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Charte des Bibliothèques

Manifeste : La musique a toute sa place en bibliothèque La musique est un langage universel propre à attirer et à fédérer tous les citoyens, indépendamment de leurs origines et de leurs catégories socioprofessionnelles. Si l'écoute et la pratique musicale ne cessent de se développer dans le monde, en revanche la culture musicale est trop souvent négligée au niveau institutionnel en France, excepté dans de rares circuits, et n'a jamais été prise en compte par des acteurs économiques davantage préoccupés par la rentabilité de leurs investissements que par la diversité musicale. Le défunt Conseil Supérieur des Bibliothèques avait constaté dans ses différents rapports que la place de la musique était encore insuffisante dans les bibliothèques. Alors même que cette situation perdure globalement, la musique en bibliothèque est aujourd'hui fragilisée par la baisse des prêts, le développement de l'écoute et du téléchargement en ligne. (version définitive du texte adopté lors de l'Assemblée Générale de l'ACIM le 28 mars 2011 à Auxerre.

Manifeste : La bibliothèque est une affaire publique (ABF) A l’occasion des élections présidentielle et législatives, l’Association des bibliothécaires de France prend l’initiative de porter à la connaissance du public et des responsables politiques à tous les niveaux de l’organisation territoriale et nationale son manifeste du 2 mars 2012 qui, sous le titre « La bibliothèque est une affaire publique », affirme la place des bibliothèques et médiathèques dans les politiques publiques. Se référant au contexte de la crise financière, des évolutions sociales et des modes de vie et de la révolution numérique, ce manifeste : rappelle que les bibliothèques sont partout, y compris sur Internet ; montre qu’elles participent à la révolution numérique en cours ; jouent un rôle essentiel dans l’appropriation de la culture, de la connaissance et de l’information, dans la formation tout au long de la vie, dans le débat citoyen ; constituent des espaces publics irremplaçables pour faire société dans la vie d’aujourd’hui. Le manifeste Le communiqué de presse

Education artistique et culturelle : le potentiel sous-exploité des bibliothèques Publié le • Mis à jour le • Par Hélène Girard • dans : France Pour la première fois, une étude fait l’état des lieux des projets d’éducation artistique et culturelle (EAC) dans les bibliothèques publiques. Produite par le Service du livre et de la lecture (SLL) du ministère de la Culture), l’enquête intitulée « les actions des bibliothèques territoriales en matière d’éducation artistique et culturelle » constitue une base qui permettra d’observer les évolutions de ce type d’activités. La bibliothèque apparaît comme le lieu riche de possibilités en matière d’éducation artistique et culturelle affirment les rédacteurs du document. leurs collections, encyclopédiques et patrimoniales ;le savoir-faire des bibliothécaires en matière d’animation et de médiation ;la place « singulière » de cet équipement, inscrit dans un territoire et parfois unique équipement culturel de la commune. Forte présence auprès des enfants Atelier d’enfants, BM de Fleury-sur-Orne (Calvados), BY-CC Marges de progression

Manifeste unesco ifla bb publiques La liberté, la prospérité et le développement de la société et des individus sont des valeurs humaines fondamentales. Elles ne peuvent s'acquérir que dans la mesure où les citoyens sont en possession des informations qui leur permettent d'exercer leurs droits démocratiques et de jouer un rôle actif dans la société. Une participation créatrice et le développement de la démocratie dépendent aussi bien d'une éducation satisfaisante que d'un accès libre et illimité à la connaissance, la pensée, la culture et l'information. La bibliothèque publique, porte locale d'accès à la connaissance, remplit les conditions fondamentales nécessaires à l'apprentissage à tous les âges de la vie, à la prise de décision en toute indépendance et au développement culturel des individus et des groupes sociaux. La bibliothèque publique est le centre local d'information qui met facilement à la disposition de ses usagers les connaissances et les informations de toute sorte.

Philosophie de la musique libre C’est un système de diffusion de la musique anarchique, mais high tech, reposant sur l’idée que la création, la reproduction et la distribution musicales doivent être des activités aussi libres que le fait de respirer, de cueillir un brin d’herbe ou de se prélasser au soleil. La notion de « musique libre » est semblable à celle de « logiciel libre [1] Voir R. Stallman, « Le Manifeste GNU », supra et h... [1] » et, comme dans le cas du libre accès aux logiciels, le terme « libre » se réfère à la liberté et non au prix. « Musique libre » signifie en particulier que tout individu a le droit de reproduire, de diffuser et de modifier la musique à des fins personnelles et non commerciales. « Musique libre » ne signifie pas que les musiciens ne peuvent pas faire payer les disques, les bandes, les disques compacts ou les DAT (digital audio tapes) qu’ils produisent. La musique est un processus créatif. La plus haute récompense des musiciens, c’est leur propre musique, et rien d’autre.

La musique a toute sa place en bibliothèque (ACIM) La musique est un langage universel propre à attirer et à fédérer tous les citoyens, indépendamment de leurs origines et de leurs catégories socioprofessionnelles. Si l’écoute et la pratique musicale ne cessent de se développer dans le monde, en revanche la culture musicale est trop souvent négligée au niveau institutionnel en France, excepté dans de rares circuits, et n’a jamais été prise en compte par des acteurs économiques davantage préoccupés par la rentabilité de leurs investissements que par la diversité musicale. Le défunt Conseil Supérieur des Bibliothèques avait constaté dans ses différents rapports que la place de la musique était encore insuffisante dans les bibliothèques. Alors même que cette situation perdure globalement, la musique en bibliothèque est aujourd’hui fragilisée par la baisse des prêts, le développement de l’écoute et du téléchargement en ligne. (version définitive du texte adopté lors de l’Assemblée Générale de l’ACIM le 28 mars 2011 à Auxerre.

Quel sens pour l'action culturelle en bibliothèque ? Je vous remercie, Monsieur le Président, ainsi que l’Association que vous présidez, de m’avoir fait l’honneur de m’inviter. Cet honneur est double, car outre le plaisir que j’éprouve d’avoir à parler devant des bibliothécaires, une autre chose m’a attiré ici en agenais... Je me sens ici comme une sorte de moinillon en pleine papauté, dans la mesure où, vous le savez, Agen est une des capitales du rugby, sport que j’ai pratiqué moi-même pendant 25 ans. Il m’a été demandé de réfléchir au sens de l’action culturelle en BDP... La question me trouble un peu et je ne suis pas sûr d’avoir ici quelques éléments de réponse ; mais, comme tout bon philosophe, j’essaie de comprendre la question. Si la question se pose, c’est que le métier que vous faites et l’acte de lecture que vous essayez de promouvoir ont perdu de leur évidence. On y fait sûrement quelque chose. Que fait-on dans une bibliothèque ? Pour répondre à cette question, j’aimerais vous fournir quelques éléments de réflexion.

Autonomie des usagers - Introduction "Quelles actions de sensibilisation et de formation les bibliothèques mettent-elles en œuvre pour favoriser l’autonomie des lecteurs, en leur faisant connaître les outils et les services de la bibliothèque et son environnement documentaire ?" (sujet de concours BAS FPE en 2007) Le manifeste de l’UNESCO, la charte des bibliothèques publiques du CSB ou encore le code de déontologie du bibliothécaire de l’ABF accordent tous une place importante à l’autonomie de l’usager et au développement des compétences de base nécessaires à l’accès à l’information. Les référentiels de la fonction publique territoriale et d’Etat déclinent eux aussi les activités liées à l’accompagnement et à la formation des usagers comme des éléments clés pour remplir les missions de service (au) public des bibliothèques.

Valoriser des contenus libres de droit en bibliothèque. Pouvoir et vouloir – La veille apprivoisée #12 Commercialisation - Par L.Dujol. CC-BY-SA Sélection hebdomadaire d’informations parues sur le web concernant le monde de l’info-doc et les enjeux du numérique. Valoriser le domaine public - A quand des journées nationales du bien commun ? – Bertrand Calenge : carnet de notes Bertrand Calenge manifeste une inquiétude bien réelle au sujet "des ressources documentaires de plus en plus réduites à la monétisation du droit à leur accès et pour les nouvelles formes numériques du savoir cantonnement juridique de l’intérêt général à des “exceptions”. "Il faut s’émerveiller qu’une œuvre accède enfin au domaine public et devienne ainsi la propriété de tous, un Bien commun en somme (voir l’intéressant article d’Hervé Le Crosnier) ! Une journée internationale du domaine public existe déjà, et des bibliothécaires français vont participer à leur façon à cette célébration. Dans son billet "Célébrer ou pas le domaine public : je veux bien faire la fête mais pour qui ?" Une difficulté que n’est pas anodine.

Bib'lib - Bibliothèque pour l'accès libre à l'information et aux savoirs mise à jour le 23 juin 2015 Une charte et un label pour affirmer le droit fondamental des citoyens à accéder et à partager l’information et aux savoirs par les bibliothèques. Plaquette de la charte Signataire en 2014 de la « Déclaration de Lyon sur l’accès à l’information et au développement » présentée lors du 80e congrès de l’Ifla, l’ABF s’était engagée dès 2013 à travailler sur une charte de l’accès à l’information en bibliothèques. Les bibliothèques, des portes locales d’accès aux savoirs et savoir-faire. L’émergence du numérique a facilité et encouragé les usages de création et de diffusion au point d’offrir une opportunité extraordinaire de construire une société du savoir partagé à l’échelle du monde. Le numérique ne doit pas remettre en question les fondements de nos missions. C’est d’ailleurs ce que promulgue la « Déclaration de Lyon sur l’accès à l’information et au développement » présentée lors du 80e congrès de l’Ifla qui s’est tenu à Lyon en août 2014.

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