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Trading haute fréquence, l'histoire d'un renoncement

Trading haute fréquence, l'histoire d'un renoncement
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Fin de la première manche. Les députés ont renoncé, lundi 21 octobre, à renforcer la taxe en vigueur sur les transactions financières lors du débat sur la loi de finances 2014, à la satisfaction du gouvernement qui estime qu'elle pénaliserait la place de Paris. L'amendement 240, voté par la commission des finances de l'Assemblée nationale le 8 octobre, et qui se présente sous la forme d'un article additionnel, a été retiré par le rapporteur de la commission, le député (PS) Christian Eckert, qui en était l'auteur. Il étendait le champ d'application de la taxe (de 0,2 %) aux transactions dites "intraday" – c'est-à-dire commencées et débouclées dans la même journée – avec pour but, selon ses partisans, d'augmenter les recettes de l'Etat, et surtout de dissuader les spéculateurs. M. "La liquidité de la place financière sera amputée de 40 %", a aussi alerté Bernard Cazeneuve.

L'Union européenne évite de justesse une cessation de paiement Le Parlement européen a accepté, mardi 22 octobre, un versement en urgence de 2,7 milliards d'euros pour le budget 2013. L'Union européenne pourrait ainsi échapper à un "shutdown", comme le note Philippe Ricard, journaliste au bureau européen du Monde. Le shutdown à l'européenne attendra: eurodéputés font un geste et votent pour 2,7 milliards de recettes supplémentaires pr boucler 2013.— Philippe Ricard (@PhilippRicard) Le règlement de cette somme par les Etats était la seule solution pour éviter une cessation de paiement à partir de la mi-novembre, a expliqué le commissaire au budget, Janusz Lewandowski. "Cette somme va permettre d'honorer une partie des demandes de remboursements soumises en octobre par les Etats, mais elle ne sera pas suffisante pour tout payer", a-t-il néanmoins rappelé. Selon M. Les Etats se sont également engagés à fournir fin octobre une rallonge de 3,9nbsp;milliards d'euros.

Défaut de paiement : plus que quelques heures pour les élus américains Un accord a été conclu in extremis mercredi 16 octobre au Sénat américain afin d'écarter le risque d'un défaut de paiement des Etats-Unis, laissant espérer un dénouement rapide à la crise qui paralyse Washington depuis plus de deux semaines. A moins de 12 heures de l'échéance, le dirigeant de la majorité démocrate au Sénat Harry Reid a confirmé qu'il avait conclu un compromis avec le chef du groupe républicain, Mitch McConnell. Harry Reid a salué un "accord historique, consensuel pour rouvrir l'Etat et éviter un défaut sur les factures de la nation". "Le compromis que nous avons conclu donnera à notre économie la stabilité dont elle a désespérément besoin", a-t-il dit. Selon Mitch McConnell, le vote du Sénat pourrait avoir lieu dès mercredi. Relèvement du plafond jusqu'au 7 février Un sprint procédural devrait s'enclencher mercredi, la Chambre des représentants étant censée adopter tout texte de loi dans les mêmes termes avant promulgation par le président Barack Obama. Obama "heureux"

Subprime : Amende record de 13 millards de dollars pour la banque américaine JPMorgan La banque américaine JPMorgan Chase aurait conclu un accord avec le département américain de la Justice pour payer le montant record de 13 milliards de dollars afin de mettre fin à une série de poursuites, selon le Wall Street Journal. Citant une source proche du dossier, le quotidien des affaires précisait samedi 19 octobre que cet accord destiné à régler une série de poursuites liées à la crise des titres dérivés de prêts hypothécaires risqués (subprime), aurait été conclu vendredi 18 octobre au soir entre le ministre américain de la Justice, Eric Holder, son adjoint Tony West et le conseiller juridique de JPMorgan, Stephen Cutler. Selon le New York Times, qui annonce lui aussi cet accord préliminaire, le charismatique PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, aurait participé aux discussions. 50% des bénéfices annuels de la banque Si le montant est confirmé, il s'agirait de la plus forte somme jamais versée par une compagnie américaine dans ce genre d'accord avec le gouvernement. (avec AFP)

Egalité & Réconciliation : enquête sur un vivier du FN Fondée par l’idéologue Alain Soral, cette association vante la nation, l’honneur et la virilité, mais se défend (mal) d’être d’extrême droite. Chez Egalité & Réconciliation, chaque parti en prend pour son grade, qu’il s’agisse du NPA ou de l’UMP. La revendication d’« E&R », c’est la « réconciliation nationale ». Dans l’optique de dépasser les clivages partisans, ethniques ou religieux, Egalité & Réconciliation prétend être une association qui rassemblerait plus de 800 « patriotes » en France. Sa devise : « Gauche du travail, droite des valeurs. » Si ses membres refusent les étiquettes politiques, certains ne manquent pas d’en créer pour eux. Pas de photo, « par sécurité » Les opposants (gauchistes) à E&R protestaient alors contre la venue de l’écrivain Laurent James, mais le face-à-face a vite dégénéré. Lors de nos entretiens, aucun militantn’a souhaité être pris en photo, « par sécurité ». Depuis, il collectionne les casquettes. Alain Soral, leur maître à penser

Elite Insurgency The real threat to the national interest comes from the rich and powerful By George Monbiot, published in the Guardian 15th October 2013 Subversion ain’t what it used to be. It takes several forms. Allied to the old abuses is a newer kind of superversion: the attempts by billionaires and their lieutenants to destroy the functions of the state. The narrow purpose of the strike is to prevent the distribution of wealth to poorer people, through the Affordable Care Act. They do so on behalf of a class which has, in effect, seceded(5). Using an unreformed political funding system to devastating effect(6), this superversive class demands that the state stop regulating, stop protecting, stop intervening. One result is that those who call themselves conservatives and patriots appear to be deeply confused about what they are defending. To the right-wing press and the Conservative party, patriotism means standing up to the European Union. It has been negotiated largely in secret. www.monbiot.com

L'Euro n'est plus une monnaie unique ! Mercredi 17 avril 2013 : A propos de la banque Crédit Agricole, lisez cet article : Nouveau : la BCE de Draghi donne pouvoir à la France de battre monnaie. Mais que se passe-t-il ? Voici que notre Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), vient en catimini, il y a quelques jours, de donner à un pays de la zone euro le droit de battre lui-même monnaie. Et qui plus est de façon quasi « illimitée » (le mot à la mode pour la finance internationale). Mais attention, pas à Chypre, pas à la Grèce, pas à l’Espagne, pas au Portugal, pas à l’Irlande, pas à l’Italie. Certains observateurs avisés y ont (ironiquement) vu un signe plutôt positif. « La France a de nouveau sa propre monnaie. » Figurez-vous, je ne suis pas prix Nobel (du moins pas encore), mais je serais presque d’accord avec l’éditorialiste nobelisé du New York Times : enfin un retour aux monnaies nationales dans l’Union européenne ! Sauf que, hum, toujours en euros, pas dans tous les pays membres...

BNP Paribas, la banque d'un monde qui pollue davantage ? « Responsable », mais pas coupable de contribuer au dérèglement climatique ? BNP Paribas s’est engagée depuis quelques mois dans une campagne médiatique visant à soigner son image de banque responsable, soucieuse de l’environnement et du climat. Parallèlement, elle continue imperturbablement à financer des méga-projets fortement émetteurs de gaz à effet de serre, notamment dans le secteur du charbon. Un décalage entre pratiques et discours qui lui vaut aujourd’hui une nomination au Prix Pinocchio 2013. Campagnes publicitaires, organisation de colloques et de conférences sur le changement climatique, création de quatre think tanks thématiques... « BNP Paribas a sorti l’artillerie lourde en 2013 pour promouvoir son "nouvel engagement de banque responsable" », note l’association écologiste Les Amis de la Terre. Autant d’initiatives qui relèvent, au mieux, d’une logique de mécénat, mais non d’une véritable politique de responsabilité sociétale. Banques « climaticides » Olivier Petitjean

La théorie du genre vole en éclat ! L’annonce n’a pas fait la une des médias. Pourtant l’événement est majeur et d’actualité quand on sait que la France par exemple a mis l’enseignement de la théorie gender au programme scolaire. Cela alors qu’il n’y a aucune démonstration scientifique, aucun débat public sur la question, et aucune urgence à décerveler nos chères têtes blondes et brunes. Ainsi on leur apprend qu’à la différence de l’identité sexuelle, le genre ne serait pas inné. Laissée pour morte Ainsi le Bulletin Officiel du 30 septembre 2012 précise, sous masculin/féminin : « Ce thème vise à fournir à l'élève des connaissances scientifiques clairement établies, qui ne laissent de place ni aux informations erronées sur le fonctionnement de son corps ni aux préjugés. Retour sur l’événement. Cette théorie a été portée par des lesbiennes américaines qui y ont vu un moyen de changer la société à leur profit. Cassééé ! Le point de départ de l’enquête norvégienne est le suivant. La vidéo qui fait mal

L'enquête sur des manipulations du marché des changes s'étend Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Roche (Londres, correspondant) L'enquête internationale sur de possibles manipulations des cours des devises prend de l'ampleur. La remise de documents et de courriels électroniques par quatre banques (Royal Bank of Scotland, Citigroup, Deutsche Bank et Barclays) aux régulateurs suisse et britannique ainsi qu'à la Commission européenne témoigne du sérieux des soupçons d'entente illicite pesant sur des traders travaillant dans les établissements occidentaux les plus actifs sur le marché des changes. L'ouverture d'une enquête, annoncée le 4 octobre, par les autorités suisses de surveillance des marchés et de la concurrence, visant plusieurs banques helvétiques, dont UBS, est le dernier rebondissement d'une affaire qui fait également l'objet d'une investigation de l'Autorité de conduite financière (FCA) britannique. Basé sur des opérations réelles, le WM/Reuters est l'outil de référence du marché des devises.

Serbia: Lazar Krstic outlines new austerity reforms 8 October 2013Last updated at 12:10 ET About a quarter of Serbia's workforce is unemployed Serbia has announced plans to cut public sector wages by as much as a quarter, as part of wide-ranging austerity measures. The reform package also includes raising taxes and slashing subsidies for loss-making companies. Finance Minister Lazar Krstic said Serbia would be bankrupt within two years if it did not take action now. The country is mired in a deep recession, with 25% of the workforce unemployed. Mr Krstic unveiled the measures during an open session of government in Belgrade. "Even though these reforms, which some people would say are 20 years overdue - I'd say they're at least 10 years overdue - we can carry them out in a responsible way," he said. The measures should provide about 200m euros (£169m) annually, and a further 150m euros would be generated by reducing the so-called grey economy, smuggling and illegal tobacco trafficking, he said. Painful process

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