n’est véritablement adapté pour les tablettes et pour les téléphones mobiles » Geoffrey Dorne est l’un des deux initiateurs de la Responsive Museum Week, qui a encouragé les internautes à « hacker » les sites web des musées pour les rendre plus mobiles. Il nous explique les raisons d’une telle initiative et la nécessité d’adapter les sites web des musées à l’expérience mobile. . L’initiative est née de l’observation du nouveau site Internet du centre George Pompidou à Paris. Après un rapide tour d’horizon, nous avons observé que presque aucun site de musée français n’était véritablement adapté pour les tablettes et pour les téléphones. . Ils ne sont pas en retard, non. . Oui, le très intéressant site web du Children’s Museum de Pittsburg. . Une application mobile dite « native » est souvent conçue pour un OS de téléphone mobile en particulier. . Les conséquences d’un site Internet non accessible sur tablette ou smartphone sont multiples. . Je n’ai pas la réponse de ce qui est décidé en interne dans les musées. . non. . Non plus. . . . Mon métier est designer.
Le musée participatif Les attentes des citoyens en termes d’interaction, de participation et de collaboration est aujourd’hui évidente. Les musées aussi se trouvent concernés par cette évolution. Cette tendance, parfois décriée par les responsables des institutions, est sans aucun doute prometteuse d’une relation renouvelée avec leurs publics, visiteurs ou non-visiteurs. Le musée-outil y trouve certes ses lettres de noblesse, et satisfait à l’une de ses missions principales : être au service de la société et de son développement (Définition de l'ICOM/Statuts de l’ICOM, adoptés lors de la 21e Conférence générale à Vienne en 2007). Cependant face à l’explosion d’initiatives, une réflexion s’impose. Voici quelques exemples pour nourrir la discussion très vive au sein des musées : pourquoi surfer sur la vague du musée participatif ? Recourir à la métaphore de la navigation n’est pas innocent. L'opération Go du Brooklyn Museum En septembre 2012, le Brooklyn Museum (Musée d’art de New York) a lancé l’opération Go.
Museums2Go La réalité augmentée entre au musée Les expériences du British Museum Shelley Mannion, responsable des programmes d’apprentissage numérique au British Museum, a publié deux articles sur la réalité augmentée et sur les expériences qu'elle a menées au sein de la célèbre institution londonienne. Le premier article, en anglais, publié sur Museum iD, relate les projets exploratoires de réalité augmentée utilisée dans un contexte d'éducation muséale. On y définit d'abord la réalité augmentée comme la possibilité de voir ou d'entendre, dans un contexte donné, une information pertinente superposée à ce que l'on voit dans le monde réel. D'abord, la réalité augmentée peut être un outil qui s'apparente au guide touristique, un outil d'exploration, par exemple de bâtiments ou d'espaces patrimoniaux dans une ville, un quartier. d'expériences en art médiatique. L'une de ces expériences a été pensée pour les jeunes visiteurs : ceux-ci avaient à faire une collecte d'images 3D dans les salles d'exposition. What is Augmented Reality?
La fin du navigateur ? (Adaptation d'un article en anglais publié sur mon blog officiel Mozilla, Beyond the Code, sous le titre What if the browser disappeared?). Merci à Framalang (Sky, Slystone, goofy) pour la traduction. L'autre jour, je lisais un article provocateur intitulé The end of the browser? (NDT : « La fin du navigateur ? Bien qu'en désaccord avec l'auteur, je pense qu'il s'agît d'une question très intéressante qui soulève deux problèmes : Et si le Web était remplacé par les applications mobiles natives ? Et si le Web était remplacé par les applications mobiles natives? Je pense que le monde y perdrait énormément. Liberté d'expression Le Web n'est pas seulement fait de contenu commercial. Liberté de façonner mon expérience Les navigateurs Web modernes sont équipés d'un système d'extensions qui permet aux utilisateurs de personnaliser leur expérience. Liberté d'apprendre, de bricoler et de créer Ce qui rend le Web différent des autres médias est la possibilité pour chacun de participer.
Pratiques culturelles et technologies numériques en Aquitaine en 2012 Pour la première fois en Aquitaine, une enquête a été menée sur les pratiques culturelles et l’utilisation des technologies numériques à des fins culturelles. Les résultats de cette étude menée par AEC – l’agence des initiatives numériques en Aquitaine – sont à lire dans une note stratégique produite en partenariat avec la Direction de la Culture et Patrimoine de la Région Aquitaine. Cette étude a été conduite dans le cadre de l’enquête annuelle portant sur « Les pratiques et usages des technologies numériques par les Aquitains », qui sera présentée le 10 décembre prochain à l’Hôtel de Région Aquitaine. Les pratiques culturelles des Aquitains, à l’image de celles des Français, présentent de forts déterminismes sociaux. Tous les Aquitains ne sont pas égaux face à la culture et leurs choix sont à la fois dictés par des goûts personnels et par l’influence du milieu social dans lequel ils évoluent.
Tumblr 2012: guide d'utilisation pour un usage professionnel Application #iPad: The Design Museum Collection – une des meilleures » Vicrabb's Dev Home Nous avons tous conscience qu’il existe des musées sur tout, même sur Internet. Mais nous avons tous l’image du musée d’histoire, d’art ou des sciences naturelles, en d’autres termes, des squelettes, des momies et des tableaux. Et pourtant, il existe des établissements proposant d’explorer le design, comme le Design Museum de Londres. The Design Museum Collection est la seconde application de l’institution mais est surtout la première sélection de leur catalogue qui est mise en ligne. Le damier des objets… Dès l’accueil, vous comprenez que la vue en damier des objets va amener une surprise. Décalage vertical (dernière colonne) Décalage horizontal (dernière ligne) Touchez un objet pour atterrir sur sa fiche description. Ce qui change aussi, c’est la possibilité de partager via Twitter ou Facebook vos objets préférés, d’y ajouter un petit commentaire et d’enregistrer vos designs favoris. Technique, commentaires et… partage! Et vous constaterez que j’ai écrit « filtrer par catégorie ».
Applications: les musées américains préfèrent encore Apple à Android Le Blog américain Musems2go a réalisé une étude intéressante sur la pénétration des applications Androïd dans les musées américains. Les résultats sont assez significatifs : si Apple a suscité un engouement incontestable, les institutions sont plus réticentes à lancer des dispositifs mobiles compatibles avec des terminaux dits Androïd. Explications et données chiffrées. Androïd boudé par les musées américains Alors que la presse américaine célèbre la récente victoire d’Androïd aux USA, l’implantation de l’OS n’est pas aussi flagrante dans la sphère muséale. Bien au contraire. Et la double application iPhone/Androïd n’est d’ailleurs pas systématique pour les institutions. Le marché Androïd remis en questions Pourquoi un tel écart ? L’attrait des développeurs pour l’OS d’Apple reste largement supérieur : entre août 2010 et février 2011, Apple a attiré 24 000 contre 4 000 dévellopeurs chez Androïd. Auteur : Simon Hübe Source : museums2go Image : wallbase.cc
Bibliothèques et terminaux mobiles Mi-juin, j'ai proposé dans un stage de formation continue une intervention sur les usages possibles, en bibliothèque, des terminaux mobiles. Mon intervention était proposée en plusieurs temps : ainsi, après avoir précisé le champs de l'intervention (Typologie de terminaux mobiles ; Usages et usagers ; L’offre aujourd’hui en matière culturelle), et avoir précisé quelques points (différence entre un site mobile et une application par exemple), j'ai dressé un panorama de ce qui se faisait à partir d'un terminal mobile (Quels ressources pour quels services ?) en terminant par des points plus spécifiques à ce genre de terminal (usages des QRCodes, géolocalisation et géoréférencement, réalité augmentée). Vous trouverez en dessous le plan de l'intervention 1. De quoi parle-t-on ? Mon propos n'était pas de rentrer dans des considérations techniques. J'espère qu'il vous sera tout autant utile (cliquer sur l'image)
Online Engagement Grows Across France – March 20, 2012Posted in: Engagement, Europe In February 2012, 47.6 million unique visitors in France went online for an average of 24.7 hours over the course of the month. While the total internet audience increased by 1 percent over the past year, average engagement saw higher growth at 5 percent.