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L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans

L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans

Comment travailler la musique en ligne? “The answer is the ecosystem” Gabriel Hallé, de TEAMS, qui intervient beaucoup sur le site, vous propose aujourd’hui de vous intéresser à une thèse developpée par Bas Grasmayer, qui, avec des graphiques très explicites, récapitule tous les concepts marketing et les business plans de la nouvelle école de l’industrie musicale. Si vous êtes investis dans la musique et que vous êtes ok avec l’anglais, vous devriez être bluffé par cette excellente thèse The Answer is the Ecosystem – Marketing Music through non-linear communication, réalisée par Bas Grasmayer. Bas travaille pour Official.fm, l’excellente plateforme dédiée aux artistes et labels DIY. Il a aussi pas mal bloggué sur la musique digitale, notamment pour des sites US référents comme Techdirt ou Hypebot. Cette étude est une véritable mine d’informations sur les nouveaux comportements des audiophiles et les modèles marketing émergents de la musique. Vous pourrez la retrouver ici

Wave 5 the socialisation of brands - report Echofi offre les radios personnalisées à Spotify | MUSIC:ENTER Behind The Tweetbook: An Interview With James Bridle I wrote about the tweetbook a couple of days ago, James Bridle’s publishing experiment involving two years worth of tweets in a book printed by print-on-demand service Lulu. Since I find both Twitter in particular and publishing in general interesting, I got in touch with James to find out more about the project. Yes. No, I’ve no intention of selling it. That you can do pretty much anything you like with books and the web if you know a bit of PHP and a bit of InDesign. Not in any particularly obvious ways. I’m not a huge fan of blogs as books – which this isn’t. I’d like to thank James Bridle for taking the time to do this short interview.

Can Brands Maintain Engagement on Facebook? Growing a base of Facebook fans is often a major objective for social media marketers. Whether through special offers available only to fans, the promise of exclusive content or simply through a compelling campaign that reaches already-loyal customers, marketers are building up their presence on Facebook pages and hoping consumers flock there as well. But as fan bases grow, the danger increases that the larger community will be less close-knit and engaged than before. Link-sharing solutions provider Visibli analyzed Facebook pages with at least 100,000 “likes” and found that for brands and media organizations, pages with more fans received fewer “likes” on each individual post. Engagement went down as the number of people involved went up. And overall, brands are behind both artists and media organizations when it comes to average number of “likes” and comments per post. In addition, the research from Visibli points to how brands should space out their posts.

Brands: This is how to get more involved with social ads First, they whys. Why should brands be in the social space? According to reports Experian Hitwise, social network Facebook is the most-searched term for the second year in a row, and according to reports from comScore more than 70% of American adults are already active on social networks. Some estimates have Facebookers spending upwards of 700 billion minutes (cumulatively) on the network each month. "The vast majority of marketers agree that social media is a powerful tool for brands and that in today's market, it's about being present and part of the conversation," said Luca Milano, vice president of product solutions for Unicast. How can a brand, especially a smaller brand, become relevant in the social space?

Les Marques Peuvent-elles Maintenir L’Engagement Sur Facebook Augmenter sa base de fans sur Facebook est souvent un objectif majeur pour les professionnels des médias sociaux. Que ce soit par des offres spéciales disponibles uniquement pour les fans, la promesse d’un contenu exclusif, ou tout simplement grâce à une campagne convaincante qui atteint des clients déjà fidèles, les marketeurs sont en train de construire leur présence sur les pages Facebook et espèrent que les consommateurs y affluent aussi. Mais comme les bases de fans se développent, un danger guette : la communauté pourrait être moins soudée et engagée que par le passé. L’entreprise Visibli a analysé les pages Facebook qui comportaient au moins 100 000 « J’aime » et a constaté que pour les marques et les médias, les pages avec le plus de fans recevaient moins de « J’aime » sur chaque message. L’engagement diminuait parce que le nombre de personnes impliquées augmentait. Traduction : Emarketer

Justin Bieber is more influential online than the Dalai Lama or US president | Media | The Observer How influential are you as an online opinion-former? A San Francisco-based social networking index believes it has the answer. Klout, tipped as the next big thing in the rapidly evolving world of social media, is being described by its creators as "the standard for online and internet influence". Using a complicated series of algorithms, the system adds up a person's tweets, likes, pings, LinkedIn connections, Google mentions, status updates and other social media musings. The ripple effect of that online contribution is used to measure how much influence a person has online and, by inference, whether they are worth listening to. A quick look at Klout's top 20 rankings shows how confusing the social media landscape can be. The idea is the brainchild of tech entrepreneur Joe Fernandez. Size isn't everything. Klout's ability to identify who is influential on different topics has already attracted serious interest from companies looking for online impact. The system has its critics.

Quel type de fan de Metallica es-tu ? James, en pleine concentration. Le Black Album a vingt ans, et ce sera la justification de ces lignes parce que Metallica ne peut pas être qualifié de "son perdu", sauf peut-être le Ron McGovney's '82 Garage demo et ses reprises foireuses de Diamond Head. L'album noir, l'album sans nom. L'album qui a été cette coupure nette dans la carrière d'un groupe qui a révolutionné un genre avant de l'ouvrir, quoique un peu édulcoré, au grand public. A posteriori, on se dit que James et les autres ont consciemment fermé une parenthèse en 1991, après avoir fait le tour du thrash pur et dur, sans être sûrs vers quoi ouvrait la nouvelle. Après le Black Album, c'est aussi devenu les disques de platine (15 !) Vingt ans après, c'est pourtant pas absurde de dire que leur influence n'a jamais été aussi grande, même si leurs meilleures années musicales sont loin derrières eux (quelque part entre 1984 et 1987). Le fan hard-core de la première heure ('81-'84). Le fans de la période dorée ('84-88).

"Une application mobile permet de changer l'expérience musicale" L'artiste islandaise sortira un nouvel album enrichi par une dizaine d'applications mobiles sur iPhone et iPad. Le JDN l'a rencontrée pour en savoir plus sur sa démarche. JDN. Votre prochain album, "Biophilia" sera accompagné par pas moins de dix applications mobiles pour iPhone et iPad. Pourquoi avoir fait ce choix ? Björk. Je ne voulais pas faire dix chansons et proposer la même application à chaque fois, je voulais des expériences émotionnelles différentes qui permettent de jouer et transformer mes chansons, en interagissant avec des éléments tirés de la nature, comme des éclairs, la Lune ou des cellules organiques. Pensez-vous qu'une application mobile peut permettre de pousser les gens à payer à nouveau pour de la musique ? J'ai la chance de ne pas avoir à me concentrer sur l'aspect commercial de ma musique. Développer une application coûte cher et vous en avez fait réaliser dix. Björk Guðmundsdóttir est une musicienne, chanteuse, compositrice et actrice islandaise.

Quels contenus les internautes attendent-ils sur un site de marque ? Les internautes attendent des informations pratiques de la part des sites de marques mais aussi des contenus de fond, selon un étude Ipsos Public Affairs, commandée par L'Agence de Contenus. 98% des internautes de16 à 64 ans consultent les sites de marques et 44% s'y rendent au moins une fois par semaine. Si 95% d'entre eux se déclarent satisfaits, ils ne sont que 10% à s'estimer "très satisfaits" des sites de marques. Interrogés sur les éléments qu'un site Internet de marque doit proposer en priorité, les informations sur les produits (83%) et sur les prix (82%) arrivent en tête, devant la "possibilité d'acheter en ligne" (70%), "les conseils pratiques" (65%) et "les informations sur les points de vente" (57%). 71% des internautes ont "confiance en la fiabilité des informations fournies sur un site de marque" et 77% déclarent que les sites de marques peuvent être "une source d'informations sérieuse sur un secteur donné". En savoir plus sur Offremedia.com

Plus efficace qu'hadopi, le paradoxe de la musique en ligne à volonté | A nos vies numériques Une fois n’est pas coutume, je vais m’exprimer à la première personne dans ce billet qui s’appuie sur mon expérience de la musique en ligne. Je suis depuis plus d’un an abonné à Deezer premium, ce qui me permet d’écouter ce que je veux quand je veux en streaming, et de télécharger des albums sur mes ordinateurs, tablettes et téléphones portables. Le premier effet de cet abonnement est que je n’ai plus acheté la moindre musique sur iTunes, le magasin d’Apple, depuis que j’ai souscrit à Deezer. Un an plus tôt, j’achetais pour bien plus que 9,99 euros mensuels de musique… Au delà de ce constat économique, cet abonnement amplifie un phénomène que j’avais déjà commencé à constater depuis la bascule du CD vers le MP3 (légal ou non) : j’ai de moins en moins de proximité avec de nouveaux albums. Aujourd’hui grâce à Deezer, j’ai tous les albums que je veux, quand je veux. Suis-je seul à constater ce paradoxe ?

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