Help HER - » Understanding Hyperemesis | Overview Hyperemesis gravidarum (HG) is a severe form of nausea and vomiting in pregnancy. It is generally described as unrelenting, excessive pregnancy-related nausea and/or vomiting that prevents adequate intake of food and fluids. If severe and/or inadequately treated, it is typically associated with: loss of greater than 5% of pre-pregnancy body weight (usually over 10%) dehydration and production of ketones nutritional deficiencies metabolic imbalances difficulty with daily activities HG usually extends beyond the first trimester and may resolve by 21 weeks; however, it can last the entire pregnancy in less than half of these women. Complications of vomiting (e.g. gastric ulcers, esophageal bleeding, malnutrition, etc.) may also contribute to and worsen ongoing nausea. There are numerous theories regarding the etiology of hyperemesis gravidarum. Diagnosis is usually made by measuring weight loss, checking for ketones, and assessing the overall condition of the mother.
Outcomes of planned home birth with registered midwife versus planned hospital birth with midwife or physician + Author Affiliations Correspondence to: Dr. Patricia A. Janssen, School of Population and Public Health, University of British Columbia, 5804 Fairview Cres., Vancouver BC V6T 1Z3; fax 604 806-8006; pjanssen@interchange.ubc.ca Abstract Background: Studies of planned home births attended by registered midwives have been limited by incomplete data, nonrepresentative sampling, inadequate statistical power and the inability to exclude unplanned home births. Methods: We included all planned home births attended by registered midwives from Jan. 1, 2000, to Dec. 31, 2004, in British Columbia, Canada (n = 2889), and all planned hospital births meeting the eligibility requirements for home birth that were attended by the same cohort of midwives (n = 4752). See related commentary by McLachlan and Forster, page 359 The debate about the safety of home births continues in the literature, professional policy and practice. Methods Setting Study population Outcome measures Statistical analysis Results
Question de la semaine : Des antihistaminiques pendant la grossesse? Aujourd'hui, je parle d'un sujet proposé par Gabrielle Beaudoin : la sécurité des antihistaminiques pendant la grossesse. Vos nausées matinales n'ont plus rien de matinal et vous empêchent de fonctionner pendant toute la journée? La saison du rhume des foins a commencé et le bruit de vos éternuements ne vous permet plus de percevoir les mouvements de votre bébé? Votre médecin vous suggèrera alors peut-être un antihistaminique pour soulager vos symptômes. La question est légitime. Le résultat de cette situation, c'est qu'il n'est pas toujours facile d'atteindre un consensus sur la sécurité de certains produits pendant la grossesse. La question est d'autant plus complexe qu'il existe plusieurs types d'antihistaminiques et ceux-ci n'ont pas toutes les mêmes propriétés. D'une part, il y a ceux de première génération comme la diphenhydramine (bénadryl) ou la doxylamine (qui est une composante du Diclectin avec la vitamine B6). Références :
Planned hospital birth versus planned home birth - The Cochrane Library - Olsen Background Observational studies of increasingly better quality and in different settings suggest that planned home birth in many places can be as safe as planned hospital birth and with less intervention and fewer complications. This is an update of a Cochrane review first published in 1998. Objectives To assess the effects of planned hospital birth compared with planned home birth in selected low-risk women, assisted by an experienced midwife with collaborative medical back up in case transfer should be necessary. Search methods We searched the Cochrane Pregnancy and Childbirth Group's Trials Register (30 March 2012) and contacted editors and authors involved with possible trials. Selection criteria Randomised controlled trials comparing planned hospital birth with planned home birth in low-risk women as described in the objectives. Data collection and analysis The two review authors as independently as possible assessed trial quality and extracted data. Main results Authors' conclusions
L'accouchement naturel par le siège: sous quelles conditions? Même si on entend ici et là de beaux récits d'accouchement par le siège réussis, la majorité des bébés qui ne se sont pas retournés rendus à terme finissent en césarienne. Pourquoi tant de précautions médicales? Est-ce vraiment si dangereux de naître par le siège? Quels sont les risques? Pourquoi l'accouchement naturel par le siège est-t-il encore si difficile à obtenir? Dans le système actuel, quelles conditions permettent un accouchement vaginal par le siège? Premièrement, un ''siège'' est le terme utilisé lorsque le bébé se présente les fesses en premier. Varition des positions de siège: siège complet à gauche, siège incomplet au milieu, et siège décomplété en mode fesses à droite. En 2000, une étude intitulée ''l'étude Hannah'' semblait démontrer de plus grands risques lors d'un accouchement par voie basse que par césarienne. Mais quels sont ces fameux ''critères'' ou ''conditions'' pour que l'accouchement par le siège soit possible dans le système actuel?
Questions autour de l'AAD Oui et non ... Je m'explique : toutes les femmes ont la capacité d'accoucher à domicile. Mais votre SF peuvent estimer qu'il est préférable de ne pas tenter un accouchement à domicile : - en cas de déclenchement du travail avant 37 SA (car alors votre bébé sera prématuré et nécessitera vraisemblablement des soins spécifiques ...) - en cas d'hypertension (risque de pré éclampsie), - en cas de diabète gestationnel, - en cas de placenta previa (risque d'hémorragie), - en cas de grossesse multiple (risque de prématurité notamment). Souvent ce n'est donc qu'au 8è mois de grossesse (quand certains facteurs de risque auront pu être écartés) que votre SF donnera son feu vert pour un AAD. Je pense qu'on ne peut parler d'AAD qu'a posteriori. Sachez tout d'abord que ce n'est pas parce que vous avez subi une césarienne pour le premier que vous ne pouvez pas accoucher par voie basse du second... Liens sur l'AVAC : Les directives cliniques sur l'AVAC au Canada (document PDF) Cette étude a duré 4 ans. - etc
Préparer son accouchement avec l’aromathérapie © Copyright - Lianne Milton Accoucher est un moment merveilleux ! Malheureusement, la douleur et le stress nous fait parfois perdre un peu pied. C’est bien pour cela qu’on se prépare à l’accouchement autant physiquement que psychiquement ! Le but de cette préparation : atténuer le stress, la peur, positiverfaciliter le travail avec des contractions efficacesaccouchement rapidelimiter les dommages (épisiotomie, déchirure …)Soulager la douleur Quinze jours avant la DPA * (à partir de 39 semaines) Huile aromatique spéciale périnée Ingrédients : 1 cuillère soupe d’huile végétale de germes de blé 4 gouttes d’huile essentielle de Lavande officinale 2 gouttes d’huile essentielle de Camomille Mélangez tout les ingrédients dans un flacon ambré et Masser votre périnée avec quelques gouttes du mélange 2 fois par jour. Tout les jours 4 jours avant la DPA – et après l’accouchement pendant 1 ou 2 jours J-3 & le jour J Après l’accouchement *DPA : date prévue accouchement
Accoucher à la maison? Mais c’est super risqué! « Pour le droit de choisir son accouchement Accoucher à la maison? Mais c’est super risqué! Publié le Mis à jour le Voilà bien le gros souci, la raison pour laquelle les assureurs ne veulent pas couvrir les accouchements à domicile. Le CIANE fait bien le point sur les risques liés au domicile. Les AAD sont la suite d’un accompagnement global, c’est à dire que la même personne suit le couple de A à Z, un seul interlocuteur. Si une quelconque anomalie est décelée pendant la grossesse, la parturiente est orientée vers une maternité adaptée. Pendant l’accouchement, la Sage-femme est formée à détecter la moindre anomalie et est apte à décider si la situation nécessite l’intervention ou non d’un médecin. En cas d’anomalie à l’accouchement, plus la coordination Sage-femme/Hôpital est anticipée et optimale, plus le risque lié au transfert est moindre. d’où l’importance d’une bonne relation Sage-femme / Hôpitaux. Voici les cas d’urgence vitale énumérés dans le dossier Ciane: Like this: J'aime chargement…
Le placenta : principal matériel de réanimation | Midwife Thinking's French Blog Les connaissances à propos des bénéfices à court et long terme du « clampage tardif du cordon » sont finalement issues de la pratique. Les sages-femmes et parfois les obstétriciens réalisent l’importance de laisser la circulation placentaire s’arrêter avant d’intervenir. Personnellement je n’aime pas le terme « clampage tardif du cordon » mais préfère « clampage prématuré » pour décrire les différentes pratiques à ce sujet. Mais quelque soit le terme employé, la bonne nouvelle c’est que les bébés sont « gagnant » en terme de pratique. Les principaux bénéfices physiologiques sont regroupés dans une revue de la base cochrane : La littérature note également que le clampage tardif est associé à une augmentation du risque de jaunisse chez le nouveau-né. Réanimation et clampage prématuré du cordon Cet article explore la pratique du clampage prématuré du cordon lorsqu’un bébé a besoin d’être réanimé. Physiologie de l’adaptation du nouveau-né Le besoin de réanimation 1. 2. Pour le bébé Suggestions
«Si j'avais accouché à la maison je serais morte» On entend souvent des femmes ayant eu des accouchement très difficiles dire cette phrase:« Si j'avais accouché à la maison je serais morte», ou bien celle-ci: «Si j'avais accouché à la maison mon bébé serait mort». Pourtant, on ne peux pas savoir comment un accouchement qui s'est mal déroulé en milieu hospitalier se serait terminé si il avait eu lieu à domicile. C'est vrai que dans certains cas, un accouchement peut réellement tourner à la catastrophe, et dans ces cas nous sommes reconnaissants d'avoir accès à des soins d'urgence pour éviter le drame. En premier lieu, il est important de savoir que dans le système actuel, une femme qui présente le moindre risque n'aura pas accès aux soins d'une sage-femme et donc ne pourra même pas tenter l'accouchement à domicile. Je suis reconnaissante pour les services d'obstétrique et la possibilité d'accoucher à l'hôpital et d'avoir des soins lorsque l'accouchement ne se passe pas comme prévu. Une femme arrive à l'hôpital en travail.
Episiotomie, excision, ce sexe féminin qui effraye Aussi étrange que cela puisse paraître, le sexe des femmes fait peur aux hommes. La représentation la plus courante de cette angoisse masculine est le mythe du vagin denté présent dans bon nombre de cultures, y compris dans la nôtre. Ce mythe, abondamment décortiqué par la psychanalyse, renvoie à des peurs archaïques de castration, à la méfiance envers les femmes dévoreuses d’amants et à la crainte de la toute-puissance des mères. La forme la plus évidente de cette violence s’illustre dans les mutilations sexuelles coutumières telles que l’excision, l’infibulation et toutes les combinaisons plus ou moins raffinées de celles-ci. Certes, me direz-vous, mais il s’agit-là de croyances risibles véhiculées par des peuplades incultes perdues au fin fond de l’Afrique, alors que nous, Occidentaux attachés au progrès et à la science, pouvons nous féliciter de connaître le caractère inoffensif du clitoris. Le vagin denté n’est qu’un mythe bien éloigné de la réalité. Sources: Share and Enjoy
Questions fréquentes sur l'AAD - Naître Chez Soi r Est-ce que c’est légal en France ? Aucune loi en France n’interdit l’accouchement à domicile, les futurs parents font ce choix en conscience, soit accompagnés d’une sage-femme ou d’un médecin, soit sans assistance. Le collectif "Naître Chez Soi" a pris le parti de défendre l’accouchement à domicile accompagné par un(e) professionnel de santé. Le risque principal est lié à l’hémorragie du post-partum, une fois le bébé né le placenta doit être expulsé, c’est une phase critique qui justifie les 2 heures d’observation après la naissance. C’est pour cela que les SF font une sélection des femmes qui peuvent ou pas accoucher à la maison, un taux trop faible d’hémoglobines dans le sang pourra être une contre indication car il augure d’un risque plus important d’hémorragie. Ces cas sont très rares, néanmoins ils nécessitent un transfert d’urgence en milieu médical. r Est-ce que toutes les femmes peuvent accoucher à la maison ? r Quelles sont les contre-indications à un AAD ? r Combien ça coute ?
L’instrumentalisation de l’homme pendant l’accouchement de sa compagne Dans les années 1970, un vent égalitaire a poussé les futurs pères à assister à la naissance de leur enfant et à investir les salles d’accouchement. L’ambiance était à la révolution amoureuse, à la destruction du modèle patriarcal et à la contestation de l’ordre établi. Bien que largement soutenu, ce nouveau rôle des hommes n’a jamais été questionné ni analysé en profondeur. Dans l’imaginaire collectif, il suffit pour un homme d’offrir sa main à sa compagne qui accouche et lui permettre de broyer ses phalanges pour rencontrer l’idéal d’amour et d’égalité au sein du couple. C’est malheureusement sans compter sur l’organisation misogyne des hôpitaux et les fondements sexistes de l’obstétrique, source de violences parfois extrême contre parturientes, et qui instrumentalise les futurs pères dans un rôle empreint de domination masculine. Traditionnellement, l’accouchement était une affaire de femmes. La péridurale imposée aux femmes en est un exemple. Vers l’émancipation des futurs pères
Association Accoucher Librement - L’accouchement à domicile La naissance, comme la mort, est le moment le plus important de la vie d'un être humain. On y fait son entrée dans le monde, de même qu'on le laisse derrière soi lorsqu'on meurt. De plus en plus de recherches scientifiques converge pour donner au nourrisson une conscience très large et aiguisée de son environnement. Et être maîtresse de son accouchement ne veut pas dire, nécessairement, accoucher seule ni refuser une aide extérieure et médicale. Pourquoi l’AAD ? Se réapproprier son accouchement: j'accouche, je ne me fais pas accoucher Depuis quelques dizaines d'années dans les pays occidentaux, on a pu constater une tendance marquée à l'hospitalisation systématique de la femme, et par voie de conséquence, de l'enfant nouveau-né, dans les maternités publiques et privées. Lorsque le choix se fait vers la structure médicalisée, cela peut entraîner plusieurs ruptures Pour qui l'AAD? Comment l'AAD? Explorons maintenant les différents ingrédients du contexte d'un AAD L'arrivée du bébé