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L'impression 3D, la fabrication de demain ?

L'impression 3D, la fabrication de demain ?

festival de hacker à Mix'Arts Mix’Art Myrys accueillait ce week-end la troisième édition du Toulouse Hacker Space Factory. Factory comme fabrique car la communauté, réunie dans le fameux hangar auto-géré, va plus loin que l’image du geek rêvant d’infiltrer le site web du Pentagone. Designers, graphistes, développeurs, techniciens télécom et nombre de curieux ont échangé, bidouillé, fabriqué autour d’une même idée : s’approprier les technologies pour conduire au fameux « Do It Yourself », leitmotiv essaimant partout en France ces derniers mois avec la création de nombreux FabLab. « Dessine-moi un sex toy » Faire preuve « d’un enthousiasme joyeux et s’amuser à être curieux.» Produisant la plupart du temps des objets plastiques, « il en existe aussi avec du papier mâché mais aussi du chocolat » précise un connaisseur. « Le cœur de tout ça, c’est le partage de la connaissance et l’incitation à l’invention. « Internet : notre bien le plus précieux » « Ne pas s’enfermer dans la technologie ». Google+

Robotique Malgré la crise économique le marché émargent de la robotique de service connait une forte croissance. La robotique de service à usage professionnel est passée d’un marché de 13,5 à 16 milliards de dollars entre 2009 et 2010 Celui de la robotique de service vers les particuliers est projeté à 5,4 milliards de dollars en 2014 (source International Federation of Robotics). La robotique de service domestique représente le plus gros volume en termes d’unités vendues avec une moyenne de 2 000 000 par an. Ce marché commence tout juste son éclosion (actuellement plus de 90 % du marché des robots domestiques sont des aspirateurs, tondeuses, …) La robotique de service, professionnelle ou domestique, peut se développer car le background technologique (matériels, algorithmes de traitement du signal, …) permet de produire des robots en masse. En 2011, le nombre total de robots industriels en service est estimé à 1 035 000 produits. Certains pays font de la robotique un axe stratégique (Corée).

Plastic le mag, le magazine des plastiques et de l'innovation | Applications La plupart de nos biens de consommations sont encore fabriqués selon les deux processus de transformation conventionnels. Soit par soustraction de matière, selon les techniques qui vont de la sculpture classique à l’usinage industriel… Soit par moulage ou forgeage de la matière préalablement ramollie afin de lui donner sa forme définitive. Fondée sur l’ajout successif de matière, la nouvelle approche imaginée dans les années 80 annonce sans doute une rupture. Destinée d’abord aux bureaux d’études, pour le prototypage rapide, elle inspire désormais une large communauté de « makers » résolus à bousculer les méthodes de fabrication et au-delà toute notre culture industrielle, avec les technologies de l’additive manufacturing, aujourd’hui popularisée par l’impression 3D. Un mouvement où, dès l’origine, les matières plastiques ont joué un rôle au premier plan. Salami, en entrée et millefeuille, au dessert ! La plupart sont jeunes, parfois encore adolescents et souvent étudiants.

La main d'oeuvre chinoise plus chère que les robots Dans l'atelier de moulure de l'usine d'Yingli, chef de file mondial du panneau solaire, l'ouvrier se fait discret. Très discret. Sur ce parterre de quelques centaines de mètres carrés, 170 machines cylindriques préparent la matière première, le silicium monocristallin, d'autres contrôlent la qualité. Le tout en silence. De temps en temps un ouvrier apparaît, juste le temps de voir si tout fonctionne bien. « L'automatisation nous a permis de réduire la main-d'oeuvre par deux », commente Gu Kaixin, en charge de la sécurité du moulage, la première étape dans la fabrication de panneaux solaires. Ailleurs dans l'usine, ce sont d'immenses bras qui soudent 24h/24, ou encore qui coupent, nettoient et polissent les carreaux qui forment un panneau solaire. À Yingli, dont le site de production principal s'étend sur 66 hectares, l'ouvrier sert surtout à faire le lien entre deux lignes de production et pour le contrôle des réglages. « Yingli a pris la décision d'automatiser sa production dès 2007.

Solidoodle, l'imprimante 3D à moins de 400 euros ! Avec un tarif placé en dessous de 400 euros, Solidoodle, une société américaine, rend accessible au grand public la création d'objets en 3D à partir d'une imprimante. L'encre et le papier en moins, le principe de fonctionnement est assez proche de celui d'une jet-d'encre classique. Créer n'importe quel objet en plastiqueplastique en 3D à la maison, c'est un rêve d'enfant qu'il est techniquement possible de concrétiser depuis maintenant quelques années. À l'image d'une imprimante à jet d’encre qui éditer un document en 2D, des machines peuvent modeler des formes en 3D en déposant une matièrematière plastique. C'est d'ailleurs de cette façon que le laboratoire de Microsoft réalise ses prototypes d'accessoires, de la souris au joystickjoystick. C'est le cas de Solidoodle, une société américaine dont le fondateur, Sam Cervantes, est un passionné de robotiquerobotique. Solidoodle : entre la machine à coudre et l'imprimante Une imprimante 3D bientôt chez nous ?

Robot Le terme robot apparaît pour la première fois dans la pièce de théâtre (science-fiction) R. U. R. (Rossum's Universal Robots), écrite en 1920 par l'auteur Karel Čapek[1]. Le mot a été créé par son frère Josef à partir du mot tchèque « robota » qui signifie « travail, besogne, corvée ». Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme robot est issu des langues slaves et formé à partir du radical rabot, rabota (работа en russe) qui signifie travail, corvée que l'on retrouve dans le mot Rab (раб), esclave en russe. Ainsi certains assurent que le mot robot fut d’abord utilisé dans la courte pièce Opilec de Josef Čapek (The Drunkard), publiée dans la collection Lelio en 1917. Alors que les « robots » de Karel Čapek étaient des humains organiques artificiels, le mot robot fut emprunté pour désigner des humains « mécaniques ». Quant au terme robotique, il fut introduit dans la littérature en 1942 par Isaac Asimov dans son livre Runaround. Composition d'un robot[modifier | modifier le code]

[Dossier] Impression 3D, les grands gagnants émergent Dans la continuité du dossier sur l’impression 3D, les grands perdants avaient déjà été mis en lumière. il devient possible de discerner également les acteurs qui seront les grands gagnants de ce qui devrait être une révolution industrielle et économique. Dans le trio que composent les grands gagnants de l’impression 3D, on retrouve logiquement les maillons de la chaîne de fabrication, de production et d’alimentation. Certaines études montrent que le marché sur lequel se positionnent ces acteurs oscille entre 3 milliards de dollars en 2018 et 5,2 millards en 2020. Quoi qu’il en soit, l’industrie de l’impression 3D serait juteuse et profitable, d’où l’intérêt de détecter les grands gagnants… Les fabricants d’imprimantes 3D Deux leaders semblent s’imposer sur ce marché, tandis que beaucoup d’acteurs semblent s’intéresser à ce créneau juteux. Les producteurs de fichiers 3D Le savoir-faire de ces concepteurs sera une des compétences les plus recherchées sur ce marché. Conclusion

Adidas et Foxconn remplacent leurs employés par des robots Foxconn et Adidas ont tout deux annoncé cette semaine une robotisation à venir de leurs productions. Le groupe Foxconn, spécialisé dans la fabrication de produits électroniques, compte remplacer 60.000 emplois. La marque allemande d'équipement sportif s'apprête également à robotiser la fabrication de ses chaussures à trois bandes et fera son grand retour en Allemagne. Des robots pour assembler l'Iphone L'entreprise taïwanaise Foxconn qui assemble les mobiles Apple et Samsung réduira ses effectifs de 110.000 à 50.000. "Nous utilisons l'ingénierie robotique et d'autres innovations technologiques et industrielles pour remplacer les tâches répétitives que les employés accomplissaient par le passé", a expliqué le groupe à la BBC. A lire La main d'oeuvre chinoise plus chère que les robots Retour en Allemagne pour Adidas avec sa "Speed Factory" De son côté, Adidas a annoncé ce mardi qu'il commercialiserait dès 2017 ses premières séries de baskets produites par des robots en Allemagne.

Designed to win : l’impression 3D pour créer des chaussures de sprint Un designer français a utilisé l'impression 3D pour créer une paire de chaussures ultralégères destinées aux sprinteurs. Une technique de fabrication qui pourrait démocratiser le sur-mesure, jusqu'à présent réservé aux athlètes de haut niveau. Découvrez les applications de l'impression 3D Dans le sport de haut niveau, chaque détail compte pour améliorer une performance. Ces chaussures sont non seulement taillées sur-mesure mais aussi ultralégères, ne pesant que 96 g. La chaussure n'est pas encore aboutie car son concepteur travaille à améliorer la souplesse et le confort de certaines parties en jouant sur les matériaux et l'impression 3D. Cela vous intéressera aussi Intéressé par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La quotidienne : nos dernières actualités du jour.

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