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Le smartphone va-t-il tuer l'appareil photo ?

Le smartphone va-t-il tuer l'appareil photo ?
On n'a jamais pris (et partagé) autant de photos. Facebook, Instagram, Flickr... Les clichés pullulent sur les réseaux. Pourtant, les ventes d'appareils photos ne cessent de chuter. Elles sont passées de 145 millions d'appareils en 2010 à 76 millions prévus pour cette année. Résultat : les industriels, principalement japonais, affichent des résultats catastrophiques. Paradoxalement, les réseaux sociaux explosent. "Une tendance propulsée par Instagram" Samsung a inauguré la tendance avec son Galaxy Camera, mi-smartphone mi-appareil photo. Si les trois constructeurs s'affrontent en vantant leurs mégapixels, ces nouveaux smartphones révèlent une tendance de fond : le téléphone remplace peu à peu l'appareil photo compact. "Il s'agit d'une véritable tendance propulsée par des applis comme Instagram", confirme Marc Jalabert, directeur de la division grand public chez Microsoft France, qui vient de racheter Nokia. A l'usage, les trois téléphones se révèlent très pratiques. Related:  Ce qu'il faut retenir cette semaine 04_10_03

Arrêtez d’avoir peur, la technologie rend le monde meilleur «Inventez quelque chose, ayez une idée vraiment originale et il y a de bonnes chances pour que les premières réactions face à cette innovation, notamment des autorités de toutes sortes, sera de s’inquiéter de ces dangers». La science et l'innovation technologique qui ont sorti l’humanité de sa condition animale et de la misère la plus profonde suscitent aujourd'hui une peur irraisonnée et irréfléchie explique Reason.com. Le site libertarien américain se lance dans un plaidoyer assez rare aujourd'hui en faveur du progrès. Une foi positiviste qui semblait presque avoir disparu. Les imprimantes 3D peuvent changer notre monde et permettre de mouler des objets de toute sorte dans votre salon en utilisant des schémas trouvés sur internet. En fait, «l’innovation technologique est une menace permanente pour les autorités centralisées. Toutes ces critiques ne sont pas fausses. Passons-nous trop de temps avec nos ordinateurs, nos téléphones intelligents, nos tablettes?

Le chemin vers les territoires numériques de la France de demain reste à tracer Le chemin vers les territoires numériques de la France de demain reste à tracer Retour sur le rapport Lebreton… Entre enthousiasme et doute, peut-être est-il ainsi possible de résumer mon sentiment à la lecture du document que Claudy Lebreton a remis à la Ministre de l’égalité des territoires et du logement en septembre 2013. Enthousiasme tant les éléments de diagnostic et l’analyse de quelques-unes des opportunités numériques paraissent forts. Doute pourtant, et c’est ce qui domine, à la lecture de recommandations qui ne tracent pas encore une véritable route pour construire les territoires numériques de la France de demain. Pour l’humble observateur des politiques numériques que je suis désormais, le rapport Lebreton se présente d’abord comme une gourmandise délicieuse tant le diagnostic est brillant. Numérique et institutions publiques ou comment changer sans rien changer ! France éternel pays de la mode où une saison chasse la saison précédente? Signalez cet article sur vos réseaux:

Etre un parent 3.0 : vie réelle, vie virtuelle les précautions sont les mêmes Chers parents, Si vous lisez ce blog, vous êtes un parent averti. Des usages numériques. Mais êtes-vous également un parent averti des droits et des devoirs qui vous incombent en tant que géniteurs de blogueurs, tweeteurs, facebookeurs, bref, en tant qu’éleveurs d’enfants qui s’expriment sur le Net en général et sur les réseaux sociaux en particulier ? Si nous sommes tous ici d’accord pour dire qu’un parent, qu’il « parente » devant ou derrière un écran, devient de fait, le jour où son enfant paraît, un être pleinement responsable, il est parfois bon de rappeler que les territoires numériques, parce qu’ils sont éminemment humains, relèvent également du droit. Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, Olivier Iteanu est avocat, un des pionniers dans le droit des technologies de l’information, qui a, comme l’explique sa page Wikipedia, notamment été président de l’ISOC France (Internet Society, qui a pour mission la promotion d’un Internet pour tous).

Parce que le Net le vaut bien LE MONDE | • Mis à jour le | Par Laure Belot Mathieu s'est longtemps servi sur le Net, sans jamais se poser de question. "Au collège, on ne parlait jamais de "gratuité". Désormais responsable marketing dans la téléphonie, ce jeune trentenaire se met à payer. Lire aussi : "Payer sur le Net est devenu un acte militant" La tendance, émergente, est bien réelle. Le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG) a mené, au premier trimestre 2013, une étude auprès de 7 000 consommateurs européens. Ainsi les habitants des petits pays non anglophones (suédois, polonais, tchèques, néerlandais, mais aussi français) sont devenus des pros pour "retirer le plus de valeur d'Internet" - c'est-à-dire... profiter de l'abondance gratuite -, analyse Pierre-Yves Jolivet, directeur associé au BCG. L'appel à témoignages "Vous commencez à payer sur Internet, pourquoi ?" Mathieu attend désormais une offre équivalente pour les films. Elise, cadre bancaire de 27 ans, le rejoint. Aucune peur du gendarme ?

Des tablettes à l'hôpital C’est une authentique révolution que vit depuis un an le CHRU de Lille. Près de 2 000 terminaux multimédia sont en train d’être installés dans les chambres des douze hôpitaux du centre hospitalier. Ils remplacent l’ancien réseau télé, qui datait de 1992. Aujourd’hui, depuis leur lit, les patients peuvent surfer sur Internet, télécharger une émission ou se raser grâce à l’effet miroir de la webcam. Et demain, ce sont les professionnels de la santé qui pourront accéder aux données des malades depuis ces tablettes. Depuis 2008, Franck Van Craynest vient tous les mois au service d’hématologie pour un traitement qui l’oblige à rester alité deux jours. Mi-octobre, mille terminaux auront été installés. « Le réseau télé était totalement obsolète », explique ce dernier. « Du coup, on a décidé de franchir une étape vers l’avenir en passant directement au multimédia. Le prix est le même qu’avant pour le patient

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