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Périurbain

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Ne dites plus "péri-urbain" ! En écho à l'émission de ce mercredi 19 janvier (disponible à la réécoute et au podcast), vous trouverez dans ce billet des images et des analyses extraites des travaux de Marc Dumont, invité de Planète Terre cette semaine. Comme l'explique cette étude de l'INSEE, la croissance des "couronnes périurbaines" est continue depuis les années 1960 en France, bien qu'elle ait eu lieu à des rythmes différents selon les décennies et selon les régions considérées. Cette évolution soulève de nombreuses interrogations, comme l'illustrent ce court reportage télévisé sur l'espace périurbain d'Ile-de-France (datant de 1999), ainsi que la vidéo militante ci-dessous. Comment la géographie appréhende-t-elle ce phénomène hybride, qui brouille les catégories de "rural" et d''urbain" ? Les périphéries urbaines : la domination comme indicateur

Les métropoles Afin de renforcer les territoires, le statut de métropole a été créé par la loi du 16 décembre 2010 pour affirmer le rôle des grandes agglomérations comme moteurs de la croissance et de l’attractivité du territoire. La loi du 27 janvier 2014 de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles a consacré 14 métropoles, rejointes par Nancy le 1er juillet 2016. On distingue désormais : 12 métropoles de "droit commun" (Bordeaux Métropole, Brest Métropole, Grenoble-Alpes Métropole, l’Eurométropole de Lille, Montpellier Méditerranée Métropole, la métropole du Grand Nancy, Nantes Métropole, Nice-Côte d’Azur Métropole, Rennes Métropole, Rouen Normandie Métropole, la métropole européenne de Strasbourg, Toulouse Métropole) ; 2 métropoles à statut particulier (la métropole du Grand Paris et la métropole d’Aix-Marseille-Provence) ; 1 collectivité territoriale à statut particulier dotée des compétences d’une métropole et d’un département (la métropole de Lyon).

Le FN pavillonnaire est-il vraiment si populaire ? Contrairement à ce que laissent entendre certains raccourcis, les électeurs périurbains du Front national ne sont pas particulièrement victimes de déclassement et de la crise économique. C’est ce que montre l’importante enquête de la sociologue Violaine Girard. Macron des Villes contre Le Pen des champs : le cliché s’est progressivement installé au cœur des commentaires de la récente élection présidentielle. Il n’est pas tout à fait faux, ni tout à fait nouveau, s’agissant au moins du Front National dont on nous explique depuis une quinzaine d’années qu’il fleurirait désormais surtout dans les territoires périurbains où se concentrerait une population blanche reléguée, déclassée, particulièrement victime de la crise économique et sociale et dont le vote traduirait une colère face à l’abandon et au mépris qu’elle ressentirait, sans parler de l’insécurité culturelle qui la tétaniserait… Mais qu’en est-il réellement ?

Villes, périurbain, rural : quels sont les territoires les moins favorisés ? 18 septembre 2014 - Entre la ville, l’habitat périurbain ou rural, où les niveaux de vie sont-ils les plus élevés ? Le débat sur les niveaux de vie des territoires n’est pas nouveau. Extrait du Centre d’observation de la société. Entre la ville, l’habitat périurbain ou rural, où les niveaux de vie sont-ils les plus élevés ? Longtemps, la richesse des villes a attiré les populations démunies de la campagne, et entraîné un phénomène qualifié d’exode rural. Le débat sur les niveaux de vie des territoires n’est pas nouveau. Les campagnes plus pauvres que les villes Les campagnes demeurent en moyenne moins riches que les villes. Le taux de pauvreté au seuil de 60 % du niveau de vie médian (données 2009) est beaucoup plus élevé en ville. Bien entendu, il existe des inégalités au sein des campagnes : on y trouve des exploitations agricoles dont la rentabilité varie très fortement, des populations aisées qui s’y établissent au moment de la retraite ou pour échapper aux nuisances de la ville.

Périurbanisation La périurbanisation désigne le processus d'extension des agglomérations urbaines, dans leur périphérie, entraînant une transformation des espaces ruraux[1]. Elle est liée à l'arrivée d'une part de nouveaux habitants, dont une partie quitte les centres des agglomérations pour s'installer en périphérie, et d'autre part d'activités consommatrices d'espace (grandes surfaces, infrastructures de transport). La périurbanisation peut prendre appui sur les noyaux habités préexistants (villages, bourgs) et sur les grands axes de communication qui relient ces espaces aux espaces urbains initiaux[2]. La périurbanisation commença à partir de la fin des années 1960 et du début des années 1970, dans des espaces qualifiés de ruraux. C'est la conséquence à la fois d'un « désir de campagne » et de la disponibilité de l'automobile conjuguée à l'amélioration des moyens et des voies de communication, c’est-à-dire des facteurs de localisation. Éléments de définition[modifier | modifier le code]

Habiter en ville : l’avenir du monde ? | Areion24.news S’il existe un phénomène géographique universel, c’est bien la ville. Et il ne va que s’amplifier : selon les Nations unies, 54 % des habitants de la planète sont urbains en 2014, un taux qui n’était que de 30 % en 1950 et devrait atteindre 66 % en 2050 (1). Habiter la Terre se fera donc principalement dans ces territoires présentant une certaine densité de constructions, d’individus et de réseaux. Les villes ne semblent avoir aucune limite. Pourtant, une réflexion s’impose. Article publié sur Areion24.news en écho au thème du Festival de Géopolitique de Grenoble 2017, « le pouvoir des villes », auquel s’associe le magazine CARTO (dont le n° 40 vient de paraître). Ville et campagne, urbain et rural Le phénomène d’urbanisation suit l’industrialisation d’un pays et d’une économie : les paysans fuient les campagnes et les villes moyennes sont progressivement absorbées par les plus grandes, certaines atteignant des tailles gigantesques. Territoire de la mondialisation Note

Les périmètres des Zones de Revitalisation Rurale (ZRR) ont été redéfinis La réforme des Zones de Revitalisation Rurale, votée en loi de finances rectificatives pour 2015, entre en vigueur le 1er juillet 2017. Les critères de classement en ZRR ont été simplifiés. Un EPCI, pour être classé, doit cumuler : - une densité de population inférieure ou égale à la médiane des densités par EPCI - et un revenu fiscal par unité de consommation médian inférieur ou égal à la médiane des revenus fiscaux médians. D'autres communes sont classées ZRR pour les raisons dérogatoires suivantes : - communes sorties du dispositif « loi montagne », continuant de bénéficier du dispositif pour une durée de trois ans - communes ultramarines classées en vertu de la loi et non de l'application des critères - une commune dispensée d'appartenance à un EPCI : c'est le cas d'Ouessant dans le Finistère (mais pas d'autres îles monocommunales). Le classement en ZRR donne aux communes des EPCI concernés un ensemble de dérogations fiscales, notamment en faveur des entreprises. Pour compléter :

La France périurbaine a-t-elle été abandonnée Pour le géographe Christophe Guilluy, la France est coupée en deux. D’un côté, une « France métropolitaine », constituée des 25 plus grandes aires urbaines. De l’autre, la « France périphérique » : villes petites et moyennes, espaces ruraux, communes multipolarisées, espaces périurbains « contraints »… « Invisible et oubliée », cette France périphérique cumulerait les difficultés et serait le terreau du vote Front national, particulièrement fort dans ces zones. Mais cette thèse est loin de faire l’unanimité. Décryptage. Le périurbain, un territoire de relégation sociale peuplé de « petits Blancs » en souffrance ? D’un côté, une « France métropolitaine », constituée des 25 plus grandes aires urbaines (soit de Paris – 12 millions d’habitants – à Dijon – 380 000 habitants), comprenant « les zones denses des agglomérations et une partie des couronnes périurbaines ». Le 25 mars 2015, dans le cadre d’une interview donnée à la fondation Jean-Jaurès, il résumait sa thèse en ces termes :

Le périurbain au centre de la question urbaine Laurent Cailly introduit son propos en rappelant que le périurbain est associé à un processus migratoire. Il s'agit d'une catégorie d’espace associée à un mode d’habiter constituant un phénomène d’ampleur et qui pose d'emblée un problème de définition. 1 français sur 5 (ou sur 4) vit dans une commune périurbaine. Le périurbain représente près d’1/3 des communes. Le géographe souligne que le périurbain bouleverse notre modèle urbain hérité : étalement, polycentrisme, flux et réseaux, segmentation fonctionnelle et sociale accrue. Il constitue un modèle d’urbanisation controversé et jugé pathogène. Il déchaine la critique. A revers de cette représentation péjorative et accusatrice du périurbain, Laurent Cailly propose de répondre à deux hypothèses : la plupart des critiques adressées au périurbain dépassent le périurbain : le périurbain est un miroir grossissant des dynamiques urbaines. 1. 1.1 La révolution périurbaine est toujours en marche (Cf. 1.2 1990-2010 : des formes renouvelées (CF.

Les inégalités dans la ville Les inégalités dans la ville [vendredi 10 mars 2017 - 09:00] Avec La ségrégation urbaine, les sociologues Marco Oberti et Edmond Préteceille proposent une étude très stimulante et synthétique sur un phénomène aux facettes multiples, qui occupe plusieurs branches des sciences sociales, et qui est devenu un enjeu majeur des politiques publiques. Tous deux membres de l’Observatoire sociologique du changement (lié à Sciences Po et au CNRS), ils présentent en trois parties (caractéristiques, causes et effets de la ségrégation) une réalité dont les implications engagent en réalité toute la société, puisque la ségrégation urbaine est d’abord la manifestation dans l’espace – essentiellement urbain – des différences, des inégalités et des discriminations sociales entre des individus d’un territoire. Des logiques économiques et sociales en œuvre Par ailleurs, l’importance du rôle de la qualité des transports, des services et équipements publics est également mis en avant dans ce processus.

Prix immobilier : le prix du m2 pour toutes les villes de France Réactualisées tous les mois pour coller à la réalité du marché, nos estimations de prix sont exprimées en net vendeur (hors frais d'agence et notaires). Les bornes de la fourchette sont calculées pour qu'elle inclue 90% des prix du marché, en excluant les 5% des prix les plus faibles comme 5% des prix les plus élevés de la zone "France". En Ile-de-France : Les prix sont calculés par MeilleursAgents sur la base de deux sources d'informations complémentaires : 1. les transactions historiques enregistrées par la base BIEN des Notaires de Paris / Ile de France 2. les dernières transactions remontées par les agences immobilières partenaires de MeilleursAgents. Hors Ile-de-France : Les prix sont calculés par MeilleursAgents sur la base des données de transaction communiquées par nos agences partenaires, d'annonces immobilières et de données éco-socio-démographiques.

L’avenir des transports collectifs gratuits : aujourd’hui Dunkerque, demain Paris Avec un collectif de jeunes chercheurs sociologues, géographes, nous avons souhaité réaliser une enquête approfondie concernant le passage à la gratuité des transports collectifs à Dunkerque. Dunkerque qui a déjà expérimenté les transports collectifs gratuits le week-end, et qui s’apprête donc à passer à la gratuité totale des transports collectifs. Alors quels sont les premiers enseignements que l’on pourrait tirer de cette recherche réalisée à Dunkerque donc le week-end, qui va concerner à l’heure actuelle, uniquement la mobilité de loisir, puisque le week-end ce sont essentiellement des déplacements de loisir qui sont réalisés par les usagers ? Une hausse de la fréquentation des transports et une baisse du vandalisme Première conclusion : depuis le passage à la gratuité des transports collectifs, on a une diminution des dégradations et des actes d’incivilité dans les bus. De nouveaux usagers… …et de nouvelles activités De nouvelles représentations du bus et de la ville Mobilité

Pourquoi s’installer en périurbain Espaces de promotion pour les « nouvelles couches moyennes salariées » dans les années 1970 (Bidou 1984), les zones périurbaines seraient devenues, à la fin des années 1980, dans un contexte économique et social transformé, un refuge pour les « couches moyennes » menacées de déclassement (Jaillet 2004 ; Donzelot 2004 ; Chauvel 2006 ; Peugny 2009 ; Guilluy 2010). Ce modèle, discutable parce qu’il repose sur une vision unifiante d’un ensemble extrêmement hétérogène (Bosc 2008), a cependant le mérite de rappeler l’enjeu que peut représenter l’espace résidentiel dans les situations d’incertitude sociale (Chamboredon et al. 1984). Les deux communes de l’étude, par la composition sociale de leur population active, occupent des positions polaires au sein de l’aire urbaine de Grenoble. Conforter une position sociale « fragile » Compenser dans la sphère professionnelle une identité sociale insatisfaisante Bibliographie Bidou, Catherine. 1984.

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