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L'internet des objets pèsera 1.900 milliards de dollars d'ici 2020

L'internet des objets pèsera 1.900 milliards de dollars d'ici 2020
New York - Les objets connectés («internet des objets») devraient ajouter quelque 1.900 milliards de dollars de valeur à l'économie mondiale à l'horizon 2020, selon des estimations du cabinet américain de recherche Gartner publiées lundi. A cette date, jusqu'à 30 milliards d'appareils et d'objets seront connectés à internet avec leur propre adresse IP, quand ils n'étaient que 2,5 milliards en 2009, souligne le cabinet. A l'époque, il s'agissait essentiellement de téléphones portables et de PC, précise Gartner. Des fabricants commencent toutefois à présenter désormais des montres, des lunettes, ou de l'électroménager intelligents, et selon le cabinet, la gamme d'objets concernés va aller en s'élargissant. «La puissance informatique sera bon marché et cachée. «Nous mettrons davantage d'ordinateurs dans le panier à linge en une semaine que ce que nous en avons utilisé durant toute notre vie jusqu'ici», ajoute-t-il.

Objet Connecté : histoire et définitions | Internet des Objets, IoT, objets connectés… Autant de termes qui peuvent paraître flous pour les moins technophiles, imprécis pour les autres. A l’heure où les objets connectés se démocratisent un peu plus chaque jour, revenons un moment sur leur histoire et l’origine de ce que nous appelons l’IoT. Définitions des objets connectés, de l’Internet of Things (IoT) et de l’Internet des Objets (IdO) Toutes ces notions se mélangent un peu, pas vrai ? Et il est souvent difficile d’établir avec précision à partir de quand un objet et connecté et à partir de quand débute l’Internet des Objets. Parfois raccourci en IdO, ou plus souvent en IoT (Internet of Things), ce concept représente l’expansion du réseau Internet à des objets et/ou des lieux du monde physique. Le terme d’Internet des Objets ne possède pas encore de définition officielle et partagée, qui s’explique par le fait que l’expression est encore jeune et que le concept est encore en train de se construire. La question délicates des datas

Qui contrôle (vraiment) les objets connectés ? Je l'ai déjà souligné à plusieurs reprises dans ce blog : la robotisation et l'automatisation seront les tendances dominantes des années qui viennent. Et cela ne concernera pas seulement les process industriels ou les lignes de montage. Le traitement des data et même leur interprétation sont aujourd'hui confiés à des calculateurs géants, nourris d'algorithmes de plus en plus complexes. Les avions et les automobiles s'auto-piloteront (ils en sont déjà capables aujourd'hui comme le démontre l'usage de plus en plus large des drones, civils et militaires). Chacun de nous, dans sa vie quotidienne, sera concerné par cette vague montante. Les robots domestiques font leur apparition et tout laisse penser que beaucoup des actes de la vie quotidienne, à la maison et dans l'entreprise seront, à plus moins ou moins brève échéance, accomplis par des robots. Défaut de logiciel 50 milliards d'appareils connectés d'ici 2020

L'UIT se penche sur l'Internet des objets dans les villes L’Union internationale des télécoms (UIT) vient d’annoncer l’ouverture d’un nouveau groupe de travail consacré à l’Internet des objets (IoT). Et plus particulièrement l’application des objets connectés au sein des villes dans la perspective d’accompagner le développement des smart cities. Cette initiative viendra compléter les travaux que l’UIT entretient sur l’IoT depuis 2005 à travers ses rapports sur Internet. Normalisation des architectures de bout en bout Ce « UIT-T SG20 » (plus exactement baptisé « UIT-T Study Group 20 : IoT and its applications, including smart cities and communities ») s’attachera à installer des standards pour coordonner le développement des technologies de l’IoT, y compris celles propres au M2M (objets communicants cellulaires) et aux réseaux de capteurs dans l’ensemble de leur diversité. La 5G au cœur de l’IoT Au cours de leurs travaux, les participants aborderont probablement les questions de capacité des réseaux à supporter ces milliards d’objets connectés.

L’objet intelligent du futur exploitera nos pensées En écho à Leap Motion, aux smartwatch, smartglass… les Apple, Google et consorts préparent-ils déjà en secret des concepts de smartcap ou smarthat ? Et si l’objet intelligent du futur était capable d’interpréter nos pensées via les technologies BCI (Brain-Computer Interfaces) ? Fantasme futuriste ou réalité à portée de casque ? Les IHM BCI exploitent l’ensemble des signaux émis par un groupe de neurones situés dans une ou plusieurs zones du cortex cérébral via des électrodes. 1er défi, le cerveau et le cortex émettent sans interruption une quantité astronomique de signaux électriques qu’il faut pouvoir capter, mesurer, différencier, interpréter… et auxquels s’ajoutent des éléments dits “parasites” (signaux musculaires et cardiaques par exemple). 2nd défi, en admettant que la technologie soit en mesure de trier et classer les signaux en fonction de leur nature, les signaux biologiques d’un individu varient entre deux instants donnés. A propos de Loïc Bardon

"L'Internet des objets", entre ouvertures et libertés ? A l’occasion des Entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, Internetactu.net revient sur quelques présentations parmi les plus marquantes de ces deux jours. Le système des objets fait-il peser une menace sur l’internet ? “L’internet est un système technique”, rappelle Christian Fauré (blog), architecte principal chez Cap Gémini et coauteur avec Bernard Stiegler et Alain Giffard de Pour en finir avec la mécroissance. “Quand un nouveau système technique se stabilise, arrive à une certaine maturité, il provoque des désajustements sociologiques, économiques et politiques avec l’ancien système technique.” L’enjeu auquel nous faisons face, explique Christian Fauré, c’est le choix du réajustement. “Quelles peuvent être les menaces à l’encontre de ce qu’a apporté l’internet ?” Quand le web des données rencontre l’internet des objets Pourquoi et comment libérer les données ?

Web 3.0, web sémantique, Internet des objets : Philippe Gautier 1. On pourrait définir le Web 3.0 comme la conjonction de l’Internet des objets et du web sémantique. Quels sont les outils incontournables dans ce futur écosystème, les technologies sensorielles de type RFID, code à barre ou GPS sur lesquels les applications devront s’appuyer ? Trois idées importantes sont introduites en même temps, sur lesquels beaucoup de personnes divergent encore sur les définitions à l’heure actuelle... essayons d’y voir plus clair : A l’origine, l’Internet des Objets est un concept dans lequel on identifie des objets de façon unique. Ces identifiants sont inscrits sur des codes à barres, des tags RFID, NFC… qui sont apposés sur les objets physiques. Ces évènements sont ensuite collectés et enregistrés dans des bases de données, puis agrégés, consolidés ou utilisés avec d’autres informations déjà traitées dans les systèmes informatiques en place pour des besoins de traçabilité, de gestion logistique, de vente, etc. 2. S’agit-il du pays des merveilles d’Alice ?...

Internet des objets: Microsoft et Toshiba vont travailler ensemble Toshiba et Microsoft ont décidé de travailler ensemble sur la mise au point d’applications dans le domaine de l’IoT (Internet of Things) ou « internet des objets ». Capture photo : webdesobjets.fr Les deux géants sont parfaitement conscients qu’un énorme marché potentiel va se créer dans le secteur de l’internet des objets et souhaitent donc allier leurs moyens et leurs compétences pour développer des applications, notamment dans le suivi logistique. Toshiba et Microsoft s’allient pour partir à la conquête de l’internet des objets L’internet des objets est un marché en pleine explosion, en 2010 on ne recensait que 4 milliards d’objets connectés, englobant aussi bien les M2M (machine to machine), mais aussi des objets ne disposant pas de composants pour se connecter directement au web. 4 ans plus tard le chiffre est passé à 15 milliards et les analystes estiment qu’en 2020, on devrait avoir passé le cap des 50 milliards d’objets connectés à internet. Source

Dossier : L'internet des objets va-t-il tenir ses promesses ? L’internet des objets ou IoT envahit notre quotidien à grande vitesse et ne cesse de changer nos habitudes pour les faire évoluer vers quelque chose de meilleur. Et bien que cela soit une évolution logique pour notre futur, est-ce que nous en sommes vraiment satisfaits ? L’internet des objets fait partie de la préoccupation majeure des grandes compagnies qui sont prêtes à miser gros pour se développer dans ce secteur. Des remarques on ne peut plus pertinentes, qui tendent à nous montrer que l’écosystème n’est pas encore au point. Quels sont les enjeux majeurs dans l’internet des objets ? Pour une entreprise, il faut avoir un produit utile, à la pointe de la technologie, tout en étant attractif en terme de prix. Le plus bel exemple, c’est celui du traqueur d’activités pour lequel les consommateurs ont des attentes précises. Les objets peuvent-ils être connectés les uns aux autres ? Nous connaissons déjà en partie la réponse à cette question. Qu’en est-il pour les entreprises ?

Objets connectés, un marché à 1300 milliards de dollars en 2019 Les dépenses consacrées au développement de l’Internet des objets (IoT) vont croitre de 17% par an jusqu’en 2019. A cette date, elles devraient s’élever à 1 300 milliards de dollars, avance IDC dans son dernier Guide des dépenses (Spending Guide). Contre moins de 699 milliards en 2015. Une façon de souligner que les enjeux autours de l’écosystème des objets connectés sont énormes pour les fournisseurs de solutions, de services et les opérateurs. L’IoT au service de l’assurance, la santé et les consommateurs Selon le cabinet d’étude, les principaux secteurs verticaux qui tireront le marché de l’IoT vers le haut au cours des quatre prochaines années se concentreront autour de l’assurance (avec une croissance annuelle estimée à près de 32%), la santé et la grande consommation. D’un point de vue régional, le déploiement des objets connectés est aujourd’hui porté par l’Asie-Pacific qui compte pour 40% des investissements IoT en 2015. L’IoT tiré par l’Asie-Pacifique

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