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Land Art

Land Art
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le land art est une tendance de l'art contemporain utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont à l'extérieur, exposées aux éléments, et soumises à l'érosion naturelle ; ainsi, certaines œuvres ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos. Les premières œuvres ont été réalisées dans les paysages désertiques de l'Ouest américain à la fin des années 1960. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Si les Earthworks sont des altérations durables du paysage, la plupart des œuvres du land art relèvent plutôt de l'art éphémère, vouées à plus ou moins longue échéance à la disparition sous l'effet des éléments naturels. Histoire[modifier | modifier le code] Les motivations premières du land art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du Modernisme prônés par le critique d'art Clement Greenberg.

Un arbre magnifique et étonnant en Afrique du Sud... Il semble assez normal, mais regardez mieux..... Mystère: personne ne connait l'artiste.... Quelques images en close-up de l'arbre.... Incroyable: quelqu'un a taillé tout ceci dans un arbre et cet arbre a continué de vivre et de grandir! La nature dans l'art PLAN : . Introduction : la nature au fil des siècles . 1960-1970 : Changement de paradigme de la nature dans l'art . Catégorisation des pratiques artistiques autour de la nature - Nature reconstruite - Nature incisée - Nature voilée ou empaquetée - Nature et astronomie - Nature et espace - Nature et symboles - Nature prise entre les murs - Nature domptée - Nature modelée - Paysage miniature - Beauté cachée - Nature comme matériau - Nature figurative . La nature a toujours été au centre des préoccupations des artistes. Dès la fin des années soixante, beaucoup d'artistes quittent l'atelier pour investir la nature. Elles impliquent bien souvent le spectateur comme partie intégrante du processus. Toutes ces oeuvres peuvent être regroupées sous les termes Land Art et Earth Works désignant les formes d'art prenant la nature comme lieu, support, sujet et matériau de création.

Environnement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue de la Lune, une des premières visions de la Terre comme un ensemble fini et fragile. La sauvegarde de la nature, enjeu de la protection de l'environnement. L'environnement est défini comme « l'ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins »[1], ou encore comme « l'ensemble des conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines »[2]. La notion d'environnement naturel, souvent désignée par le seul mot « environnement », a beaucoup évolué au cours des derniers siècles et tout particulièrement des dernières décennies. Au XXIe siècle, la protection de l'environnement est devenue un enjeu majeur, en même temps que s'imposait l'idée de sa dégradation à la fois globale et locale, à cause des activités humaines polluantes.

Le Yarnbombing Pacifiste 100 % tout doux, le Street Tricot ou Yarnbombing, mouvance artistique au carrefour du Land Art, Pop Art et Street Art renouvelle le graff en version rainbow warriors. Le tricot se fait matière plastique, en collection automne hiver. Les pull-over multicolores habillent troncs d’arbres et lampadaires; pour fêter l’arrivée du printemps, vélos, façades et bus se déguisent en bonbons acidulés, bariolés. Parce qu’elles investissent l’environnement urbain de manière décalée et poétique, les tricoteuses de rue, selon Samantha Longhi, rédactrice en chef de Graffiti Art Magazine « se situent au summum de la caractéristique essentielle du street art: la gratuité, le don de soi aux passants ». © Knitta Please! © Knitta Please! Le Yarnbombing a pris racine en 2005 à Austin avec le groupe Knitta Please! Un livre en porte l’étendard: « Yarn Bombing, The Art of Crochet and Knit Graffiti » de Mandy Moore et Leanne Prain aux éditions Arsenal Pulp Press. © Agata Olek © Yarn Corner © Carol Hummel

L'estampe japonaise d'Hokusai à l'honneur au Grand Palais À partir du 1er octobre, le Grand Palais de Paris accueillera en son sein les œuvres d’Hokusai. La plus grande rétrospective jamais réalisée en France sur l’illustre maître japonais. La Grande Vague de Kanagawa © Hokusai / Victoria and Albert Museum, London, given by the Misses Alexander Katsushika Hokusai (1760 – 1849) est sans nul doute l’un des plus célèbres artistes japonais, dont l’œuvre a depuis longtemps dépassé les frontières de l’archipel nippon et inspiré l’art occidental. Il faudra attendre l’année 1830, et l’âge de 60 ans, pour voir Hokusai s’épanouir à travers le genre auquel on attache aujourd’hui naturellement son nom : les estampes japonaises, ces images gravées sur bois que l’on connaît mieux sous le terme de ukiyo-e (soit “les images du monde flottant”). Estampe issue des “Trente-six vues du Mont Fuji” © Hokusai Cent-vingt noms d’artistes En parallèle de son œuvre peinte, Hokusai est aussi connu pour avoir utilisé quelque 120 noms d’artistes tout au long de sa carrière.

Éco-festival Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un écofestival (ou éco-festival) est un événement organisé selon des règles et un référentiel exigeant permettant de réduire l’empreinte écologique de celui-ci sur la planète. Pour son organisation, on recherche avant tout à utiliser des ressources et matières premières écologiques et locales, produites sur place dans un rayon de moins de 200 km, une alimentation biologique locale ou régionale de saison, et à économiser, de façon intelligente voire ludique, les ressources nécessaires (électricité, eau potable, papier, carburant…), à réduire les déchets à la source (en limitant au maximum l’usage de produits jetables, dont la destruction et incinération est source de pollution pour les rivières et l’air que l’on respire). Des toilettes sèches sont mis en place afin d'éviter que des millions de litres d’eau potable ne soient gaspillés en pure perte chaque année à chacun de ces événements. Bibliographie[modifier | modifier le code]

L'estampe japonaise Génie protéiforme, créateur audacieux, Katsushika Hokusai (1760-1849) incarne la spiritualité et l’âme japonaises. « Fou de dessin » (gakyôjin) tel qu’il aime à s’appeler lui-même, doué d’une curiosité artistique insatiable et d’un élan créateur durable et fécond tout au long d’une carrière prolifique, longue de soixante-dix années, servi par une extraordinaire capacité de travail, il laisse une production monumentale, comprenant des milliers d’œuvres remarquables tant par leur qualité esthétique que par leur variété stylistique : peintures, dessins, gravures, livres illustrés, manuels didactiques. Cent vingt noms d’artiste Sur les cent vingt noms d’artiste et pseudonymes utilisés par Hokusai, on peut en retenir six principaux qui ponctuent les périodes stylistiques les plus importantes de son œuvre et correspondent aux six grandes phases de sa carrière :• de 1779 à 1794, Katsukawa Shunrô (« Splendeur du Printemps »). Les « Trente-six vues du mont Fuji » Feuilleter la « Manga »

ART EQUITABLE ! - Zidées de Mars L'estampe japonaise Le déclin de la culture d’Edo Alors qu’au tournant du siècle, l’estampe polychrome ukiyo-e a atteint son apogée, tout entière consacrée aux quartiers réservés et au théâtre kabuki, monde éphémère des plaisirs cher à la bourgeoisie marchande, elle n’en marque pas moins le pas, la culture d’Edo déclinant peu à peu. Les autorités Tokugawa, qui ont cristallisé un ordre politique et social suranné, se raidissent et exercent sur l’édition une censure de plus en plus sévère ; une série d’édits interdit d’abord de publier des estampes érotiques (shunga), ensuite de mentionner l’identité des courtisanes représentées, enfin de réaliser de grands portraits en buste. Les artistes voient ainsi leur source d’inspiration et leur liberté d’expression grandement réduites. Ces restrictions obligent les artistes à se remettre en question. Si le paysage donne à l’art de l’estampe un second souffle, c’est qu’il correspond aux aspirations de la société japonaise de l’époque. Renouer avec la nature

[Revue critique d’écologie politique] Friches industrielles : un Parfois au cœur des villes, mais souvent à la périphérie, dans ces banlieues qui ont accueilli après la Seconde Guerre Mondiale la moitié de la croissance urbaine, les friches portent le signe d’un monde finissant et de promesses insoupçonnées. L’intérêt que dévoilent ces espaces industriels en déshérence est multiple : témoins de mutations sociales et économiques brutales ; témoins de la revendication d’artistes et d’habitant-e-s qui veulent exister en dehors des institutions et du contrôle social ; témoins de formes de gestion originales dominées par le décloisonnement des fonctions et des pratiques, et de formes artistiques qui réinterrogent le lien entre création et populations, entre art et société ; témoins de l’incapacité actuelle de certains politiques à muter avec et non contre ces nouvelles formes de métissage entre création, vie sociale et économie. La fin d’une culture ouvrière difficultés pour les artistes à pratiquer leur discipline artistique et à la montrer ; Lyne Rossi

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