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Comment devenir végétarien ?

Comment devenir végétarien ?
Ces derniers temps, je parle beaucoup de végétarisme, que ce soit sur mon tumblr ou sur twitter. Et du coup, je reçois pas mal de questions de personnes qui s’intéressent à ce régime alimentaire et, plus largement, à la cause anti-spéciste. Je trouve ça vraiment chouette de constater que les gens qui me suivent ne se contentent pas de prendre des morceaux de mes combats et d’ignorer ceux qui ne les intéressent pas. Aussi, j’ai décidé de vous faire un petit mode d’emploi pour ceux qui souhaitent passer le cap. Avant de commencer, comme je sais que beaucoup de gens ne sont pas au fait du vocabulaire en rapport avec la cause animale, quelques petites définitions pour que vous ne soyez pas perdus dans cet article. Maintenant que vous avez le vocabulaire en main, quelques précisions : je me base sur ma seule et unique expérience pour vous donner ces conseils. - Un plus grand respect des animaux. - Un plus grand respect de l’environnement. - Un plus grand respect de l’humanité.

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Vegfaq L’éthique animale pour les nuls Le réalisateur Charles Pépin a diffusé sur YouTube les premiers épisodes, ces dernières semaines, de sa mini-série Éthique Animale. Carl Soucier-Bouffard est la vedette de cette série documentaire. Qui est-il? M. Saucier-Bouffard est professeur en éthique environnementale et animale au Collège Dawson et chercheur associé au Centre sur l’éthique animale de l’Université Oxford. Ce sont d’ailleurs carrément des cours d’éthique animale que nous présente le professeur dans ces vidéos. Ne vous détrompez pas, cette série documentaire est clairement orientée idéologiquement. Malgré cela, parce qu’on aime se remettre en question, ces vidéos posent des questions essentielles, telles que: doit-on manger des animaux, ou plutôt pourquoi ne doit-on pas manger des animaux? Pour M. Malheureusement, j’ai bien peur que cette série ne prêche qu’auprès des convertis et que son aspect très didactique se borne au déficit d’attention collectif dont souffrent les internautes. Une introduction Épisode 2: Spécisme

La viande ou la bête 1Nul ne discute la moralité de l'alimentation végétale. Le régime carné au contraire peut faire l'objet de controverses morales : parce qu'il repose sur la mise à mort des animaux, sa légitimité est douteuse, et du doute peut naître le dégoût, sinon pour toute viande, du moins pour certains morceaux. Ainsi lorsqu'un ouvrage récent (Mennell, 1987) en vient à analyser « les fondements moraux d'une aversion » alimentaire, c'est tout naturellement « le cas de la viande » qui s'impose, complété d'une « parenthèse sur les abats », dont S. Mennell attribue la première idée à N. 2S. 3On pourrait certainement discuter l'ancienneté réelle et les raisons exactes du statut de « nourriture de pauvres » ainsi attribué aux abats. 4L'article comme son commentaire entremêlent deux sortes de considérations opposées : le goût réel et la consommation effective d'une part, et de l'autre les convenances et la « délicatesse ». 9Nous mangeons du bœuf, du veau, du mouton, de l'agneau, du porc, etc.

L’illusion du welfarisme C’est une scène de Earthlings. Des hommes sont autour d’un cochon et le frappent. Le cochon est à terre, incapable de se relever, mais ils n’arrivent pas à l’achever; il bouge encore. L’un d’eux ramasse un parpaing, le jette sur sa tête. Le cochon s’agite de plus belle, ses pattes remuent inutilement dans le vide. Je sais même plus si j’ai regardé jusqu’au bout. Earthlings est un film qui vous remue les tripes. Autrement dit, pardonnez-moi d’être franche, mais bon, c’est mon blog, j’fais ce que j’veux… Autrement dit, si vous croyez au welfarisme, deux hypothèses: Soit vous trouvez acceptable que de tels traitements soient parfois infligés à des animaux tant que ce n’est pas « la majorité ». Soit vous êtes niais. Ca ressemble à un jugement mais ce n’en est pas un. Parce que le welfarisme est finalement, l’objet d’une réflexion inaboutie. Donc vous êtes niais si vous pensez qu’on peut « traiter bien » les animaux, partout, tout le temps. J’entends déjà les objections fuser.

Végétarien, je suis un repenti du cri de la carotte Tribune Le débat fait rage entre les végétariens et les non-végétariens, qui deviennent des antivégétariens (contre les anti-non-végétariens, vous suivez ?). Vous l’avouerai-je ? Je me suis éloigné de la France il y a quelques années, un peu fatigué de cette tournure culturelle de nos débats, qui aboutit généralement à deux clans ennemis, qui auparavant se toléraient. Je suis Windows, mais j’aime le design des Mac. Je suis de gauche, mais pas toujours. L’attitude de certains végétariens Quand j’avais 25 ans, ma sœur a décidé de devenir végétarienne, par amour des animaux. Aujourd’hui, c’est moi qui suis végétarien, depuis une quinzaine d’années, et elle qui remange de la viande, quoique très peu. la consommation de viande,l’attitude de certains végétariens. La consommation de viande est indéfendable Commençons par la première. Les conditions d’élevage modernes tiennent des camps de concentration, les conditions d’abattage sont très majoritairement barbares. Que dire à un non-végétarien ?

Du welfarisme a l’abolitionnisme, ou comment la cohérence éloigne des normes J’ai exposé dans la précédente note, les raisons pour lesquelles, si on devient réaliste, on se rend compte qu’une certaine dose de souffrance est nécessaire si l’on veut élever des animaux, l’abus étant inhérent à la notion de propriété d’un être sensible. C’est donc en particulier vrai pour la viande, mais aussi pour toute forme d’élevage. J’insiste sur la viande, car en toute objectivité, si l’on se débarrasse de ses a priori culturels, il est difficile de considérer que l’abattage d’un animal en parfaite santé pour utiliser sa chair n’est pas un abus. Le welfarisme se définit comme une défense du bien-être des animaux d’élevage qui ne remet pas en cause l’élevage. De deux choses l’une. Soit le welfariste est quelqu’un qui défend le droit des animaux à ne pas souffrir, tout en acceptant qu’ils souffrent pour que l’on puisse les utiliser pour leur lait, leur viande, leur laine, ou quoi que ce soit. En réalité, je pense que c’est ni l’un ni l’autre, voire un peu les deux.

Bien manger ? 8 principes issus de 40 ans d’études (Le rapport Campbell) En matière d’alimentation, nous sommes souvent confrontés à un flot d’informations contradictoires et changeantes. A qui doit-on se fier ? Difficile de connaître les lobbies qui se cachent derrière le financement de telle étude, de ne pas se laisser emporter par les « modes alimentaires » ou d’avoir le recul nécessaire sur notre propre alimentation pour en tirer des conclusions efficaces. Dans ce grand flou, des études comme « Le rapport Campbell » (The China Study) apportent une lumière précieuse. Le rapport Campbell est l’étude la plus complète et la plus longue jamais menée en matière de santé et de nutrition. Voici, pour vous, les « Huit principes sur l’alimentation et la santé » que nous propose cette recherche. Ces principes viendront considérablement enrichir vos connaissances et votre approche de l’alimentation, pour des résultats encore plus visibles et concrets. A chaque fois que nous mangeons, nous introduisons un « package » de nutriments dans notre corps.

Expérimentation animale : il est temps d'accepter que le vent tourne ! Une réglementation obsolète et des responsables peu formés aux méthodes modernes sont le principal obstacle à la mise en oeuvre de tests fiables pour l’homme, sans recours à l’expérimentation animale. Les connaissances scientifiques et la technologie existent déjà. Pour nous aider à les promouvoir, faites passer l’information autour de vous. Par André Ménache Nous vivons à l’ère des traitements médicaux basés sur des preuves (de l’expression anglaise « evidence-based »). Selon les normes actuelles, les expériences sur des animaux ne remplissent pas l’exigence d’être basées sur des preuves (2). Le problème ne vient pas d’un manque de technologie pour remplacer les tests sur des animaux. Une autre approche est d’informer les scientifiques, en particulier ceux qui travaillent dans la recherche et les tests. Ici, nous nous heurtons à un nouvel obstacle : le « personnel en charge ». Mais nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre.

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