background preloader

Le Club de Rome confirme la date de la catastrophe: 2030

Le Club de Rome confirme la date de la catastrophe: 2030
Cette célébration a donné lieu à un symposium le 1er mars 2012, dont les conclusions sont présentées sur le site du Club de Rome. Dans le même temps, un des organisme en charge du rapport, le Smithsonian Institution, rend public une version actualisée pour 2012 du rapport de 1972. Il s'agit, en fait d'un second rapport, utilisant la même méthodologie que le premier, avec les mêmes acteurs, le Club de Rome commanditaire et le MIT exécutant. Les instruments d'analyse ont cependant été modernisés, pour tenir compte des importants progrès accomplis dans les méthodes d'observation et de prévision. Le point essentiel, que tous les gouvernements, que toutes les entreprises, tout les média auraient du noter, est que le rapport de 2012 confirme celui de 1972. Le désastre n'est donc plus loin de nous, mais tout proche. 2020 est d'ailleurs considéré par certains experts comme une date plus probable L'effondrement pourrait se produire bien avant 2030. Rien ne sera fait Vains espoirs. Sources

Microcrédit: "une logique de placements juteux et opportunistes" Le microcrédit est souvent considéré comme un levier de développement efficace. En 2011, le nombre de clients de microcrédits dépassait les 200 millions pour une somme frôlant les 70 milliards d’euros. Mais ce système fait de plus en plus l'objet de critiques quant à sa réelle efficacité. Paul Lagneau-Ymonet et Philip Mader, sociologues à Paris-Dauphine, dénoncent notamment l'impact économique et social négatif de ce dispositif. Le microcrédit est né de la volonté de prêter de l’argent à des taux faibles pour les plus démunis. L'idée est qu'ils sortent de la pauvreté en entreprenant. La multiplication des intermédiaires financiers a créé une "logique de placements juteux et opportunistes" et alourdit considérablement la "charge des emprunteurs", déplorent les sociologues. De l'inefficacité du microcrédit > Lire l’article sur Le Monde diplomatique [abonné]

Au pays des frondes contre les projets "inutiles" Vraie bombe pour les nombreuses collectivités territoriales qui attendent de voir se réaliser leurs projets d'infrastructures de transports, le rapport remis par Philippe Duron au gouvernement, jeudi 27 juin, est une aubaine pour ceux qui s'opposent au bétonnage du territoire. Le député socialiste du Calvados préconise la fin du "tout-TGV" et du "tout-autoroutes", et propose notamment le report (l'abandon ?) de nombreux projets de lignes à grande vitesse, comme Bordeaux-Hendaye, ou de tronçons d'autoroutes, tel l'A51 entre Gap et Grenoble, contestés localement. Lire (édition abonnés) : "L'étau se resserre autour des finances des collectivités locales" Cette proposition de révision des schémas de transports, dont le premier ministre Jean-Marc Ayrault a dit qu'il partageait "le diagnostic précis", suffira-t-elle à calmer la contestation des collectifs locaux formés contre ces projets qu'ils jugent inutiles, voire néfastes ? Comment garder la maîtrise de son environnement ?

Related: