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Burger King accélère son développement en France

Burger King accélère son développement en France
Après avoir quitté la France en 1997, Burger King, numéro deux mondial derrière McDonald's, avait annoncé fin 2012 son retour en France, par le biais d'une alliance avec le groupe italien de concessions Autogrill. Le numéro deux mondial de la restauration rapide, Burger King, déjà à l'assaut des marchés russe, chinois et sud-africain, poursuit avec le groupe français de restauration Bertrand son développement en France, a indiqué, lundi 4 novembre, une source proche du dossier citée par les agences de presse. Lire la note de Big Browser Burger King débarque (vraiment) en France Connu pour ses Whopper, Burger King est entré en négociation exclusive avec le groupe français, qui détient notamment la célèbre brasserie parisienne Lipp et la chaîne de restauration rapide Bert's, pour que celle-ci prenne les rênes de la franchise française. Le 23 octobre, une information de presse annonçait le rachat de l'enseigne Quick par Burger King.

http://www.lemonde.fr/vous/article/2013/11/04/burger-king-negocie-son-developpement-en-france_3507787_3238.html

Disneyland Paris a perdu un million de visiteurs en un an La fréquentation de Disneyland Paris a chuté de 7% sur l'exercice 2012/2013, clos fin septembre, avec 14,9 millions de visiteurs recensés. En revanche, le chiffre d'affaires global reste quasiment stable (-1,1%). Mickey aurait-il perdu la cote auprès des Français? Les résultats annuels du groupe Euro Disney, sur son exercice clos fin septembre, montrent une baisse de la fréquentation d'un million de visiteurs. Après une année 2012 dopée par les vingt ans du parc, qui ont drainé 16 millions d'entrées, la fréquentation est retombée à 14,9 millions de visiteurs, en baisse de 7 %. Ce recul est imputé aux deux tiers à une moindre présence française (qui continue de représenter 51 % des visiteurs), notamment francilienne (à 50 %), et, pour le dernier tiers, à la perte d'une partie de la clientèle italienne et espagnole.

Théo - concept "Made in 85" promeut les entreprises Initiative « Le Made in 85 n'est pas le CAC 40 de la Vendée », lance spontanément François Fagot, directeur de la commission Made in 85. Ce nouveau concept veut même associer les petites entreprises aux géants du département. « Peu importe la taille, toutes se rassemblent autour de ce nouveau logo et montrent leur attachement au territoire », continue le jeune homme. Et la jeune chambre économique (JCE), mère du projet, compte bien élargir son cercle de partenaires.

Darlène - Colgate-Palmolive envisage de supprimer 135 emplois en Europe Le groupe américain Colgate-Palmolive tenait un comité central d'entreprise (CCE) extraordinaire à Bruxelles, ce 6 novembre. Le ledear mondial du dentrifice y a annoncé son intention de réduire ses effectifs. Il envisage de supprimer jusqu'à 135 emplois entre 2014 et 2016.

Hélene - Alcatel-Lucent. 10 000 suppressions de postes, le site de Rennes fermé - Économie + Alcatel-Lucent : Du téléphone à Internet, un siècle d'histoire mouvementé + Notre dossier sur Alcatel-Lucent Le site Alcatel-Lucent de Rennes va fermer. Parallèlement, l’entreprise va supprimer 10 000 postes. Le concept « Made in 85 » promeut les entreprises en Vendée « Le Made in 85 n'est pas le CAC 40 de la Vendée », lance spontanément François Fagot, directeur de la commission Made in 85. Ce nouveau concept veut même associer les petites entreprises aux géants du département. « Peu importe la taille, toutes se rassemblent autour de ce nouveau logo et montrent leur attachement au territoire », continue le jeune homme. Et la jeune chambre économique (JCE), mère du projet, compte bien élargir son cercle de partenaires. Trente-quatre sont engagés aujourd'hui.

Léa R. - Dimos invente pour équiper le couvreur Innover. En permanence. C'est dans les gènes de Dimos, cette entreprise créée à Ancenis (Loire-Atlantique) par Michel Goubaud, un couvreur... fils de couvreur. En 1977, il délaisse la pose d'armoire et de tuile pour concevoir du matériel. Mme Cornuault - La fonderie Favi, l'usine qui fait toute confiance à ses ouvriers Dans le four chauffé à 950° C, le laiton en fusion bouillonne. Gestes amples, visage rougi par la fournaise, Leny Rose, 47 ans, écume l'alliage avec une grande louche. Il est arrivé à 4 h 40 ce matin, comme le reste de son équipe. S'est mis à son poste de travail sans pointer. À cette heure, pas de chef à l'horizon.

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