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La prochaine r?volution ?Faites-la vous m?me?! ? InternetActu.net

La prochaine r?volution ?Faites-la vous m?me?! ? InternetActu.net
« Dans la prochaine révolution industrielle, les atomes seront les nouveaux bits« En janvier 2010, Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired et auteur de La longue traîne, tentait ainsi de résumer la révolution en cours du Do It Yourself (DIY, Faites-le vous même, en français). Après avoir considérablement contribué à développer, et démocratiser, ce que l’on appelait au siècle dernier la « micro-informatique« , puis l’internet, hackers et bidouilleurs s’attèlent aujourd’hui à la fabrication et au développement de nouveaux objets, « libres« . Chris Anderson évoque ainsi la Rally Fighter, la première voiture de course « open source » (ses spécifications sont « libres« ), développée de façon communautaire, en mode « crowdsourcing » (du nom donné au fait d’utiliser la créativité, l’intelligence et le savoir-faire d’un grand nombre d’internautes). « Auparavant, les gens collaboraient dans leurs villages. A quoi servent-elles ? A quoi ça sert ? Ses principaux concurrents ?

Eric von Hippel : il y a 2 ? 3 fois plus d?innovations de la part des consommateurs qu?il n?y en a dans l?industrie ? InternetActu.net Eric von Hippel, l’auteur de Democratizing Innovation vient d’ouvrir la saison 2010/2011 des déjeuners du Berkman Center, une séance de discussion ouverte (retransmise en ligne) à laquelle participent le plus souvent les meilleurs esprits de cette institution. Ethan Zuckermann était présent et a synthétisé sur son excellent blog la présentation de von Hippel dont nous allons, sur ses pas, tenter de vous rendre compte. Image : Eric von Hippel au petit déjeuner du Berkman Center. Ce sont les utilisateurs qui innovent Selon von Hippel, il y a 2 à 3 fois plus d’innovation de la part des consommateurs qu’il n’y en a dans l’industrie. Cette affirmation contredit la façon dont nous pensons traditionnellement l’innovation que les fabricants sont sensés dominer et pourrait remettre en question le système de la propriété intellectuelle, qui tend à protéger les fabricants plutôt que les utilisateurs. Dans de nombreux domaines, l’utilisateur est souvent l’innovateur, avance von Hippel.

L’internet des objets va-t-il changer la nature des objets Par Hubert Guillaud le 23/06/09 | 8 commentaires | 5,317 lectures | Impression L’une des thématiques de cette première édition de Lift with Fing se consacrait à l’avenir des objets, ces objets intelligents proposant des fonctions, des formes d’interactions et de communications nouvelles. Un internet des objets, comme le décrit Daniel Kaplan, délégué général de la Fing, qui ambitionne de transformer notre rapport au monde aussi profondément que l’internet d’aujourd’hui a transformé notre quotidien. Bruce Sterling : Changing things L’écrivain de science-fiction Bruce Sterling est revenu sur les Spimes tels qu’il les définit dans son livre Shaping Things (2005, qui vient de paraître en français sous le titre Objets bavards), ces objets à venir, contraction entre l’espace (space) et le temps (time). Mais pour Sterling, c’est un dessin qui exprime le mieux c’est qu’est un Spime, cette théorie sur l’ubiquité informatique. Bien sûr, l’internet des objets favorise la traçabilité.

Recycler votre vieille machine à écrire en clavier USB USBTypeWriter est un montage qui s’adapte sur les vielles machines à écrire et qui permet de récupéré les touches appuyées pour émuler un clavier sur le port USB. Ce montage électronique permet de redonner une vie numérique aux machines à écrire et dispose d’un look retro SteamPunk intéressant. Idéal pour les écrivain en quête de nostalgie, ce montage électronique est composé de 2 parties : Une carte de contrôle et d’interface USB : Elle fonctionne avec un micro-contrôleur Atmel ATMega168 qui récupère les informations des touches et les transmet au travers de l’USB avec une classe HID Keyboard.Une carte de capteurs : Cette carte permet de récupérer les appuies des différentes touches à l’aide de plusieurs registres à décalages montés en série. Voici une démonstration vidéo du résultat avec un ensemble USBTypeWriter monté sur une machine à écrire et relié à un Apple IPad fixé sur le chariot. source : technabob.com

Neil Gershenfeld : les vraies promesses de la fabrication personnelle - finglive FabLabs : refabriquer le monde ? InternetActu.net Par Hubert Guillaud le 15/07/10 | 24 commentaires | 10,149 lectures | Impression Que ce passerait-il si demain n’importe qui pouvait fabriquer presque n’importe quoi ? Ou, pour être un peu moins caricatural, si tout un chacun pouvait fabriquer presque tout ce qu’il voulait ? C’est ce que proposent dès à présent les FabLabs (abréviation de Fabrication laboratory, laboratoires de fabrication), ces ateliers permettant à tout un chacun de concevoir et construire tout et n’importe quoi. Quels que soient leurs noms (TechShops, HackerSpaces, FabLabs…) des centaines d’espaces de ce type ont récemment vus le jour de part le monde. RepRap : se réapproprier les outils de production Adrian Bowyer, cet ingénieur et mathématicien britannique, inventeur de la RepRap, cette imprimante 3D libre capable d’imprimer des objets en volume, a commencé par citer Karl Marx. Image : Adrian Bowyer sur la scène de Lift France, photographié par Florent Kervokian. FabLabs : des fabriques de communautés

:: The Future of the Internet ? And How to Stop It TwitBalloon Last weekend, Marcus of interactive-matter and I, gave a small introduction into internet of things and ambient devices at the Good School. The idea was to have two devices that show the current volume of two terms on twitter, e.g. love against hate. The demo should show how easy it is to connect the physical world to the internets. Marcus did the software part, so if you are interested in that, visit interactive-matter. I did the hardware part, if you want see that, just read on. Parts So what is needed to build something like that? Arduino Board with ATmega328Ethernet ShieldBreadboardRC ServoCardboardHot glue (a lot)Photoresistor, LED and two resistors, 10 kOhm and 100 OhmProtoboard, small Build it First you have to hack your servo for continuous rotation. Now cut a servo holder out of the cardboard and glue the servo onto it. Glue the holder to some cardboard as basement. Then glue the barrel on the servo. Next we need the light barrier. Conclusion Connecting things to the internet is easy.

Botanicalls open source garden automation project What is GardenBot? GardenBot is an open source garden monitoring system. This site is a collection of tutorials for how to build things (like a soil moisture sensor), software for running GardenBot, resources, links, and more. To get started, you will want to browse the How-To section to see what is required to build the various modules. The ultimate goal of the GardenBot project is to be a complete garden monitoring and automation system. GardenBot is currently a work in progress, and we are always looking for volunteers -- please contact me if you'd like to help. Just so you know, there are several (many) other garden automation projects out there on the web. Is GardenBot a robot? The word robot usually is used for machines that move about. Who came up with this? I did... er, I mean hi. I discovered Arduino, and immediately became engrossed. Anyway, considering my interests, I thought "gee, it sure would be neat to use the Arduino board to control the watering in the garden".

Repenser l’internet des objets (3/3) : Industrialiser l’internet ou internetiser l’industrie Par Daniel Kaplan le 07/05/09 | 8 commentaires | 14,127 lectures | Impression Il n’existe pas aujourd’hui d’”internet des objets”, mais tout au plus une connexion en silos d’objets conçus et régis selon les règles les plus classiques de l’économie industrielle. La connectivité des objets et des espaces pourrait même signer la fin de la “parenthèse internet”, celle d’un réseau sans tête, sans finalité et totalement ouvert. Ca commence comme une conversation Que fait donc un capteur, se demande en substance l’enseignant et designer Julian Bleecker dans son “Manifeste pour les objets en réseau” (2006) ? Matière à réflexions Il ne faut donc pas grand-chose pour franchir cette première étape : juste partager les données que captent les objets et les rendre exploitables par d’autres. Un autre designer, Usman Haque, a d’ailleurs décidé de les y aider. Des objets habitables Entrons un peu plus profondément dans la nature même de l’objet. On peut émettre des réserves sur la vision de Sterling.

FYP editions Entretiens du Nouveau Monde industriel : Concevoir les objets de demain A l’occasion des Entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, retour sur quelques présentations parmi celles qui nous ont semblé les plus marquantes de ces deux jours. Concevoir les “NéoObjets” “L’internet des objets intéresse les designers, car il interroge comment faire des propositions au monde”, explique le designer Jean-Louis Fréchin (présentation, blog). Les objets sont plus vieux que l’informatique et l’internet, rappelle le designer. Image : La présentation de Jean-Louis Fréchin sur les NéoObjets photographiée par Nicolas Nova. Le système des objets recouvre plusieurs réalités, explique Jean-Louis Fréchin, mais les NéoObjets en tant que tels, comme il les a lui-même baptisés, désignent des objets dont la valeur est déportée sur le service qu’ils offrent, comme le Nabaztag, la montre verte ou le Wattson – qu’il faut distinguer des objets communicants ou des interfaces.

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