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Détruire la virilité

Détruire la virilité
Beaucoup d'hommes semblent très occupés à tenter de définir leur place dans le féminisme. C'est pour moi un phénomène assez curieux que de voir des hommes, qui ont déjà une place immense dans la société, venir encore en réclamer une dans le féminisme, perdre du temps à débattre de ce sujet alors qu'il y a d'autres urgences. Discuter de sa place c'est toujours un temps qui ne sera pas passé à discuter des inégalités subies par les femmes. Alors puisque certains cherchent leur place dans le féminisme, que même là il faut se préoccuper d'eux sinon ils passent leur temps à solliciter notre attention pour en réclamer une, attribuons leur en une. Qu'est ce que la virilité ? Dans son livre, Stoltenberg dit qu'il faut détruire la virilité. Soit on part du principe que 90% de détenus masculins c'est une coïncidence. 98% de violeurs c'est une coïncidence. 99% agresseurs sexuels c'est une coïncidence. On a coutume de dire que seuls les vrais hommes ne violent pas. Related:  masculinitéGenre

Abolitionnistes, pitié, laissez Angela Davis et le Black feminism en dehors de vos conneries | CHRONIK D'UN NÈGRE INVERTI [Ajout important, à lire avant de continuer, pour plus de clarté : le texte ci-dessous ne s'attaque pas à un livre ou à des articles en particulier, mais il dénonce plus des "pratiques" militantes qui se reflètent par des prises de positions, et très majoritairement sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook, ce qui les rend plus difficile à retranscrire et à les présenter comme un véritable matériel sur lequel peut se fonder une critique. En clair, on comprendrait plus que je m'énerve contre un article, ou une prise de position dans une conférence, plutôt que contre des tweet ou des post facebook, mais même s'il s'agit de propos rapides, et diffus, leur récurrence m'amène à penser qu'il s'agit d'un véritable réflexe puant du féminisme hégémonique à faire des équations et comparaisons foireuses entre racisme et sexisme (prostitution = esclavage, excision, etc. ?!) Pourquoi donc mobiliser la racialisation de ces femmes dans un cas et pas dans l’autre ?

Les hommes qui voudraient s'intéresser au féminisme Beaucoup d'hommes, lorsqu'ils en viennent à s'intéresser aux féminisme veulent aider dans les combats pré-existants. Ainsi on le voit militer pour que la rue soit à tous et toutes, militer pour l'égalité salariale ou je ne sais quoi. Mais ces combats là sont déjà pris en charge par les femmes qui n'ont donc nul besoin qu'on leur tienne à la main. En revanche, nous avons besoin qu'on détruise déconstruise la virilité. Les femmes ne sont pas discriminées toutes seules, elles le sont car les hommes ont des avantages. Si les femmes sont payées 20% de moins à compétences et poste égaux, c'est que les hommes sont payés 25% de plus. A ce sujet là donc j'avais lancé sur twitter, à destination de certains hommes aux velléités féministes, quelques conseils. Il convient de ne pas perdre de vue, jamais, quand on est un homme féministe, qu'on exerce aussi l'oppression qu'on le veuille ou non. Je ne cautionne plus le harcèlement sexiste et j'aide une femme qui y est confrontée.

The Dangerous Dynamic of Gender By Sally Raskoff Have you noticed the demographics of the people who tend to perpetrate mass shootings in public spaces? I’ve noticed they tend to be young, male, from middle class backgrounds, and socially isolated. These are not trivial factors. Gender is key to this pattern. Why is gender key? Young isolated men who are frustrated to the breaking point, with few around them to notice, can sometimes turn to violence to vent or express that powerful emotion. Looking at the research on gender and gender traits can help us understand how this works. Dr. Research illustrates consistently that persons with a full range of human traits at their disposal (androgynous) are less depressed and more flexible, especially when stressed, since they can access a range of coping skill sets without threat to their gender identity. Those at the extreme ends of either masculinity or femininity are at risk of particular health issues.

Instrumentalisation du Black feminism par un White feminism qui ne dit pas son nom | CHRONIK D'UN NÈGRE INVERTI [ajout septembre 2013 : avec la proposition de loi pour pénaliser les clients, la question de l'abolition de la prostitution revient avec force, et ce n'est pas sans malhonnêteté, et non seulement les parallèles avec l'esclavage reviennent comme une véritable obscession, il y a beaucoup d'efforts mis par les abolitionnistes pour prouver que l'abolitionnisme est en soi une démarche antiraciste...]. Aujourd’hui, je voulais parler d’un phénomène que j’ai constaté sur une mailing list sur laquelle je suis inscris. Il est question de s’échanger des infos sur le genre et la sexualité. Sur cette liste, il n’y a pas de préférence pour un type de féminisme. C’est à dire qu’on peut y voir toutes sortes d’infos : textes abolitionnistes/ textes pro sexe, textes laïcards/textes sur les féminismes islamiques etc, ce qui n’est pas sans provoquer des remous entre les abonnéEs. Quelle a donc été la raison de leur utilisation du Black feminism ? Oui oui, vous m’avez bien lu. Vraiment, chapeau bas !

Masculinité et intimité – Sociologie et sociétés Rotundo (1989) montre que l’amitié entre jeunes hommes présente trois volets (social, intime et romantique), à chacun desquels sont rattachés des comportements explicites, dont le baiser, l’étreinte, le toucher et le partage de la couche. Le volet social comprend les relations sociales de compagnonnage, soit le travail, les sports et les autres activités collectives. Pour leur part, les relations intimes comprennent le partage des secrets et des émotions les plus discrètes et caractérisées par une proximité et un attachement qui comprend ou non une intimité physique. Enfin, les relations romantiques portent sur l’amour pour la personne avec laquelle l’intimité est partagée. La virilité n’est en rien menacée par ces types d’intimité, parce que l’idée de l’homosexualité n’était pas présente dans les esprits ou le vocabulaire. Camaraderie ou pratique de l’intime masculin La masculinité hégémonique valorise la camaraderie. La guerre exacerbe les attributs virils.

Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espace Partie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…). Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Occuper beaucoup d’espace : un attribut du dominant Les dominants ont droit à plus d’espace1. Plus précisément, l’espace personnel des dominants est plus grand2. En corrélation avec un plus grand espace personnel, les dominants ont tendance à occuper plus d’espace avec leur corps. L’utilisation de l’espace est donc un très bon indicateur de statut social. Les espaces privés des hommes La plus faible utilisation de l’espace par les femmes est visible dans bien d’autres domaines. public. En conclusion 1. 2.

When you talk too much for Twitter Je ne serai jamais qu'un allié (et c'est fantastique) Pré-scriptum: J'ai hésité avant de poster ce billet. Il m'apparaît toujours comme étant quelque peu arrogant, ou gonflé. Je ne sais pas pourquoi j'ai cette sensation. Un des propos qui m'avait le plus choqué alors que je commençais à m'intéresser au féminisme était le terme de « pro-féministes » que certaines femmes accolaient aux hommes, considérant qu'ils n'étaient pas féministes, qu'ils ne seraient jamais que des alliés.

Americans Prefer Boys to Girls, Just as They Did in 1941 PRINCETON, NJ -- If Americans could have only one child, they would prefer that it be a boy rather than a girl, by a 40% to 28% margin, with the rest having no preference or no opinion on the matter. These attitudes are remarkably similar to what Gallup measured in 1941, when Americans preferred a boy to a girl by a 38% to 24% margin. Gallup has asked Americans about their preferences for a boy or a girl -- using slightly different question wordings over the years -- 10 times since 1941. In each instance, the results tilt toward a preference for a boy rather than a girl. The average male child-preference gap across these 10 surveys is 11 percentage points, making this year's results (a 12-point boy-preference gap) just about average. The attitudes of American men drive the overall preference for a boy; in the current poll, conducted June 9-12, men favor a boy over a girl by a 49% to 22% margin. Preference for a boy baby is inversely related to age. Implications Survey Methods

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