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La péri-urbanisation en France - Canal Géo - Université Toulouse II-Le Mirail

La péri-urbanisation en France - Canal Géo - Université Toulouse II-Le Mirail

Colonisation et décolonisation de l'Asie et de l'Afrique aux XIXe et XXe siècles CAFORM : Formation continue des personnels de l'académie de Créteil Accès GAIA : Personnel de l'académie de Créteil : Cliquez ici : Identifiez-vous par LDAP (login et mot de passe de messagerie) Mot de passe perdu : voir ici : Une fois connecté, cliquez sur "Gestion des personnels" : Cliquez ensuite sur accès individuel (Attention, ne pas cliquer sur GAIA-CERPET mais sur Accès individuel) Cliquez sur inscription individuelle : Rodolphe Dodier : Modes d’habiter périurbains et intégration sociale et urbaine. Rodolphe Dodier Hayal Oezkan Opfikerpark, Flickr, August 2010 Depuis une dizaine d’années, les travaux sur les modes d’habiter dans les espaces périurbains se sont multipliés (Pinson et Thomann, 2001, par exemple). Pourtant, à partir d’une enquête auprès de 915 ménages des espaces périurbains des Pays de la Loire, il est possible de mettre à l’épreuve trois hypothèses explicatives de la diversité des modes d’habiter périurbains, parmi les plus couramment exprimées. Comment habiter dans les espaces périurbains ? Les terrains sur lesquels s’appuie ce travail sont situés dans la France de l’Ouest et les ordres de grandeur cités ne sont valables que dans ce contexte spécifique. La diversité des modes d’habiter a été explorée ici à partir de l’enquête dite « PERIURB ». Trois de ces modes d’habiter sont plutôt des figures de souffrance. Les trois figures suivantes sont plutôt des figures « équilibrées » entre deux ou plusieurs échelles de références. Modes d’habiter et appartenance sociale.

L’installation périurbaine entre risque de captivité et opportunités d’autonomisation 1 Des réflexions récentes autour de l’objet « périurbain » ont lieu dans le cadre de l’atelier « Dyn (...) 1La périurbanisation est un phénomène et un processus largement étudié en France (Calenge et Jean, 1997) qui combine à la fois la diffusion d’un modèle d’habitat (le modèle pavillonnaire) en direction d’espaces agricoles et/ou naturels et une mobilité quotidienne automobile importante. Structurant fortement l’espace, ce processus tend à apparaître de plus en plus comme un modèle propre renvoyant à la fois à la dimension spatiale (forme urbaine, habitat pavillonnaire, etc.) et à la dimension sociale (propriété, mobilité automobile, etc.)1. 2 Cette formulation a été employée par une répondante lors de la première phase d’enquête. Quelle actualité pour les captifs ? 3La recherche menée dans le cadre d’une thèse de doctorat s’était intéressée à des communes périurbaines localisées en « quatrième couronne toulousaine », peu ou pas desservies par les transports en commun et mal équipées.

Lionel Rougé : Inégale mobilité et urbanité par défaut des périurbains modestes toulousains. Entre contraintes, tactiques et captivité. Lionel Rougé a Cet article a pour ambition d’appréhender, par l’observation des pratiques et des représentations de la mobilité, les processus de (dé)construction de l’urbanité, comme une façon d’être dans la ville, des ménages de catégories sociales modestes qui se mettent à distance de la ville (Monnet et Capron, 1992). Après une présentation rapide des ressorts de l’installation de ces familles en maison individuelle et des conditions de sa réalisation dans l’espace périurbain, nous porterons plus particulièrement notre attention sur les différentes modalités de leur mobilité et sur un des aspects constitutifs d’une analyse de leurs modes de vie, à savoir, la manière dont les individus rencontrés s’inscrivent dans la « ville ». La variation de la capacité de mobilité va influencer les modes d’expérimentation de la ville. Terrain et méthodologie. Une installation périurbaine sous contraintes et une accession fortement mobilisatrice. F : Ah oui !

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