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Désintox Archives

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EMI et Parcours de Culture(s) numérique(s) : bilan 2013-2014 Une année à expérimenter une nouvelle manière d’enseigner, de concevoir mes progressions, mon travail de collaboration avec les collègues de disciplines. Bilan : une posture d’enseignante moins directive, qui suscite la curiosité des élèves, qui instaure un climat de confiance. Parfois, je n’ai pas hésité à découvrir les outils en même temps que les élèves (exemple Powtoon en 6e) : réelle motivation pour eux de découvrir des fonctionnalités à partager avec le reste de la classe. Les élèves rentrent alors dans une position d’acteurs, soucieux de prendre en main les outils pour produire le travail demandé. Par exemple, les élèves ont écrit des "achilléides" en cours français (à partir de la méthode du document de collecte). Par exemple encore, un projet de lecture d'albums en école maternelle qui a donné lieu à la création de booktrailers ou encore à la création d'un mur sonore Narrable avec la lecture d'extraits de ces albums.

Desintox Culture de l'info et des médias en lycée | Portfolio évolutif de séquences et expérimentations pédagogiques d'une professeure documentaliste La fin d’année approche, et la réunion relative au bilan d’activité pédagogique des professeurs documentalistes de l’établissement (nous sommes deux titulaires, une sur le poste LGT, l’autre sur le poste LP), que nous avons instaurée depuis plusieurs années dans l’établissement après une première rencontre fin de premier trimestre pour tâter le pouls du déploiement des … Plus Comme présenté dans l’article consacré à la séance 1 de cette séquence dédiée à l’étude de Facebook, voici à présent la formalisation de la séance 2 qui y fait directement suite : SEANCE 2 Documents de préparation de séance Facebook 2 – trame pedagogique Cadre de déroulement de la séance, objectifs notionnels et de vocabulaire, … Plus Troisième objet d’étude du bloc “culture de l’information et des médias numériques” développé en accompagnement personnalisé niveau 1ere : le fonctionnement d’un réseau social, à partir de l’exemple de Facebook. Plus Plus Plus Plus Plus Plus Plus

- Le fact-checking en télé est un impératif citoyen ! Bonne et belle empoignade Twitterienne mardi 23 octobre, initiée par Jean-Marie Charon aux alentours de 8h15 sur la question du fact-checking. Et qui a opposé les défenseurs d’un fact-checking en temps réel en télévision (moi-même et Erwann Gaucher) aux plus sceptiques Eric Mettout et Jean-Marie Charon. Le terme de “fact-checking” n’est pas nouveau : il date des années 30 aux Etats-Unis, période durant laquelle les grands journaux créent des départements spécialisés dans la vérification de l’information. Les articles des journalistes sont passés au peigne fin pour en vérifier le fond, qu’il s’agisse des faits, des dates, des chiffres… Le mot est remis à la mode dès 2004, à mesure qu’apparaissent des fondations, sites et blogs dédiés à la vérification de la parole politique : factcheck.org, politiFact.com, The Fact Checker… L’enjeu de présidentielle américaine explique cette profusion de “vérificateurs”. Pour Eric Mettout, directeur de la rédaction de l’Express, c’est du gadget.

Les dix enseignements d’un an de Décodeurs | Back Office Il y a un peu plus d’un an, le 10 mars 2014, nous lancions la rubrique « Les Décodeurs » sur LeMonde.fr, dédiée à un travail sur les données, le contexte, les vérifications. Saluée par les uns, contestée par d’autres, notre méthodologie a – souvent nous l’espérons – permis de belles réalisations éditoriales. Avec parfois des déceptions. Surtout, nous avons beaucoup expérimenté. Et on s’est bien amusés, j’avoue. En fait, je voulais ici partager un retour d’expérience : comment on déploie une cellule et une pratique quotidienne en « data ». 1. Le point de départ de la réflexion autour des Décodeurs est simple : les questions que se pose l’audience ne sont pas celles que se posent les journalistes. Le travail des décodeurs, ce n’est plus seulement de chercher et de diffuser l’information. >> En voici 40 exemples 2. Une autre leçon de cette année, c’est qu’on peut avoir une approche du datajournalisme qui ne se limite pas aux « grosses » productions interactives. 3. 4. 6. 7. 8. 9. 10.

CITIZEN EVIDENCE LAB | Turning Citizen Media Into Citizen Evidence: Authentication Techniques For Human Rights Researchers Fausses informations en ligne : les adolescents « facilement dupés », selon une étude Des chercheurs de l’université de Stanford qualifient la capacité de raisonnement des jeunes sur l’information en ligne de « désolante », étude à l’appui. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Alors que la question des fausses informations circulant en ligne a fait l’objet d’une polémique après l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, l’université de Stanford (Californie) a publié, mardi 22 novembre, le résumé d’une étude à paraître sur le niveau de vigilance des adolescents et des jeunes adultes en la matière ; elle a été relayée par le Wall Street Journal. Lire aussi : Le constat d’un auteur de fausses infos sur Facebook : « Personne ne vérifie. L’image comme preuve Pour parvenir à cette conclusion sévère, les chercheurs ont donné une série d’exercices à des jeunes gens, avec un niveau de difficulté différent selon les classes d’âge. Ils ont par exemple montré à des lycéens une publication diffusée sur le site de partage d’images très populaire Imgur.

Fake news : peut-on répondre à la désinformation Depuis l’élection de Trump (voir nos deux précédents articles : « Trump : les 5 échecs des nouvelles technologies » et « Facebook, une entreprise politique ? »), la question de la propagation de fausses informations semble révéler d’une véritable crise de confiance dans notre système médiatique et politique, comme l’expliquait récemment le chercheur en science de l’information Olivier Ertzscheid. De partout, les esprits s’agitent pour tenter de trouver des réponses. Des solutions… concrètes ? Les solutions relèvent de trois grandes catégories synthétise-t-il : faire vérifier l’information par des éditeurs humains, avoir recours au crowdsourcing (c’est-à-dire à la foule des internautes pour classer le bon grain de l’ivraie en permettant à des gens d’avoir un statut de vérificateur par exemple), ou trouver des solutions techniques ou algorithmiques. Mieux comprendre la diffusion de la désinformation Plus qu’un problème d’éducation, nos biais cognitifs en question La solution ?

L’avenir de la désinformation

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