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Comment le cerveau se nettoie pendant le sommeil

Comment le cerveau se nettoie pendant le sommeil
Dormir permet au cerveau de se débarrasser des toxines accumulées pendant la période de veille. Des chercheurs américains pensent avoir compris pourquoi l'homme est programmé pour dormir plusieurs heures chaque nuit, alors que le sommeil le laisse vulnérable aux prédateurs. Le repos permettrait au cerveau de se débarrasser des toxines produites pendant les phases d'éveil, explique l'équipe de l'Université de Rochester (État de New York) dans un article publié jeudi dans la revue Science. «La nature récupératrice du sommeil résulterait de l'élimination des déchets produits par l'activité neuronale qui s'accumulent pendant la période d'éveil», explique le Dr Maiken Nedergaard, le principal auteur des travaux. Le rôle essentiel du sommeil dans l'apprentissage et la mémoire était déjà connu, mais les chercheurs ont cette fois expliqué l'intérêt chimique d'alterner les phases d'éveil et de repos. Dans le reste du corps, c'est le système lymphatique qui élimine les déchets cellulaires.

La sieste n’est que bienveillante envers vos capacités cérébrales Faire une petit somme de temps à autre n’a jamais fait de mal à personne ! Au contraire, c’est une manière de revivre à nouveau, de démanteler le stress pour le dissiper et renaître de ses cendres comme un phénix comme en dit. Le Wall Street Journal parle de la sieste. Si la presse s’y est intéressée, c’est qu’il y a quelque chose que l’on ignore et qui s’avère bénéfique pour nous lorsqu’on dorme peu et qu’on fait une petite sieste pour se détendre. Une sieste qui dépasse une heure doit avoir un effet positif sur la mémorisation des choses qui vous ont échappé, car tant que votre mémoire résiste à vous, impossible de la réveiller ou de la titiller sans vous faire subir une délicieuse sieste allant jusqu’à une heure pour revivifier les souvenirs les plus enfouis dans votre mémoire et prendre l’équivalent d’une douche cérébrale grâce à une bonne sieste d’une heure. La sieste n’est ni paresse ni une mode, c’est un avantage cognitif inégal :

Le manque de sommeil affecte le corps jusque dans nos gènes Ne pas assez dormir plusieurs nuits de suite perturbe, tout le monde s'en rend ou s'en est déjà rendu compte. Ce qui est moins visible, c'est que cela peut avoir des conséquences sur des centaines de gènes essentiels pour être en bonne santé. «Un sommeil insuffisant et des troubles du rythme circadien sont associés à des conséquences négatives sur la santé, telles que l’obésité, des maladies cardio-vasculaires, et des troubles cognitifs, mais les mécanismes impliqués demeurent largement inexplorés [...]», peut-on lire dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences qui publie une étude commentée dans The Guardian publie le 25 février. Pour comprendre ces mécanismes, des scientifiques anglais du Centre de Recherche sur le Sommeil du Surrey, dirigés par le Professeur Derk-Jan Dijk, ont mené une expérience sur 26 personnes âgées entre 23 et 31 ans pendant 12 jours. Après chaque semaine, des tests sanguins ont été effectués. publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur

Perception du cerveau: il voit des choses, mais pas nous SCIENCE - Notre cerveau est un petit cachottier. Il paraît qu'il perçoit en permanence des tas de choses qu'il ne daigne pas partager avec nous. Il en ferait même ses propres interprétations, comme s'il savait mieux que nous ce qui valait la peine d'être vu. En gros, le cerveau traite et comprend des données visuelles dont on pourrait ne jamais avoir conscience. Lire aussi:» Cerveau gauche ou cerveau droit, les scientifiques démystifient la question» Jouer au jeux vidéo peut avoir des effets positifs sur le cerveau Vous avez certainement déjà vu passer des images comme celle-ci: A priori, c'est un objet noir abstrait. Le cerveau est conscient, pas nous "On se demandait si le cerveau traitait le sens des objets qui sont en dehors de ces silhouettes. La réponse est oui. N400, c'est le nom de cette onde qui indique que le cerveau a perçu quelque chose dont on n'a pas conscience. Peterson ne cache pas sa joie: "C'est énorme. Traiter toutes les informations coûterait trop d'énergie Close

La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite. Résultat ?

IMMUNITÉ: Pour éviter de tomber malade, dormez suffisamment Actualité publiée hier Sleep Baisse d’immunité et risque accru de maladies et d’infections avec le manque de sommeil ? C’est ce que confirme, à nouveau, cette étude de l’Université de Californie - San Francisco. Le manque de sommeil a le même effet que le stress physique sur le système immunitaire, avait déjà expliqué cette étude internationale, publiée dans la même revue Sleep. Les chercheurs de la Carnegie Mellon University et de l’Université de Pittsburgh ont travaillé à partir des mesures objectives du sommeil naturel recueillies par capteur, en laboratoire, de 164 participants adultes en bonne santé. · les personnes qui dorment 6 heures par nuit ou moins, ont en effet, un risque multiplié par 4 d'attraper un rhume en cas d’exposition au virus, par rapport à celles qui font des nuits de 7 heures et plus, · un sommeil de moins de 5 heures par nuit est associé à un risque multiplié par 4,5 d’infection. Lire aussi: Le manque de SOMMEIL affole notre système immunitaire - Sommeil

Notre cerveau est programmé pour s'améliorer dans les rapports humains Atlantico : Il est souvent reproché à notre société, moderne, de se construire sur des considérations purement matérialistes : réussite professionnelle, possession, apparenceetc. aux dépens du lien social. Parallèlement, l’anthropologiste Robin Dunbar a démontré que la taille du cerveau d’un être vivant est proportionnelle à celle de son groupe social (voir ici). Cela signifie-t-il que l’homme – dont la boîte crânienne est la plus grosse du monde vivant, proportionnellement au reste du corps – est intrinsèquement fait pour interagir avec ses pairs ? Jean-Paul Mialet : Notre société est effectivement matérialiste : elle ramène tout à la matière et le cerveau est une de ces preuves matérielles dont elle raffole pour justifier ses choix. Ce bain affectif est indispensable pour que se fasse au mieux les apprentissages initiaux. Quel intérêt avons-nous à revaloriser le lien social plutôt qu’à nous complaire dans le confort matériel ? Comment mépriser le confort matériel ?

Comment développer les capacités de mémorisation des élèves ? Varier ce qui est à mémoriserLe maître aide les élèves à repérer les méthodes pour apprendre : un poème une saynète, un dialogue dont il dira l’une des répliques une histoire des événements et leur date un résumé un croquis, un schéma un plan, une carte des tables d’addition, de soustraction, de multiplication, de division des tables de conjugaison l’orthographe des mots d’une liste donnée une règle d’orthographe une autodictée la définition de mots en géométrie, en géographie, etc. une leçon complète en sciences, histoire, géographie, éducation civique, etc. Varier les types de supports et de formalisation des connaissances : mots/phrases/textes/schémas ; dans le cahier/le classeur/un carnet/le manuel/une fiche volante/le dictionnaire, etc. Distinguer les différentes formes de mémorisationOn répertoriera les méthodes et on examinera dans quel cas les utiliser : Organiser des traces impeccables pour favoriser une mémorisation facile. Claire Boniface, IEN Paris.

Un corps sain pour un sommeil réparateur Dans nos sociétés occidentales, l’insomnie toucherait 10 à 15% de la population. Et depuis le siècle dernier, nous avons perdu plus d’une heure de sommeil par nuit. Les conséquences ? Ce n’est pas nouveau : sommeil et hygiène de vie vont de pair. C’est bien simple, pour bien dormir, il faut donc vivre sainement. Plusieurs études ont montré que l’exercice physique est efficace pour réduire les troubles du sommeil et traiter l’insomnie chronique. Sans surprise, les plus actifs s’endorment plus rapidement, et dorment mieux. Cependant, il est préférable de s’entraîner le matin, car l’activité physique le soir peut avoir un effet excitant chez certaines personnes. Côté alimentation, il faut là encore miser sur l’équilibre.

Les moisissures responsables de la maladie de Parkinson ? Le terme moisissures désigne des champignons microscopiques qui se développent dans les endroits humides. Dans les maisons, on les retrouve souvent dans les salles de bains et autour des fenêtres. Elles peuvent être associées à des problèmes de santé comme le rhume, l’asthme et… la maladie de Parkinson. © _boris, Flickr, cc by nc sa 2.0 Les moisissures responsables de la maladie de Parkinson ? - 2 Photos Après Alzheimer, Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus fréquente dans le monde. Décrite pour la première fois en 1817 par le médecin anglais James Parkinson, la pathologie se caractérise par une perte progressive de certains neurones, en particulier ceux produisant de la dopamine, un messager chimique qui joue un rôle essentiel dans le cerveau. Très complexe et touchant à la fois les sphères motrice, cognitive et psychique, la maladie de Parkinson se manifeste en général entre 45 et 70 ans. Tout a commencé avec un ouragan Cette étude a démarré de manière extrême.

Le traitement de l’erreur et la notion de progression dans l’enseignement/apprentissage des langues 1L’erreur est souvent perçue comme un élément perturbateur dans le processus d’enseignement/apprentissage. Dans l’enseignement des langues, plus que dans tout autre domaine, l’erreur dérange ; lorsqu’un apprenant se trompe, l’enseignant a parfois l’impression d’avoir échoué dans sa mission. Si l’erreur dérange, il n’en demeure pas moins que l’enseignant y est confronté au quotidien et qu’il doit, s’il la considère comme un problème, tenter d’y remédier. Nombreux sont les enseignants de langue qui considèrent que le problème émane des apprenants. Or, notre expérience nous a permis de nous rendre compte du fait que l’enseignant devait, pour remplir au mieux sa fonction, se remettre en question, prendre du recul sur sa pratique et s’appuyer sur des connaissances théoriques solides afin d’adapter au mieux son intervention à chaque situation d’enseignement/apprentissage. Cet article, axé sur la pratique, se propose de retracer une expérience de recherche et de réflexion. 1.1. 1.2. 1.3.

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