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Les majors d'Hollywood : des gardes-barrières centenaires

Les majors d'Hollywood : des gardes-barrières centenaires
La vague de conglomération commencée dans les années 1980 a permis aux majors de trouver une structuration qui tient la route. Aujourd’hui, les rachats et fusions continuent. Si les contours exacts des entreprises sont toujours mouvants, les grands acteurs restent les mêmes. Des huit majors qui ont fondé le système hollywoodien dans les années 1920, une seule, RKO, a disparu. MGM et United Artists ont périclité et sont devenues des satellites. À l’inverse, Disney et, dans une moindre mesure, DreamWorks, ont rejoint la cour des grands. La tour Warner Bros Les majors ont également fortement travaillé leur relation à l’État. [4], c’est à partir des années 1990 que la pratique du lobbying auprès du Congrès s’est véritablement développée. En ce début de XXIesiècle, les majors sont donc fortes dans leur structuration et assurées du soutien de l’État. [5] qui propose un système de blocage des sites américains et étrangers contrevenant aux lois sur la propriété intellectuelle. [6] en 2007. Related:  cinéma

Le nouveau cinéma indien | Festival International du Film de la Rochelle par Barbara Lorey de Lacharrière Lorsque l’on parle cinéma indien on pense systématiquement "Bollywood". En effet, l’Inde, premier producteur mondial de films de cinéma, attire non seulement quotidiennement des milliers de spectateurs dans ses salles, mais ses films hindi couleur bonbon avec leurs chants et danses exubérants et fondés sur un star system hyperefficace sont également devenus un article d’exportation rentable à destination des communautés indiennes et d’autres fans dans le monde entier. Malheureusement, la gigantesque et puissante Bolly-, Tolly-, Nollywood machinerie de rêves – l’opium du peuple, selon certains critiques en Inde – bloque souvent la route aux films des auteurs indépendants, régionaux, vers le circuit international. Sa culture hégémonique menace de plus en plus la distribution de cette production multiple et parallèle en Inde même. Pour un cinéaste bengali, toucher à Tagore en apportant librement des modifications au texte initial, est toujours un sacrilège.

PRES DE 400M$ POUR INTOUCHABLES DANS LE MONDE | Près d’un an après sa sortie en France, INTOUCHABLES continue sa formidable carrière à travers le monde avec une sortie très remarquée ce week-end en Australie. La comédie engrange ainsi 1,2M$ sur 66 copies, affichant une moyenne par écran 2 fois supérieure à celle d’ARGO ! Cela permet au film de cumuler dans le monde 398,9M$, soit le 159ème plus gros succès de tous les temps (derrière TRON LEGACY et devant MISSION : IMPOSSIBLE III) et le 11ème en 2012 (derrière PROMETHEUS et devant BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR). Notons que l’Europe représente tout de même 80% des recettes avec une petite déception au Royaume-Uni où le film n’a rapporté que 2,5M$. Plus gros territoires (en italique les carrières en cours) 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. INTOUCHABLES n’en finit pas de cartonner. INTOUCHABLES cumule à date 339,5M$ dans le monde. France 166,1M$ Allemagne 76,8M$ Espagne 19,5M$ Italie 18,8M$ En Corée du Sud 11,1M$ INTOUCHABLES cumule à date 336,3M$ dans le monde. MISE A JOUR DU 6 MARS 2012 (merci à Yves!)

Kollywood Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kollywood est le nom donné au cinéma en langue tamoule produit à Chennai (anciennement Madras), dans le sud de l'Inde. Comme « Bollywood », le terme « Kollywood » est un mot créé en combinant les noms Kodambakkam (le quartier de Chennai dans lequel sont implantés les studios de cinéma) et Hollywood. Les films[modifier | modifier le code] Les premiers films produits à Chennai datent de 1916. Les films, tournés en tamoul, comportent généralement plusieurs numéros musicaux et de danse. Films populaires[modifier | modifier le code] Personnalités emblématiques[modifier | modifier le code] Acteurs et actrices[modifier | modifier le code] Chanteurs de playback[modifier | modifier le code] UnniKrishnan ~ Sripathi Panditharadhyula Balasubrahmanyam ~ TM. Chorégraphes[modifier | modifier le code] Prabhu Deva ~ Raghava Lawrence Réalisateurs[modifier | modifier le code] Compositeurs[modifier | modifier le code]

Qui sont les plus gros producteurs de films ? La lecture de ses commentaires est souvent au moins aussi édifiante que celle de l’article censé leur servir de support ; elle permet, pour le moins, de prendre la mesure de ce que l’illettrisme s’est installé dans les mœurs comme une normalité parfaitement admise. Ne voit-on pas ici, sur le site du Monde diplomatique, dont le seul titre devrait inciter certains à la prudence, des commentateurs ne sachant pas même déchiffrer le nom de l’auteur et, restant dans la seule bulle de leur fantasme, en travestir la graphie ? C’est ainsi que, pour d’aucun, Feigelson s’écrit désormais Feigelman ! Les États-unis ne s’y sont pas trompés qui, assez rapidement au regard du caractère récent de l’invention technique, ont littéralement submergé, c’est-à-dire ENVAHI le monde de leur production.

Jean Dujardin et «Amour» charment les Oscars 2013 Notez l'article En anglais mâtiné d’un bel accent français, l’acteur Jean Dujardin a apporté un peu de «french touch» à la 85e cérémonie des Oscars dimanche soir à Hollywood pour récompenser la meilleure actrice. L’acteur qui s’est distingué l’an dernier pour son rôle dans «The Artist» a fait un éloge des actrices, énumérant les qualités qu’il aurait s’il était lui-même une actrice. «Si j’étais une actrice, je serais sexy», a-t-il lancé, prenant son air le plus séducteur, avant de conclure: «Si j’étais une actrice, je serais... un meilleur acteur». L’acteur aurait pu remettre l’Oscar à sa compatriote Emmanuelle Riva, en compétition pour son rôle dans «Amour» mais la récompense a été remportée par la jeune Américaine Jennifer Lawrence pour son rôle dans «Happiness Therapy». Le drame «Amour» anéanmoins poursuivi sa moisson de prix en recevant l’Oscar du meilleur film étranger. Voici les lauréats dans les principales catégories : MEILLEUR FILM - «Argo» de Ben Affleck - «Rebelle» (studio Pixar)

fr.wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nollywood est un mot-valise évoquant l'importance du cinéma du Nigéria . Deuxième puissance cinématographique au monde en termes de nombre de films depuis 2009 [ 1 ] , devant les États-Unis ( Hollywood ) et derrière l' Inde ( Bollywood ), le Nigéria produit chaque année 2 000 films vidéos dont le coût estimé ne dépasse pas 20 millions d'euros [ 2 ] . Son public régulier est estimé à 150 millions de spectateurs. Dénomination [ modifier ] Le terme « Nollywood » est un mot-valise associant le « N » de Nigéria et le « ollywood » de Hollywood (suivant le même modèle que l'expression Bollywood : « B » de Bombay et « ollywood » de Hollywood) [ 3 ] . Histoire [ modifier ] Nollywood est née dans les rues de Lagos grâce au commerce informel des vendeurs de rue à la fin des années 1980 . Économie [ modifier ] Le pays comptant peu de salles de cinéma, les films sont édités pour le marché de la vidéo. Sujets et esthétique [ modifier ] Annexes [ modifier ]

Vers l’émergence d’un « Ouagawood » au Burkina Faso Le cinéma burkinabè, moribond depuis plusieurs années, a retrouvé un second souffle avec des films « low cost ». Cela ressemble à Nollywood, l’industrie du cinéma populaire au Nigeria, et cela qui n’a rien de très flatteur. Dans des films aux titres accrocheurs tels que Traque à Ouaga, Un fantôme dans la ville ou encore Faso Furie, la réplique et le jeu d’acteur manquent souvent de naturel. Le cadrage, l’éclairage et le son laissent parfois aussi à désirer. Rien d’étonnant quand on sait que les réalisateurs les plus emblématiques de cette « nouvelle vague » ne sont pas des professionnels du métier. Et pourtant… ils tournent et sont plus féconds que leurs aînés. Le cinéma dit « low cost », qui a fait son apparition au Burkina au milieu des années 2000, rencontre l’adhésion grandissante d’amateurs d’images réalisées dans leur pays. Des titres racoleurs Lire aussi Pourquoi ce match Fespaco - Nollywood ? Sophie Garcia pour "Le Monde" › Accéder au portfolio Une dizaine de studios

Exception culturelle : Et si l’Europe cédait à l’Amérique ? L’"exception culturelle" est fondamentale pour assurer l'avenir du cinéma européen. Sans subventions, la production européenne cessera d'exister, s'inquiètent des réalisateurs du Vieux continent, alors que Bruxelles s'apprête à négocier sur la question avec Washington. Annoncées depuis le début de l'année, les négociations entre l'Union européenne et les Etats-Unis sur la création d'une zone de libre-échange suscitent l'enthousiasme, mais aussi des doutes. "Cet accord permettra de créer des emplois et de stimuler la croissance économique des deux côtés de l'Atlantique", a annoncé le président du Parlement européen Martin Schulz, soutenu par la majorité des ministres de l'économie de l'UE. En 1998, la Commission européenne a harmonisé les règles grâce auxquelles les œuvres cinématographiques et audiovisuelles européennes bénéficient d'un traitement particulier, basé sur la règle de "l'exception culturelle". Remise en question globale Lettre ouverte Difficile d’être rassuré

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