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L'usage des réseaux sociaux à titre professionnel

L'usage des réseaux sociaux à titre professionnel

Twittclasses .francophones sans titre Services such as Mendeley, Academia.edu and ResearchGate promise to transform research: they connect researchers in collaborative digital environments, provide venues for publication, and develop alternative metrics for measuring impact and reputation. Backed by venture capital, these services have seen considerable growth during the last years. But will they turn out to be financially sustainable? We provide a quick glance at the prospective business models of three academic social networking services. What is the business model of Mendeley? Mendeley is both a desktop reference management app and an online community which offers its users one gigabyte free cloud storage for publications and added forums for sharing and discussing research. Update: See Elsevier bought Mendeley What is the business model of Academia.edu? What is the business model of ResearchGate? Summary

Diigo, nouveautés de rentrée 18 septembre 2014 Le mois de septembre voit d’importantes évolutions de la plateforme d’annotation et de gestion de signets diigo. Une bonne nouvelle (mais attention, il y a un os): la prise en charge de l’annotation des pdf. Une moins bonne nouvelle: la refondation du modèle de prix. À savoir: disparition du plan “basic” à 20$/an,apparition d’un plan dit “social” au tarif évolutif[1] et d’un plan dit “professionnel” à 59$/an,reconfiguration des plans “free” et “teacher”[2]et (surtout) modulation des possibilités “sociales”, c’est-à-dire essentiellement de l’ utilisation des groupes: alors que précédemment la possibilité de créer des groupes, aussi bien publics que privés, étaient ouvertes à tous, elle se trouve très sévèrement limitée à présent. Il semble que les équipes de diigo se soient trouvées là en face d’un problème de gestion de spams qui n’avait pas été anticipé[3]. Il est à signaler que les groupes existants, comme les groupes de veille des Urfist restent actifs (ouf!). Liens:

Over-Graph ! Un outil prometteur pour gérer ses réseaux sociaux Le net s’agite ! et avec ça les community managers commencent à avoir de plus en plus de besoins pour le traitement des flux d’informations, sans cesse plus important au fil du temps. Dans les sphères du digital, il ne se passe pas un jour sans qu’une news ne vienne titiller notre timeline. Aujourd’hui nous allons découvrir un de ces outils révolutionnaire pour les marques et les community manager; il se nomme Over-Graph Qu’est-ce qu’Over-Graph ? Dans un premier temps, laissons Camille Jourdain, Social Media Manager de l’agence 909c nous expliquer de manière simple et en quelques mots ce qu’est l’outil : Over-Graph, a été créé par l’agence 909c, spécialisée en Social Media. La solution est multi-réseaux et multi-profils et dispose d’une interface riche et relativement simplifiée. Vous pourrez visualiser la vidéo de présentation plus bas dans cet article. Un peu plus loin avec Over-Graph Multi-Réseaux-Sociaux & Multi-Profils Rendez-vous sur le site pour en savoir plus

La «twictée» s'invite dans les classes A l'école 2.0, la dictée est high-tech : elle s'ecrit sur une tablette, en 140 signes et est corrigée en réseau sur Twitter. Gadget ou révolution pédagogique ? Adieu les points d'exclamation dans la marge, les «0/20» énervés en rouge et les corrections en vert: à l'école 2.0, la dictée se passe désormais sur Twitter. On appelle «twictées» ces dictées de 140 caractères, tapées sur ordinateur ou tablettes numériques, et organisées en réseau entre plusieurs «twitclasses». Une première dictée a lieu en classe, «à l'ancienne»: chacun des élèves écrit seul, sur du papier et avec un stylo, la phrase de 140 signes dictée par le professeur. La «classe miroir» envoie ensuite ses corrections sur twitter, en utilisant des mots-dièse, appelés «twoutils» élaborés par les professeurs comme #lettrequichanteleson ou #homophone. L'écriture «à la main» et les tablettes restent combinées, et le fameux signe «hashtag» fait même son apparition sur le taleau noir.

Où en est-on des réseaux sociaux académiques ? Alors que l’utilisation des réseaux sociaux de chercheurs est toujours croissante, que les éditeurs s’y intéressent de plus en plus près et que les formations se développent, il nous semblait intéressant de refaire un point sur la question, un peu plus d’un an après un premier article « Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques ». Où l’on parlera de réseaux sociaux académiques bien sûr, mais aussi de pratiques d’information des chercheurs, de publication scientifique et de repositionnement des éditeurs, d’archives ouvertes ou encore des professionnels de l’information… Etat des lieux Comme l’an dernier, ce sont toujours Academia et ResearchGate qui dominent largement le paysage : Academia a dépassé les 21,5 millions d’inscrits, soit un triplement depuis février 2014[1], et ResearchGate dépasse les 6 millions d’inscrits, soit un doublement sur la même période, laissant loin derrière leurs concurrents (70 000 comptes pour MyScienceWork).

D’Aristote au Web de demain : l’intelligence collective selon Pierre Lévy | un blog, des blogs Lorsque l’on s’intéresse à l’Internet, on se rend rapidement compte que ce n’est pas une technologie comme les autres. Pour certains, l’Internet a même une valeur et un potentiel anthropologiques. En ce sens, l’Internet tendrait donc à représenter l’Humain sous tous ses aspects, à travers une synthèse des différentes sciences humaines et naturelles. (Il est intéressant de noter que le terme anthropologie vient de deux mots grecs, "anthrôpos" qui signifie homme au sens générique, et "logos" qui signifie « parole », « discours ».) C’est en tout cas sur ce principe que Pierre Lévy fonde le concept d’intelligence collective, dès 1994, notamment dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberespace. Pierre Lévy, au Brésil, en 2009 Toutefois, il estime que l’intelligence collective n’est en aucun cas un concept nouveau, mais a déjà été pensée par des philosophes du passé, et c’est son cheminement que je vais tenter de vous décrire à présent… La tradition Fârâbienne

Les réseaux sociaux pour chercheurs Mendeley est avant tout connu dans le monde académique comme un "reference manager", c'est-à-dire un logiciel de gestion des références bibliographiques à l'instar de Zotero qui est également libre et gratuit. Comme Zotero, et contrairement aux produits payants (Refworks, Endnote) qui ne disposent pas de ces fonctionnalités sociales, Mendeley permet de créer des groupes publics ou privés autour d'intérêts communs. L'association à un groupe privé se fait par envoi de mail du créateur du groupe à ceux qu'il souhaite inviter. Comme dans le cas d'un groupe d'utilisateurs sur une plateforme de social bookmarking (type Diigo), chaque fois qu'un membre du groupe souhaite entrer une référence non seulement pour son usage mais aussi pour celui du groupe, il sélectionne le groupe destinataire lors de l'enregistrement de la référence. En revanche, contrairement aux pages web sauvegardées dans Diigo, Mendeley ne permet pas de publier sa liste de références personnelles.

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