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Jeremy Mann

Jeremy Mann

Yoji Shinkawa Yoji Shinkawa (Japanese: 新川洋司, Hepburn: Shinkawa Yōji?, born December 25, 1971) is a Japanese artist. He is most famous for his character, environment and mechanical designs for the Metal Gear and Zone of the Enders series. Born in Hiroshima, Shinkawa began working for game developer Konami in 1994 after graduating from Kyoto Seika University.[1] He first worked as a debugger for the PC-98 version of Policenauts. He moved on to serve as art director for the later console ports of the game, then as character designer for the Metal Gear Solid series. Works[edit] Video games[edit] Other works[edit] Novels Urban Hercules (illustrations) Films References[edit] Bibliography[edit] The Art of Metal Gear SolidThe Art of Metal Gear Solid 2The Art of Metal Gear Solid 1.5The Art of Metal Gear Solid 4: Master Art WorkVisual Works of Anubis: Zone of the EndersMetal Gear Solid Peace Walker Official Art WorksThe Art of Yoji Shinkawa Volumes 1-3 External links[edit]

Thé au Jasmin Ralph Parker, Artist | Painting In Gouache – Exploring An Ancient Medium Musée virtuel - Le zentangle et des variantes Le zentangle est un univers fantastique de motifs répétés, de formes enchevêtrées et de poésie visuelle. Ayant en tête les nuances apportées par Janick dans l'article précédent au sujet des diférentes formes de cet art voici des images pour l'imagination. Commençons par un échantillon de la liste officielle des motifs zentangle de Linda Farmer. Consultez ce site pour avoir accès à des centaines de motifs à intégrer à vos créations. L'idée dans le zentangle est de remplir les zones d'un carré (ou autre forme) avec différents motifs comme celui d'Ann Renee Lighter. Voici le lien vers un vidéo illustrant une technique de base en zentangle par Beckah Krakhula, auteure d'un livre sur le sujet: On fait la différence entre un zentangle officiel et le doodling, une forme plus libre de motifs. De jolies lianes. Des feuilles dessinées avec des motifs variés. (source: Pinterest) Et maintenant un paysage naïf d'inspiration zentangle de Linda Drake. Des doodles faciles et agréables à faire. Tourlou!

Home : draw rico draw Résultats Google Recherche d'images correspondant à Deux plans composent cette photographie : ▪ Sur le premier, en avant, on aperçoit un dessus de cheminée brodé sur lequel sont disposés une coupelle fourre-tout, une paire de lunettes, une clé, une photo de mariage, un brûle-parfum et une horloge derrière laquelle sont glissés du courrier et une carte postale. ▪ Sur le second, reflet d'une scène de vie d'un couple dans une salle à manger Henri II, on voit un homme qui écoute la radio et une femme qui lit le journal. Je vois la clé comme un indice que donne Robert Doisneau pour découvrir ce qu'il y a derrière cette photo. Et si elle était celle du bonheur de ce couple ? Les deux horloges m'intriguent car elles n'indiquent pas la même heure : celle de la cheminée marque 17 h 30, celle du miroir 16 h 35. Entre les « objets » du premier plan et ceux du second, il me plaît de discerner de nombreux échanges : ▪ Résonance des objets de la cheminée qui se réfléchissent dans le miroir Robert Doisneau – La cheminée de Madame Lucienne – 1953

Cabinets de curiosités Dans son livre « Collectionneurs, amateurs et curieux », Krzysztof Pomian définit la collection de la façon suivante: «Une collection ne se définit pas par son contenu. Sa première caractéristique est de rassembler des objets naturels ou artificiels qui sont extraits du circuit d'activités utilitaires et économiques». Alexandre-Isidore Leroy de BardeChoix de coquillages rangés sur des rayons 1803, gouache et aquarelle. Pomian utilise le terme «sémiophore» pour désigner les objets formant une collection. Ce n'est que récemment que l'on a pu estimer plus exactement le contenu et la valeur des collections. Par exemple, Eugène Müntz publia en 1888 les inventaires des Médicis au XVe siècle et écarta tous les objets qui n'avaient pas un rapport direct avec l'art. Qu'une corne de licorne ait été payée 6000 florins alors qu'une Adoration des Mages de Fra Angelico seulement 100 florins ou un Van Eyck uniquement 30 florins constituent une aberration pour Müntz.

Censure sur la Côte d’Azur : la culture est-elle un “métier à risque” ? Vous ne verrez pas la vidéo de Mounir Fatmi à La Villa Tamaris : se considérant victime de la censure du centre d’art, l’artiste marocain renonce à participer à l’exposition. Entretien. Une polémique chasse l’autre. Quelques semaines après l’affaire « Zoulikha Bouabdallah » à Clichy-la-Garenne, c’est au tour du plasticien marocain Mounir Fatmi de se voir demander de remplacer Sleep no more, une vidéo figurant Salman Rushdie en train de dormir, par une autre pour une exposition collective autour du thème de la nuit, programmée en juin prochain à la Villa Tamaris Centre d’art de La-Seyne-sur-Mer dirigé par Robert Bonaccorsi. « Nous avions effectivement retenu cette vidéo, affirme celui-ci. L'artiste, lui, a préféré renoncer à participer à la manifestation, soutenu par Claude Lévêque, également programmé, qui lui a emboîté le pas. « Jusqu'où va-t-on aller comme ça ? Parlez-nous de votre vidéo, Sleep no more… Cet hommage à Salman Rushdie s’inspire de Sleep, une vidéo d’Andy Warhol.

La machine à découvrir les influences artistiques... Le génie humain remonte à la plus haute Antiquité. Aussi l'homme ne cesse-t-il d'inventer d'extraordinaires machines afin de ne pas décevoir ses illustres prédécesseurs. Pythagore crée le carré de l'hypoténuse, Léonard de Vinci conçoit le parachute, Denis Papin met au point l'autocuiseur à roulettes, le général Aristide de Gondrecourt fabrique le premier dénoyauteur de cerises. Toutes ces innovations sont belles et bonnes, utiles à la société. Cet engin, nous dit Slate, a été récemment mis au point par une équipe de chercheurs en informatique de l’Université de Rutgers, dans le New Jersey des États-Unis.

Le rap et la peinturlure Les réseaux sociaux se font aujourd'hui l'écho d'une entreprise qui n'est pourtant pas nouvelle, B4-XVI beforesixteen. Sur ce Tumblr sont en effet publiés, depuis mars 2014, des photos de rappeurs associées à des personnages issus de la peinturlure classique ou de la statuaire sud-américaine. Exemples : > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Henry VIIIpar l'atelier de Hans Holbein le Jeune, 1540-1550Rick Ross Portrait d'Henri le Pieux, duc de Saxepar Lucas Cranach, 1514Takeoff, du groupe Migos Détail de l'Adoration des Magespar Hugo van der Goes, fin XVe s.Wiz Khalifa Il est rassurant de constater que les stars du rap ne dédaignent pas la culture classique, voire s'en inspirent. Angelina Jolieà la manière du Portrait d'une damede Rogier van der Weyden Sir Sean Conneryà la manière du Portrait de Jakob Muffeld'Albrecht Dürer Hugh Laurieà la manière du Portrait du docteur Alphonse Leroypar Jacques-Louis David Louis XIV of France par Kehinde Wiley, 2014 Le Roi à la chasse par Kehinde Wiley, 2006

Street Art in Paris by Pejac Après son projet Window Silhouettes Illusions, le street artiste espagnol Pejac a réalisé une série de dessins muraux, sur lesquels se racontent des histoires, faisant ainsi partager aux passants toute l’étendue de son talent et de son imagination. Une série à découvrir dans l’article. Quand les bibliothèques se mettent au gif Depuis quelques mois des bibliothèques américaines utilisent Tumblr et les gifs pour présenter leurs collections de livres de manière originales à un nouveau public en animant des illustrations de leurs livres. [Edit 16/09] J’étais passé à coté du fait que Gallica, la Bibliothèque Nationale de France, participe aussi sur Pinterest. Gallica – BNF Smithsonian Libraries University of Iowa Special Collections Othmer Library of Chemical History Quand le street art dénonce les abus de notre société Le street art n'a pas qu'une portée esthétique pour habiller les rues, il a également une portée symbolique lorsqu'il se fait le dénonciateur des abus de notre société. Nous avions déjà pu le voir à travers ces oeuvres qui dénonçaient la Coupe du monde au Brésil. Aujourd'hui, le street art s'attaque une nouvelle fois à notre monde et à ses côtés les plus atroces. Maltraitance envers les animaux, pollution massive, réchauffement de la planète toutes les grandes thématiques de ces dernières années y passent.

PROPORTIO | Palazzo Fortuny, Venice | May 9 - November 22, 2015 Ellsworth “Kelly Red, Yellow, Blue”, 1963, Collection, Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Sant Paul-de-Vence Cliché Claude Germain, ©Ellsworth kelly Sandro Botticelli (Firenze, 1444-1510) “Portrait of a Woman”, 1485, Private Collection, Bruxelles Fausto Melotti “Scultura n. 24″, chalk, iron, 3 es. + 1 p.a. Pieter Willemsz Van Der Stock, Willem Cornelisz Duyster, “Elegant Figures in a Classical Colonaded Gallery”, 1632 , Courtesy Rafael Valls ltd, London Vincenzo Scamozzi “The idea of Universal Architecture. from May 9 to November 22, 2015Venice, Palazzo Fortuny PROPORTIO, an exhibition organised by the Axel & May Vervoordt Foundation and the Fondazione Musei Civici di Venezia opens this May to coincide with the 56th International Exhibition – La Biennale di Venezia. Curated by Axel Vervoordt and Daniela Ferretti and located in the imposing Palazzo Fortuny, the exhibition explores the omnipresence of universal proportions in art, science, music and architecture.

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