Chasing Bonnie & Clyde, Long format & puzzle, « Apprendre à coder », disent-ils , Autoportrait du journaliste belge … La semaine Il ne faut pas écouter les augures qui annoncent la fin du journalisme. Il n’a sans doute jamais été aussi vivant. Un projet comme Chasing Bonnie & Clyde en est l’illustration, tous comme le sont les magnifiques sujets multimédias proposés par le New York Times, PBS et L’Équipe. Avec Explore, le site sportif montre qu’il est possible d’être ambitieux et innovant avec des budgets maîtrisés. Le sommaire de la semaine 1. Le point de départ t est le mythique couple Bonnie Parker et Clyde Barrow, spécialisé dans l’attaque à main armée de banques dans les années 1930. Les deux journalistes derrière le projet ne sont pas des novices, puisque ce sont eux qui avaient produit et réalisé, il y a quelques années, Brèves de Trottoir ainsi qu’un web-documentaire, La Nuit oubliée, diffusé notamment par lemonde.fr, consacré au massacre perpétré par la police parisienne dans la nuit du 17 octobre 1961, lors d’une manifestation organisée par le FLN. et en bonus le nouveau trailer Retour au sommaire2. Notes
Futur par Starck Type:Rider, le jeu vidéo de Arte The witness : un ARG pour 13th street → En 2010, la chaîne allemande TV 13th Street et l’agence Jung Von Matt dévoilaient le premier film d’horreur intéractif, Last Call, invitant l’audience des cinémas allemands à prendre part dans l’intrigue d’une bande-annonce. En […] Un atelier Transmédia organisé par la mairie de Bordeaux et Cap Sciences → La Mairie de Bordeaux et Cap Sciences mettent en place, pour la deuxième année consécutive L’Atelier : Les imaginaires du savoir. Le Transmédia investit le secteur culturel et entre dans les musées → L’approche Transmédia n’est pas réservée à un secteur d’activité en particulier comme le cinéma, les jeux vidéo ou la télévision, même si ces secteurs contribuent largement à son développement. Cross Vidéo Night sur le thème du Transmédia → Rendez-vous, mardi 11 décembre à 19h30 à La Cantine pour les Cross Video Nights #3 consacrées au Transmedia !
Le web-documentaire Raconter la réalité Raconter la réalité avec les moyens mis à disposition par les nouvelles technologies est un privilège que peu encore ont su mettre à profit. Le web-documentaire est un genre qui n’est pas encore défini, qui est multiple et qui dépasse au niveau de la narration tous les médias précédemment utilisés. Aspects généraux Le web-documentaire puisqu’il n’est pas clairement défini est certainement un exercice né avec le web. Les principales caractéristiques identifiées pour les web- documentaires sont tout d’abord une audace dans le sujet abordé. Aspects logistiques Modèle économique De la même manière que le documentaire classique, le web-documentaire n’est pas très facile à financer. Questions techniques Le web-documentaire, par sa complexité d’association de différents medium (sons, images, vidéos, graphiques) rend l’utilisation de Flash souvent obligatoire.
12 wonderful examples of immersive online storytelling In the late 1990s the Philadelphia Inquirer published a series on “the dramatic raid of Mogadishu”. It evolved into a book and a movie called, as you may have already guessed, ‘Black Hawk Down’. The initial extended feature first made its debut in print, and was then pushed onto the website, where video, audio, maps, photos and related links helped bring the story to life. The site, which is still available online, looks like this: This was one of the first mainstream media attempts to use the web to enhance long form content, and while the page might not look terribly pretty, all of the right kind of functionality is there. Since then things have moved on considerably, and in an age of HTML5 I have seen some stunning examples of what can be achieved with online storytelling. Let's start with the obvious... The New York Times’ ‘Snowfall’ The chap who put this together won a Pulitzer for feature writing, and Snowfall has inspired a New York Times redesign (here’s a preview). ESPN’s Grantland
L'Equipe Explore - Born to Climb 1971 Tour de France, Orcières-Merlette to Marseilles stage, on which Luis Ocaña, in the yellow jersey, lost ground to Eddy Merckx. It was the turn of the 1970s. The two men hated each other so much that they would not even greet each other. When he talked about his rival, Ocaña called him “The Cannibal” or “that stupid twat”, and he even christened one of his dogs after the Belgian, just for the pleasure of being able to call “Heel, Merckx! Lie down, Merckx!” On the 1971 Tour, Merckx got a first warning on the Puy de Dôme, where Ocaña took several seconds off him. Three days later, the shake-up he had predicted came to pass during another Alpine stage on the boiling road to Orcières-Merlette. It looked like the Tour was over and history made. Eddy Merckx talking about the 1971 Tour de France and his duel with Luis Ocaña. © Source ASO (1997) Merckx amazed him. The Col du Portillon is a highly symbolic pass between France and Spain.
STAINSBEAUPAYS ™ USA TODAY | BEHIND THE BLOODSHED: THE UNTOLD STORY OF AMERICA’S MASS KILLINGS To analyze mass killings, USA TODAY used the FBI's definition: four or more killed, not including suspects, in an event. The killing may stretch over a day or more and some distance, especially if it includes killings committed in flight or against targeted people. It does not include an extended "cooling-off period" to distinguish this kind of crime from the acts of serial killers. Unlike gun control advocates who just count shootings, USA TODAY analyzed all mass killings, regardless of weapon. USA TODAY began by collecting the FBI's Supplemental Homicide Reports for 2006-11. USA TODAY cross-checked each FBI report with local news reports and sometimes with local law enforcement agencies. USA TODAY also found 26 mass killings not recorded in FBI data. Finally, USA TODAY included several other cases not reported by the FBI, including: One on a U.S. military base. USA TODAY did not include events if deaths stemmed from negligence, such as drunken driving, even if someone was convicted.
Firestorm: The story of the bushfire at Dunalley | World news Turn autoplay off Turn autoplay on Please activate cookies in order to turn autoplay off Edition: About us Today's paper Subscribe Firestorm: The story of the bushfire at Dunalley The Guardian, Send to a friend Your IP address will be logged Share Short link for this page: Contact us Report errors or inaccuracies: reader@theguardian.com Letters for publication should be sent to: guardian.letters@theguardian.com Firestorm The photograph of the Holmes family hiding from a violent bushfire in Tasmania was shared around the world. Enter © 2016 Guardian News and Media Limited or its affiliated companies.
Now is the time Our nation has suffered too much at the hands of dangerous people who use guns to commit horrific acts of violence. As President Obama said following the Sandy Hook Elementary School tragedy, “We won’t be able to stop every violent act, but if there is even one thing that we can do to prevent any of these events, we have a deep obligation, all of us, to try.” Most gun owners are responsible and law-abiding, and they use their guns safely. The President strongly believes that the Second Amendment guarantees an individual right to bear arms. While no law or set of laws will end gun violence, it is clear that the American people want action. Why Now Gunfire was probably the last thing U.S. play President Obama speaks at a memorial service for in Tucson, Arizona. Four days later, President Obama spoke at a memorial service for the Tucson shooting victims, urging Americans to engage in a national conversation about the causes of this type of tragedy. Working Together Share on Twitter
Le Quatre Heures, "que la forme serve le fond" On connaissait le slow food et le slow travel, voici maintenant la slow info. Treize jeunes journalistes, tout juste diplômés du CFJ Paris, ont lancé Le Quatre Heures, le 29 mai, un site de grand reportage qui offre le temps de digérer l’information sur Internet. Ce qui est pour l’heure un projet étudiant pourrait devenir dans quelques mois une entreprise médiatique, si tant est que des investisseurs se manifestent. Le parti pris est radical. Graphiquement, le site se présente sans page d’accueil. Il s’ouvre sur le dernier reportage publié. Le Basque Romain Jeanticou est l’un des fondateurs du Quatre Heures. Slow interview. D’où vient ce projet du Quatre Heures ? Le projet est né en janvier 2013. Donc on a eu cette volonté de faire du grand reportage sur Internet. On voulait un site sur lequel les gens puissent prendre le temps de lire une histoire et de rentrer dans l’histoire. Vous avez travaillé avec un graphiste (Grégory Leduc) et un développeur (Jonathan Fallon).
Avec « Le défi des bâtisseurs », Seppia et Arte repoussent les limites du documentaire multimédia Notez l'article Tous les liens hypertexte sont rassemblés en fin d'article Comment faire le lien entre les nouveaux usages numériques, qui se sont développés ces toutes dernières années, l’histoire de la cathédrale de Strasbourg, fleuron de l’architecture gothique, une haute exigence didactique et la fiction ? Comment conjuguer l’univers quotidien d’adolescents ou de jeunes adultes qui fréquentent assidûment le monde de Minecraft, dernier avatar des jeux de construction en ligne, et l’ambition de raconter la construction d’un des plus beaux édifices européens ? La réponse tient en un titre et un projet « transmedia » : « Le défi des bâtisseurs ». Un projet décliné en film, webdoc et application mobile pour smartphone « Le défi des bâtisseurs » a d’abord été un film, écrit et réalisé par Marc Jampolsky (avec Seppia, Arte, la ZDF et Indi Film). Les ressources du jeu vidéo et du storytelling Un cabinet d'architectes retenu pour concourir dans un projet de construction d'une seconde flèche
The shirt on your back: the human cost of the Bangladeshi garment industry | World Sponsored by: How did the clothes you're wearing get to you? We trace the human cost of the Bangladeshi garment industry in video, words and pictures WARNING: contains images some viewers may find distressing