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Remédiation du décrochage scolaire - Stratégie Europe 2020 et lutte contre l'abandon scolaire

Remédiation du décrochage scolaire - Stratégie Europe 2020 et lutte contre l'abandon scolaire

Remédiation du décrochage scolaire - Questions-Réponses Pourquoi met-on en œuvre un traitement informatique sur le décrochage ? Un système d'information partagé entre les principaux acteurs de la formation initiale et de l'insertion sociale et professionnelle des jeunes est en œuvre depuis octobre 2010, pour aider les plates-formes locales de suivi et d'appui aux décrocheurs. Celles-ci reçoivent les informations strictement utiles aux actions d'accompagnement de ces jeunes vers l'emploi ou une reprise de formation, en liaison avec les missions locales et les établissements scolaires. Quels sont les jeunes concernés ? Les jeunes d'au moins 16 ans sortant sans diplôme du système de formation initiale, qui ne sont donc plus inscrits dans un cycle de formation et n'ont obtenu ni le baccalauréat, ni un diplôme à finalité professionnelle de niveau V ou IV. Quels sont les établissements concernés ? Le traitement informatique est-il conforme à la loi Informatique et libertés ? Texte de la délibération Peuvent-ils s'y opposer ? Absolument pas.

La lutte contre le décrochage scolaire En vidéo : La lutte contre le décrochage scolaireLutte contre le décrochage scolaire : témoignages Toutes les vidéos sur le décrochage scolaire Vaincre le décrochage : un enjeu de cohésion sociale La lutte contre le décrochage constitue un enjeu majeur humain, social et économique. Le préjudice psychologique du décrochage est important en termes d’estime de soi, de qualité de vie. La non-valorisation des talents est un gâchis pour la société et menace la cohésion sociale. Les jeunes sans diplôme se trouvent plus souvent au chômage, notamment de longue durée, occupent plus souvent des emplois précaires et présentent un état de santé dégradé. Du point de vue économique, le décrochage génère des coûts importants pour la société. Les pays qui ont réussi à réduire significativement le décrochage en ont fait une cause nationale, un enjeu du vivre-ensemble.Le décrochage scolaire n’est pas un phénomène uniforme et homogène. Le décrochage n’est pas une fatalité. Les chiffres du décrochage Prévenir

Les videos du Café 8e Forum des enseignants Innovants : Comment faire briller ses élèves ? Paris 4-5 décembre 2015, groupe 4 Télécharger la video (13 Mo - format mp4) Faut-il avoir peur des Maisons des Lycéens ? Télécharger la video (13 Mo - format mp4) Manifestation contre la réforme du collège : "Les élèves ont besoin d'être cadrés" - Florence Carnus Professeure de lettres classiques à Pessac (33) - 10/10/2015 Télécharger la video (7 Mo - format mp4) Un prix littéraire des lycéens, c'est important ? Télécharger la video (17 Mo - format mp4) Comment aider nos enfants à réussir ? Télécharger la video (9 Mo - format mp4) Mixité sociale : quelles préconisations ? Télécharger la video (27 Mo - format mp4) Des nouveaux programmes pour enseigner l'histoire - Olivier Quinet, professeur au collège de Montpon-Ménesterol (24) - 3 juin 2015 Télécharger la video (10 Mo - format mp4) Où en est le pilotage de l'Éducation prioritaire ? Télécharger la video (15 Mo - format mp4) Où en est la 2nde carrière des enseignants? J. X. M.

MLDS : Mission de Lutte contre le Décrochage Scolaire (ex-MGI : Mission Générale d'Insertion) La mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) a deux finalités : réduire, par des actions de prévention, le nombre de sorties sans qualification ;prendre en charge les élèves décrocheurs de plus de 16 ans en vue d'un raccrochage et/ou d'une qualification reconnue, pour une insertion sociale et professionnelle durable. La MLDS travaille maintenant en étroite collaboration avec le responsable du réseau FOQUALE (Formation Qualification Emploi) qui a en charge la mise en œuvre d'un projet collectif de la mission de lutte contre le décrochage. Cette nouvelle entité (généralement une par bassin) est animée par un responsable qui doit mettre en place un comité de réseau, composé de chefs d'établissement de collèges, lycées d'enseignement général et technologique (LEGT) et lycées professionnels (LP), du directeur de centre d'information et d'orientation (DCIO) et des membres des corps d'inspection référents du bassin. 1 – Repérer et prévenir 1.1 – Les élèves en difficulté

Accueil - Ma Seconde Chance MENE1306159C L'abandon scolaire est un facteur important d'exclusion sociale et professionnelle. Chaque année, au niveau national, selon la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), 140 000 jeunes en moyenne quittent le système éducatif sans avoir obtenu un diplôme classé au niveau IV ou V de la nomenclature interministérielle. Conformément au souhait exprimé par le Président de la République, il convient de réduire ce nombre de moitié avant la fin du quinquennat. Ainsi, il faut agir en amont, afin d'éviter les ruptures et les situations d'échec qui peuvent être propices au décrochage scolaire. Si l'ambition première consiste à prévenir le décrochage scolaire en favorisant la réussite de tous les élèves, l'Éducation nationale doit également être en capacité d'apporter dès maintenant des réponses concrètes aux jeunes qui viennent de quitter l'École sans diplôme et sans un niveau suffisant de qualification. Ces solutions doivent gagner en cohérence et en lisibilité.

Quelle école pour demain ? | ARTE Future Les innovations pédagogiques Depuis quelques années, l’école a mis en place plusieurs innovations pédagogiques qui valorisent davantage la place et le rôle de l’élève. Tout d’abord le conseil d’élèves. Comme le Conseil des ministres, il a lieu une fois par semaine et aborde les questions du quotidien de la classe, permet de formuler des projets et de gérer les conflits. Sous la responsabilité du professeur, le conseil aide la classe à structurer les relations dans le respect de chacun et la recherche du bien commun. De même au lycée, il existe désormais des modules d’une ou deux heures consacrés à l’accompagnement personnalisé (AP) des élèves. Les innovations technologiques L’école de demain est aussi une école qui a commencé à se doter de nouveaux outils techniques. L’école de demain sera-t-elle plus juste ? Chaque année, 130 000 élèves sont en situation de décrochage scolaire et 40 % des étudiants quittent la fac sans diplômes. Paroles de profs *Les prénoms ont été modifiés.

Décrochage scolaire : paroles d’experts Nathalie Mons et Bernard Gerde ont répondu à nos ques­tions, à l'occasion d'une rencontre-débat sur le décro­chage sco­laire, orga­ni­sée par le minis­tère de l'Education natio­nale lors du Salon de l'Education. Le minis­tère de l'Education natio­nale a orga­nisé une rencontre-débat inti­tu­lée "Décrochage sco­laire : aucune fata­lité !" lors du Salon de l'Education 2012. Cette ren­contre, pla­cée sous l'égide du minis­tère de la Réussite Educative, a été conclue par la ministre George Pau-Langevin. Elle a indi­qué que la stra­té­gie pour l'Europe 2020 com­pre­nait parmi ses objec­tifs d'arriver à un taux de décro­chage de 10% d'une classe d'âge. A l'occasion de cette rencontre-débat, nous avons posé quelques ques­tions à deux des inter­ve­nants, Bernard Gerde, ensei­gnant, cofon­da­teur de la Bouture et du Clept, col­lège, lycée égali­taire pour tous, et Nathalie Mons, pro­fes­seur de socio­lo­gie, membre du Comité de pilo­tage de la concer­ta­tion sur la refon­da­tion de l'école.

Décrochage scolaire : Peillon présente son plan de lutte Vincent Peillon, ministre de l'Education natio­nale, a pré­senté mardi matin sur RTL les prin­ci­pales mesures de son plan de lutte contre le décro­chage sco­laire. Actuellement, sur les 140 000 décro­cheurs iden­ti­fiés, "nous sommes capables d'en rac­cro­cher 9 500", a-t-il indi­qué. L'objectif du ministre pour 2013 est de par­ve­nir à 20 000 jeunes "raccrochés". Des décro­cheurs clai­re­ment identifiés "Le gou­ver­ne­ment pré­cé­dent — je lui rends hom­mage — a mis en place des plates-formes qui per­mettent d'identifier les décro­cheurs", a déclaré Vincent Peillon. Le ministre va "tra­vailler avec tous les acteurs de la lutte contre le décro­chage — les régions, les plates-formes, les mis­sions locales, les pro­fes­seurs — pour mettre en place des pro­po­si­tions sur-mesure" pour rat­tra­per les jeunes sor­tis du sys­tème sco­laire sans diplôme, alors qu'"il y a des places vacantes dans les lycées pro­fes­sion­nels" et "des entre­prises qui n'arrivent pas à recruter".

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