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Les principes

Les principes
Classe numérique inversée et classe Freinet au collège 1. Les Principes Le premier principe est de favoriser les apprentissages, savoirs, savoirs être, savoirs faire. Le deuxième principe est de prendre l’enfant dans sa globalité, son universalité et sa singularité afin de le mettre en situation de réussite et de favoriser les compétences qu’il possède en amont. Il est nécessaire de partir de ses représentations et de ses centres d’intérêts. Le troisième principe est que les élèves doivent être propriétaires de leur projet. Le quatrième principe est de favoriser l’autonomie et l’entraide. 2. La séquence de cours (c’est à dire le nombre d’heures consacré pour un chapitre) est le premier outil à ma disposition pour parvenir à mes objectifs. a. Les élèves ont reçu la fiche d'objectif du chapitre au moins une semaine avant le début de la séquence. Enfin, ils doivent remplir leur plan de travail en indiquant ce qu’ils prévoient de faire lors des séances de travail. b. >> Les tâches complexes a. Related:  Classe inversée et alterpédagogies

La classe inversée en enseignement professionnel En fonction de l’avancement des élèves et de la progression pédagogique annuelle, le professeur planifie le travail de préparation à faire en amont de la séance de cours pour chaque élève qui en est informé via un SMS. Ce travail en amont du cours consiste à visionner la capsule relative à la nouvelle activité pratique que l’élève va aborder dans sa formation. L’élève va ainsi découvrir une nouvelle activité grâce aux planches explicatives et à la vidéo, puis il réalise avec le questionnaire un test de compréhension et mémorisation de ces nouveaux concepts. L’élève, fort de cette connaissance, est réceptif pour la mise en application immédiate en atelier avec le professeur. Dans cette phase de séance d’atelier, le recours possible à la capsule vidéo sur un support mobile comme une tablette, permet de développer l’autonomie chez les élèves et de redonner plus de disponibilité à l’enseignant qui peut ainsi consacrer plus de temps à certains élèves qui en ont davantage besoin.

Les plans de travail Nombreuses sont les classes qui uti­lisent les plans de travail. Mais ces mots recouvrent des réalités très différentes...Chez certains, cet ou­til est vraiment situé au centre de toute la vie scolaire. Chez d'autres, il n'est qu'un élément de gestion d'une ou plusieurs plages horaires définies. Chacun a son ou ses mo­dèle(s)... Les témoignages qui suivent apportent des éclairages qui seront, nous l'espérons, utiles à qui désire in­troduire cet outil de gestion dans sa classe. Historique C'est en 1928 que le livre de C. En 1929, Freinet propose le fichier scolaire coopératif : 25 F les 500 fiches ! C'est en 1936 qu'apparaissent les premiers écrits sur les plans de tra­vail pour la semaine. "Le lundi matin, chaque enfant note sur une feuille de contrôle polyco­piée et accrochée au mur le nombre et le numéro des fiches qu'il se propose de travailler au cours de la semaine : calcul, grammaire, sciences, géo­graphie. Chaque matin est également préparé le plan de travail journalier collectif :

L’école de la créativité selon Ken Robinson Rendre les élèves plus acteurs, leur donner ainsi la possibilité de développer leurs talents et passions, voilà ce que prône Ken Robinson, allant à l’encontre de notre système scolaire trop standardisé. Et que disent les enfants quand on leur donne l’occasion d’exprimer leurs idées pour changer l’école ? Est-il nécessaire de rappeler qui est Ken Robinson ? Cet enfant d’une famille nombreuse, du milieu ouvrier anglais, aurait pu ne jamais croiser son élément, le monde de l’éducation, s’il n’avait pas contracté la polio à 4 ans. Depuis, après une longue carrière dans l’art, il s’est attaché à démontrer l’intérêt de la créativité dans l’enseignement, ainsi que l’effet d’un « mentor » dans l’accomplissement d’une personne. Durant le mois de juin, il a participé à plusieurs événements en France, dont un travail du collectif « Apprendre au 21è siècle », qui souhaitait recueillir en sa présence « 100 idées d’élèves pour changer l’école ». Carte mentale en pdf ou

Classe inversée : Évaluer pour mieux apprendre La pratique de l’évaluation est au cœur de l’ activité enseignante. Or, trop souvent elle sanctionne un travail en fin de séquence, pour vérifier les acquis, et peut être nuisible. En quoi la classe inversée modifie-t-elle les pratiques d’évaluation ? Dans la classe inversée, l’enseignant a une place différente qui joue sur l’autonomie de l’élève. Quels problèmes rencontrent l’évaluation ? Pour lui, il y en a quatre essentiels. Ensuite, il souligne le problème de l’évaluation qui s’inscrit trop souvent dans un temps sacralisé, une sorte de rituel où des élèves composent en silence face à leur copie. Mais qu’est-ce que l’évaluation ? Pour répondre à cette question, Olivier Quinet s’appuie sur une définition de Rénald Legendre, pour qui, évaluer, « c’est comprendre, éclairer l’action de façon à pouvoir décider avec justesse de la suite des événements, avoir des critères en vue d’une prise de décision. » Cette définition permet donc à Olivier Quinet d’avancer 5 principes de l’évaluation :

Dans les coulisses de la classe inversée Episode 10 - Nouveautés pour la rentrée 2017 - Dans les 10/15 premières minutes, c'est moi qui ait la main : en général pour un entraînement quotidien au calcul mental, pour le débrief collectif sur les questionnaires en ligne (ce qui n'empêche pas d'apporter une explication personnalisée ensuite au sein des îlots si besoin) et un rappel du plan de travail. - Ensuite, les élèves suivent ce plan de travail pour réaliser en groupe leurs exercices en respectant les rôles qu'ils se sont attibués (gardien du temps, pacificateur, animateur, rapporteur). Pendant ces séquences, il peut arriver que les réponses soient aimantées au tableau à disposition de tous pour s'inspirer, se corriger, débattre... - De mon côté, je fais plusieurs tours de classe. - A la fin de chaque chapitre, le rapporteur du groupe me remet la copie du groupe (NB : les autres membres ont systématiquement aussi une trace écrite dans leurs cahiers).

L’apprentissage visible : qu’est-ce qui marche en éducation ? Principes sur l’apprentissage (Graesser)¶ Graesser [7] est une excellente reformulation très synthétique de certains “principes d’action” à propos d’apprentissage. Il faut noter qu’ils ne sont pas fondés sur des méta-analyses, mais sont une formulation agrégée d’un grand nombre de recherches, dont beaucoup sont issues de la psychologie de l’apprentissage (un certain nombre venant directement de la Théorie de la charge cognitive, voir doc. Les 25 principes sur l’apprentissage de Graesser. Effets de contiguïté. Les techniques d’apprentissage (Dunlosky)¶ Dunlosky et ses collègues [5][4] ont réalisé une synthèse complète des méthodes d’apprentissage qui “marchent” en se fondant sur des résultats empiriques. Tableau 1* - Dix techniques influant l’apprentissage ([dunlosky13] p. 6) Tableau 2 - Les catégories de variables influant l’apprentissage ([5] p. 6). L’apprentissage visible (Hattie)¶ \[d = (moyenne(g1) - moyenne(g2)) / ec\]

Concepts pédagogiques : guide | Classe Inversée Un professeur qui souhaite inverser sa classe a plusieurs moyens de le faire. En plus de décider des outils et des ressources qu’il va utiliser, il doit aussi choisir le type de pédagogie qu’il va mettre en place. Selon ses préférences et selon ce qui est autorisé au sein de son établissement, il pourra organiser sa classe de différentes manières selon les concepts pédagogiques qu’il veut suivre. Concepts pédagogiques intéressants Les concepts qui valent la peine qu’on s’y penche sont nombreux, mais en voici qui donnent de très bons résultats, nous verrons ensuite comment les combiner. - La classe inversée : c’est le concept qui rend les autres possibles, ou qui leur donne tout leur potentiel. - La progression individuelle : ici, chaque élève avance à son rythme. – La pédagogie de maîtrise : consiste à exiger des élèves qu’ils maitrisent un sujet avant de pouvoir passer au suivant. Combinaisons possibles de concepts pédagogiques 1. 2. 3. 4. 5. De nombreuses possibilités

10 innovations pédagogiques disruptives pour l'enseignement supérieur dès 2017 - Innovation Pédagogique 1 - L’échec productif (Productive failure) Principe : les élèves sont confrontés à un problème complexe sans avoir reçu de formation spécifique à ce type de situation. Après qu’ils aient proposé une solution, ils reçoivent une formation directement liée au sujet. Avantages : les élèves développent des stratégies de compréhension globale et analytique et doivent réinvestir leurs connaissances. Inconvénients : certains élèves pourraient se complaire à "bidouiller" sans chercher à comprendre et ne recevraient qu’une solution spécifique à un problème particulier. Intérêt : l’échec productif est une méthode qui mérite d’être essayée. Un exemple concret : aux Mines d’Albi, deux enseignants chercheurs, François Marmier et Didier Gourc, ont mis en place auprès d’une cinquantaine d’élèves une activité introductrice à leur cours de Gestion de Projet Agile basée sur l’échec productif. 2 - Le design thinking 3 - Analyse formative (Formative analytics) 5 - La reformulation (Teachback)

Des données pas si probantes que cela… Nous ne sommes spécialistes ni en méta-analyses ni en statistiques ou en enquêtes quantitatives. Néanmoins, certaines affirmations ou raccourcis surprenants repérés dans Visible Learning nous ont amenés à chercher dans les lectures et compte-rendus de l’ouvrage des éclairages concernant des aspects qui semblaient problématiques. Nous avons assez facilement découvert de nombreuses sources qui pointent des approximations voire de grossières erreurs qu’on ne s’attend pas à trouver dans un ouvrage qui bénéficie d’une telle aura scientifique. Il faudrait sans doute faire la part des inévitables controverses interprétatives, de la mauvaise foi et des vrais problèmes épistémologiques. En tout état de cause, ces questions là ne peuvent être passées sous silence. Merci d’avance aux lecteurs qui voudront bien corriger et enrichir ce billet en réagissant. Comment est calculée la taille de l’effet ? Cette délimitation est le produit de deux hypothèses. Références (mise à jour août 2017)

PlayList Youtube pour l'accompagnement d'enseignants souhaitant se former à la démarche inversée Faut-il en finir avec les notes Prévue pour la fin de l’année 2014, la Conférence nationale sur l’évaluation des élèves a « pour mission d’élaborer des recommandations sur l’évolution du système d’évaluation des élèves ». Depuis plus d’un demi-siècle, des chercheurs de différentes disciplines ont mené des centaines de recherches utiles aux réflexions sur les pratiques d’évaluation des élèves. Cette contribution présentera d’abord un certain nombre de conclusions scientifiques avérées et proposera des changements souhaitables, eu égard aux résultats de la recherche. Les recherches sur la notation, menées depuis plusieurs dizaines d’années, aboutissent à au moins cinq résultats consensuels dans la communauté scientifique : 1 - Les notes ne mesurent pas de façon précise les compétences des élèves. 2 - Les recherches sur la notation ont également montré l’existence de biais sociaux de notation. 5 - Enfin, un dernier discours affirme que la notation permet d’apprendre. 1 - Préserver l’anonymat social et scolaire de l’élève

LES COURANTS PEDAGOGIQUES (Exemple) - MindMeister Réussite scolaire : (presque) tout repose sur la qualité du professeur - Sciences De nombreux facteurs peuvent être déterminants pour la réussite scolaire d'un enfant, mais rien n'a davantage d'influence que la qualité de l'enseignant, affirme The Economist sur base d'une étude réalisée par un chercheur de l'université de Melbourne. John Hattie a croisé 65 000 documents issus de centaines de méthodes d'apprentissage. Il a constaté que les variables auxquelles les parents prêtaient beaucoup d'importance (la taille des classes, le port d'un uniforme ou la répartition par aptitudes) n'ont que peu d'influence sur l'apprentissage des élèves. Ce qui importe vraiment, ce sont les aptitudes de l'enseignant. Un économiste de l'université de Stanford a par ailleurs constaté que les dix pour cent d'enseignants les plus efficaces parvenaient à faire assimiler trois fois plus de matière en une année scolaire que les dix pour cent les moins efficaces. Être un bon prof Après ce constat, une question demeure. Rob Coe identifie six qualités essentielles chez un bon professeur :

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