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Holmgren.com.au/downloads/Essence_of_Pc_FR.pdf

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Les Principes de la Permaculture en Français Synthèse ● Une ferme innovante et soutenue ● La sécurité du revenu économique et de la production alimentaire : La ferme se développe en poly-cultures : légumes, fruits, oeufs, plantes aromatiques, céréales,... et produits transformés. Dans un esprit écologique et dans le but de tisser des relations humaines animant la vie locale, la vente se fait localement par panier. La vente directe permet aussi un meilleur revenu en enlevant les intermédiaires (magasins, grossistes, ...). ● Une ferme, un laboratoire de recherche : Mises en place avec succès à l'étranger, par exemple sur la ferme de Sepp Holzer en Autriche (vidéos sur ce site), ces techniques nouvelles doivent encore en France faire l'objet d'un travail d'adaptation et de recherche. Résultats expérimentaux. ● Fiches sur l'écolieu et la ferme Au Petit Colibri. retour au sommaire Les Techniques de Culture Stratégie développée :Note : Le projet de ferme est aussi présenté lors de visites programmées chaque année. Compléments: Notes :

Techniques et avantages de la Culture sur Buttes. On les voit fleurir un peu partout, elles représentent une vraie révolution dans notre relation au sol et notre façon de cultiver. Symboles par excellence de l’agroécologie mais surtout de la permaculture , elles n’en sont pourtant qu’un élément parmi d’autres. Elles représentent l’antithèse du jardin à la papa : un espace riche et vivant, résistant à la sécheresse, à l’excès de pluie, un espace multidimensionnel extrêmement productif qui peut même être auto-fertile. L’observation et l’imitation de la Nature nous ouvre de nouvelles portes délivrées du travail du sol, des intrants chimiques et du pétrole, pour une agriculture non plate, non linéaire, vivante et qui crée de la fertilité. C’est Emilia Hazelipp qui semble la première avoir importé la culture sur butte en France. Deux grands courants pratiquent la culture sur buttes : le premier d’inspiration biointensive, le second d’inspiration permaculturale. Butte sandwich de Robert Morez Pour fabriquer une butte-sandwich Morez :

Culture sur Butte Rassemblée de façon à former une butte, la terre se réchauffe plus rapidement et « ressuie » mieux : l’eau est plus rapidement drainée. Il est confortable de se pencher sur un sol un peu moins bas. Le sol n’est jamais travaillé. Rempli des racines de légumes récoltés ou de celles des engrais verts, il est toujours couvert par de la paille, du bois raméal fractionné (BRF). Ce potager autorise un joyeux mélange. Ainsi, on laissera se ressemer librement les plantes ou l’on sèmera les graines mêlées de légumes, parfois même directement sur le paillage qui recouvre la butte. Une seule règle : on installe un seul pied d’un légume volumineux, tandis que l’on peut semer des rangs de petites plantes Comment realiser la butte ? Mais quels sont les avantages de cette culture étrange qui demande pourtant un gros travail de mise en place ? tout d’abord, elle évite de se baisser. Résumé

A la recherche du tas de compost idéal Ah, j’en ai es­sayé des mé­thodes de com­pos­tage. Une bonne di­zaine au moins. Avec plus de dé­cep­tions (on ne peut pas dire “échecs” puisque ça fi­nit tou­jours par com­pos­ter) que de réus­sites. Mais je crois que je tiens le bon bout. pour le com­post de cui­sine : la butte en trou de ser­rure (keyhole)pour le com­post des toi­lettes sèches : trois cel­lules de compostagepour le com­post de jar­din : la hutte à com­post — c’est le su­jet prin­ci­pal de cet article Pré­am­bule sémantique Sur les sites, dans les livres, dans les bro­chures, on ne lit sou­vent que le mot com­post alors que, comme les Inuits pour la neige, il fau­drait de nom­breux mots pour dé­si­gner les dif­fé­rents types de com­post tant ils sont va­riés. Chaque ca­té­go­rie a donc ses exi­gences et ses ob­jec­tifs propres, et c’est de­puis que je ne les mé­lange plus dans ma tête que je com­mence à avoir un peu plus de suc­cès avec mes en­tre­prises de com­pos­tage. Bref his­to­rique des es­sais (et des erreurs)

La conception permaculturelle, graphes à l’appui Quand on conçoit un pro­jet per­ma­cul­tu­rel, on est sou­vent amené à réa­li­ser des re­pré­sen­ta­tions gra­phiques de type “graphe”. Ces di­vers flow­charts, lo­gi­grammes, dia­grammes de flux ou autres sché­mas fonc­tion­nels per­mettent de bien se re­pré­sen­ter les in­ter­con­nec­tions entre les dif­fé­rentes par­ties du sys­tème, que ce soit pour un pro­jet hor­ti­cole ou so­cial. Ces sché­mas prennent beau­coup de temps à des­si­ner et à ar­ran­ger, mais ils donnent une vue d’ensemble qu’on n’a ja­mais quand on re­garde les élé­ments ou les re­la­tions sé­pa­ré­ment, et qu’on ne voit pas avec les yeux en ob­ser­vant son jar­din. Ils per­mettent d’y voir beau­coup plus clair dans un pro­jet et peuvent donc fa­ci­li­ter la concep­tion de ma­nière spectaculaire. Faire des listes La pre­mière étape consiste tou­jours à faire des listes. Le liste est en vrac, et ce n’est pas tel­le­ment plus clair pour moi une fois que j’ai tout écrit. Les mind­maps (cartes heuristiques) Bon voilà.

Un jardin en trou de serrure Où mettre le tas de com­post ? Trop près de la mai­son, il se­rait en concur­rence avec le po­ta­ger de proxi­mité (ce­lui des herbes et des sa­lades) et il nui­rait à l’esthétique vi­suelle (et par­fois à l’esthétique ol­fac­tive). Trop loin de la mai­son, et on se re­trouve avec des as­ti­cots dans la cui­sine parce qu’on n’a pas eu le cou­rage d’aller vi­der la pou­belle de dé­chets verts au fond du jar­din tous les jours. Chez nous, le tas de com­post a pas mal mi­gré, mais il n’a tou­jours pas trouvé son em­pla­ce­ment idéal. La so­lu­tion que je m’apprête à tes­ter nous vient d’Afrique. Le Key­hole Gar­den (jar­din en trou de ser­rure — ver­sion afri­caine), c’est une butte bien plus haute et dans la­quelle le trou cen­tral est un tas de com­post. Par l’intégration élé­gante des fonc­tions qu’il re­pré­sente, m’est avis que ce key­hole gar­den a vo­ca­tion à de­ve­nir un em­blème de la per­ma­cul­ture, bien plus que la spi­rale d’herbes aro­ma­tiques. Quelques in­no­va­tions

Une haie de bourrache La bour­rache est une an­nuelle fort utile qui mé­ri­te­rait d’être aussi connue que sa cou­sine la consoude. Son nom latin Bo­rago officinalis nous rap­pelle qu’on lui prête des ver­tus mé­di­ci­nales. Je l’aime sur­tout pour sa ca­pa­cité à se res­se­mer, sa longue flo­rai­son de pe­tites étoiles bleues qui dé­corent agréa­ble­ment les plats et qui at­tirent les abeilles par cen­taines, et pour ses ra­cines puis­santes qui dé­com­pactent le sol. In­tro­duc­tion facultative Mon pre­mier se­mis de bour­rache fut ap­pa­rem­ment un échec. L’année der­nière, elles s’étaient tel­le­ment bien res­se­mées que j’en avais par­tout dans toute cette par­tie du po­ta­ger : dans les buttes et dans les al­lées. Re­pi­quages de bourraches Cette an­née, il en pousse à nou­veau par­tout à cet en­droit, et j’ai dé­cidé d’être plus ferme. J’ai donc fait : Si la terre est as­sez meuble, on peut aussi plan­ter au jet — ça va net­te­ment plus vite. Se­mis de bour­raches zéro effort

Un potager sur butte - Jardiniers professionnels Un potager sur butte : une notion de “permaculture” issue des expériences d’agriculture de Fukuoka. Vous êtes beaucoup à vous intéresser de près ou de loin à des méthodes bios et écolos de culture et de jardinage. Pour beaucoup d’entre vous, les notions abordées dans cet article seront certainement des redites. Mais à votre demande, nous allons présenter les avantages que proposent la culture d’un potager ou d’un massif floral sur buttes. Bien entendu la mise en place de ce mode de culture est difficile à transposer dans nos jardins ou notre agriculture. Il ne s’agit pas d’en faire l’apologie mais juste de partager une connaissance, une notion qui revient de plus en plus au goût du jour. Les quatre grands principes de la permaculture : De Masanobu Fukuoka – extrait de “La révolution d’un seul brin de paille” Le premier principe et de NE PAS CULTIVER, c’est-à-dire ne pas labourer ou retourner la terre. essentielle pour faire venir des récoltes. Les conseils de mise en place

Comment réaliser un potager en lasagne pour les cultures de printemps Cette technique, lasagna gardening ou potager en lasagne, a été mise en évidence et développée par Patricia Lanza dans les années 90 aux U.S.A à l’arrière de son restaurant. Patricia Lanza n’avait, elle aussi, pas beaucoup de temps ce qui fait du potager en lasagne une technique près pertinente à notre époque. Voici la période idéale pour anticiper la réalisation de votre potager de printemps. Nous avons abordé dans les articles précédents les avantages du potager en lasagne et nous vous avons également apporté les premiers conseils issus de notre expérience personnelle. Le temps est venu de se procurer les ingrédients pour confectionner la butte. Création d’un potager en lasagne : Le potager en lasagne est une technique simple, économique, rapide et qui peut s’installer en ville dans un endroit ensoleillé avec un point d’eau à proximité. Comment construit-on un potager en lasagne ? Sans travail préalable du sol, il suffit d’entasser une couche de déchet brun puis une couche de déchet

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