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Au service de la croissance de votre Startup

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KOUDETAT | Le meilleur programme d'éducation à l'entrepreneuriat Pourquoi il faut être propriétaire des murs de son entreprise C’est sans doute un des hommes les plus discrets de Strasbourg. Mais Denis Oussadon est aussi l’un des plus riches. Dans les années 1980, ce commerçant n’avait que quelques boutiques de prêt-à-porter dans le centre-ville. Rapidement, lassé d’avoir à payer un loyer, il rachète les murs de ses boutiques. Puis en rachète d’autres, jusqu’à posséder… 160 sociétés civiles immobilières (SCI), qui gèrent plus de 450 baux. Son patrimoine ? Il n’est pas le seul à s’enrichir grâce aux SCI. Des SCI qui rapportent très gros Comme l’explique Bertrand Gobin, auteur de livres sur la grande distribution, "beaucoup de ces franchisés pratiquent des prix le plus bas possible dans leurs hypers, et attirent ainsi des foules considérables qui fréquentent les boutiques de leurs galeries marchandes. Certains des barons les plus emblématiques du groupe, comme les Jaud, les Belit, les Courtade…, en possèdent parfois plusieurs dizaines. Gestion des locaux facilitée Deux options fiscales L’atout de l’usufruit

Des réseaux apprenants permettent de combiner leadership d’influence et hiérarchique Pour entreprendre des changements complexes, les réseaux apprenants constitueraient un moyen privilégié afin de favoriser l’engagement des salariés et de donner au manager une nouvelle posture basée sur l’influence. Pour faire des managers les acteurs du changement en partant de la réalité opérationnelle, susciter l’engagement des équipes et créer une dynamique d’adaptation permanente primordiale dans un monde où l’avantage concurrentiel ne saurait être permanent, la mise en œuvre des principes de l’intelligence collective est dorénavant préconisée. Les réseaux apprenants dont le but est de regrouper un grand nombre d’acteurs opérationnels dans la stratégie, l’innovation et les sauts de performance afin de confronter leurs visions afin de faire face à un changement, constituent la démarche à entreprendre et marquent le besoin d’une rupture culturelle au sein des organisations professionnelles, de coopération. 3% du collectif et une nouvelle posture dirigeante en KPI du succès

How To Build A Startup: The Lean Launchpad When does the course begin? This class is self paced. You can begin whenever you like and then follow your own pace. It’s a good idea to set goals for yourself to make sure you stick with the course. How long will the course be available? This class will always be available! How do I know if this course is for me? Take a look at the “Class Summary,” “What Should I Know,” and “What Will I Learn” sections above. Can I skip individual videos? Yes! What are the rules on collaboration? Collaboration is a great way to learn. Why are there so many questions? Udacity classes are a little different from traditional courses. What should I do while I’m watching the videos? Learn actively!

Comment retrouver le sens du collectif au travail Ils sont encore loin de constituer un mouvement de masse. Habités par une volonté de faire bouger les lignes par trop rigides des organisations, combattants de l'ombre, les francs-tireurs du management débarquent dans les entreprises avec des méthodes inédites. Teintée d'humanisme, leur profession de foi se résume aux dimensions de solidarité et de sens du travail. Ils misent plus sur le collectif que sur l'individu. Ce qu'ils revendiquent dans leurs interventions ? Partir de ce qui va bien Qu'elles s'appellent « Appreciative Inquiry », « Sociocratie », ou encore « Forum ouvert » et « World Café », les nouvelles pratiques collaboratives fluidifient l'organisation sans tambours ni trompettes. Partager l'énergie autour de la réussite Bienvenue à la communauté d'intérêts Un même esprit anime la démarche de « Sociocratie ». Inventer un management à la française Ces méthodes ne sont-elles alors pour l'heure que des cautères sur des jambes de bois ?

Le Salon des Entrepreneurs, en résumé Crédits photo : Salon des Entrepreneurs - Crédit photo © Franck Foucha L'édition 2013 du Salon des Entrepreneurs Le gouvernement vient défendre le pacte de responsabilité devant les acteurs de l'économie. Le 21ème Salon des Entrepreneurs de Paris ouvre ses portes aujourd'hui et demain. Pendant toute la durée du salon, retrouvez l'essentiel des débats sur Les Échos Business. Deuxième jour du Salon des Entrepreneurs. Jeudi 6 février, jour 2 Jeunes entreprises, comment vous démarquer Faire la différence. « Cette question " comment me démarquer de la concurrence ?" Ludovic Huraux a lui étudié de près le marché des sites de séduction avant de lancer son site de rencontres sélectives Attractive World. « Je me suis inscrit sous un profil féminin sur Meetic et j'ai reçu d'un coup 120 messages », se rappelle-t-il. Crédits photo : Benoit Decout Augustin Paluel-Marmont et Michel de Rovira fondateur de la marque " Michel et Augustin". L'argent peut aussi aider. Crédits photo : Invoxia 17h22. 16h06.

HomeWizard, une nouvelle solution domotique pour la maison Les solutions domotiques ont la côte, voici donc un nouveau venu, HomeWizard qui a lancé en décembre dernier une box domotique unique, de par son protocole ouvert, permettant de commander des appareils électriques de marques différentes. HomeWizard est une solution domotique simple à installer, vous permettant de contrôler, sans fil, vos appareils électriques à partir de votre smartphone, tablette, ou PC, en utilisant tout simplement l’application gratuite de HomeWizard, disponible pour iOS et Android. Le système est compatible avec de nombreux produits et marques, tels que les commutateurs sans fil de Coco et HomeEasy, les volets de Somfy (RTS), les caméras IP de ELRO et Foscam, Moniteur d’énergie Wattcher ou encore les stations météorologiques de TFA. HomeWizard dispose d’un module WiFi et peut se connecter sans fil avec de nombreuses marques sur différentes fréquences (433 MHz et 868 MHz) comme Di -­O, Intertechno, ELRO, Foscam, Chacon, ou Somfy RTS.

La renaissance des objets On estime que le nombre d'objets en réseau devrait passer en 2020 à 80 millions, sur un marché estimé à 5 milliards de dollars dès 2015. Nous assistons à la prédiction de Mark Weiser, du Xerox Parc, qui imaginait dès 1988 la disparition des ordinateurs dans les objets du quotidien. Les fictions autour des objets en réseau enflamment les esprits sous le terme d'« Internet des objets ». Désormais, tout ce qui est connectable sera connecté. Dans notre pays spécialiste des services aux entreprises, les succès de Withings ou de Parrot et les propositions de Sen.se avec Mother illustrent les changements sur les manières de concevoir, produire et vendre les « choses ». On ne peut cependant nier que ce secteur engendre parfois des risques pour la vie privée et renforce le sentiment d'aliénation et de la délégation à des objets de choses que l'on sait faire par instinct.

Internet des objets : l’avènement des "smart companies" Smart industries, smart cities La connexion des objets à Internet, associée à la miniaturisation, à la diminution des coûts de production et au déploiement des outils d’analyse, confère aux objets jusqu’alors "muets" leur "intelligence". Cette tendance, qui s’imposera naturellement et progressivement pour certains, mais sera vécue comme une révolution par d’autres, est déjà une réalité. De nouveaux services, un nouvel écosystème et de nouveaux acteurs Les entreprises de tous secteurs développent frénétiquement de nouveaux produits et services "intelligents" capables de transmettre des données. Conformément aux évolutions du monde 2.0, c’est tout un écosystème d’acteurs qui se met progressivement en ordre de marche pour définir et assembler les différentes briques. Entreprises, réinventez-vous maintenant Soyons toutefois réaliste. LES AUTEURS Sébastien Ropartz, Associé Conseil Technology Advisory chez Deloitte Bruno Delavelle, Directeur Conseil Technology Advisory chez Deloitte

Internet des Objets et données exploitables : le soulèvement des machines Depuis quelques mois, vous entendez parler de plus en plus souvent dans l'univers du Big Data de l’Internet des Objets ou Internet of Things (IoT) en anglais. L'émergence d'un réseau d'appareils conçus pour tracer nos préférences, nos transactions financières, notre position géographique et notre santé possède des implications alarmantes en termes de confidentialité et de sécurité. Pourtant, les possibilités offertes par ces données sont infinies si on les exploite pour approfondir notre connaissance de la nature humaine. « Dans ces océans de données, je pense que nous devrions être attentifs à de nombreux aspects, comme la confidentialité par exemple », affirme Rick Smolan, ancien photographe pour le Time, Life et National Geographic, et auteur du projet et du livre The Human Face of Big Data. « Je suis intimement convaincu que les Big Data auront 1 000 fois plus d'impact qu'Internet sur notre vie. » Utiliser les Big Data pour faire le bien, et non le mal

Pourquoi Google mise sur l'Internet des objets Dernièrement, les articles de presse se multiplient sur les Big Data. S’ils soulignent leurs apports (connaissance client, lutte contre la fraude, optimisation des systèmes de santé publique, etc.), ils oublient souvent de préciser que la plupart des données sont générées par des machines – le fameux « Internet des objets ». Cette partie immergée de l’iceberg véhicule pourtant un énorme potentiel pour les entreprises. Les chiffres mis en avant par Ericsson et Cisco en 2012 (50 milliards d’objets connectés à Internet d’ici 2020)[1], viennent d’être actualisés par l’Idate qui évoque désormais plus de 80 milliards d’objets connectés en 2020[2]. La publication récente des chiffres sur la pénétration des mobiles en France (évaluée à 115%[3]) confirme cette tendance : 75,5 millions de cartes SIM sont aujourd’hui actives dans le pays, soit en moyenne 1,2 cartes SIM par habitants ! Toutes ces annonces traduisent l’intérêt croissant de Google pour l’Internet des objets.

Technologies numériques : enfer ou paradis Est-ce bien raisonnable de prétendre que les technologies pourraient nous faire du bien ? Oui, depuis peu des technologies différentes émergent et proposent de nous aider à nous prendre en main. Il s’agit en fait, de technologies récentes telles que des capteurs d’activité (Fitbit, Jawbone, Withings, Nike…), des coachs numériques (Runtastic, Jiwok…), des plateformes de bien-être qui nous incitent à prendre davantage soin de nous-mêmes (activité sportive, sociale, relaxante…). Il s’agit en particulier de nous aider à résister aux tentations, aux sollicitations excessives de nos vies trépidantes qui peuvent nous éloigner de nos envies profondes (vivre une vie saine, équilibrée, ouverte aux autres). Même les rencontres sur Internet qui ont pourtant fait le bonheur de tant de couples sont désormais décriées. Quelques exemples de coaching bien-être ? Cela fonctionne-t-il vraiment ? La fin des « vrais » coachs ? Comment être encore heureux à l’heure des smartphones ?

L’internet des objets existe avec l’internet des gens Tout comme le Bring Your Own Device ou le Crowdsourcing, l’"IdO" a peu à peu fait sa place dans le monde de la grande consommation, phénomène témoin de la tendance vers l’interconnexion pour combiner les usages. Qu’est-ce que cette évolution signifie pour les entreprises ? Doit-on s’attendre à l’apparition de nouvelles mœurs qui bouleverseront les relations avec le client 2.0 ? Le terme "internet des objets" fait surface dans les années 90, alors que les entreprises commençaient à investir la bulle internet. 20 ans plus tard, le smartphone ou la tablette sont devenus les outils auxquels s’adaptent les entreprises : les objets communiquent entre eux, avec les ordinateurs et les Hommes. Cartes SIM, GPS, puces RFID, Smartphones ou tablettes, ce sont des milliards d’objets qui seront connectés dans le monde en 2020. Les réseaux mobiles : de nouvelles perspectives Derrière l’IdO se cachent d’importants enjeux pour les entreprises, mais aussi d’énormes opportunités.

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