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Qu'est-ce que le travail ?

Qu'est-ce que le travail ?
Un entretien lumineux et profond avec le philosophe André GORZ (1923-2007) sur l'emploi, le temps libre, et plus encore. Indispensable ! Au sens anthropologique, on appelle habituellement «travail» l’activité par laquelle les humains façonnent et transforment leur milieu de vie. C’est d’abord la malédiction biblique : le monde n’est pas naturellement propice à la survie des humains, il n’est pas «un jardin planté pour eux», disait Hegel. Au sens philosophique, le concept de «travail» englobe les dimensions multiples de l’activité humaine. Après le ponos, il y a la poiesis : le travail de l’artisan, de l’artiste, du «producteur». Enfin, il y a le travail comme praxis, que Hannah Arendt appelle «l’agir» (Handeln). Il peut sans doute y avoir des chevauchements et des interpénétrations entre ces dimensions de l’activité humaine. Le salariat, ou la dépossession du travail L’important, c’est que, dans ces définitions, le travail est quelque chose qu’on fait dans un but dont on est conscient.

Les failles culturelles du nouveau capitalisme Comment les salariés peuvent-ils entretenir un sentiment de continuité dans une économie en constante restructuration et où l’expérience professionnelle n’a plus cours ? Les entreprises peuvent-elles survivre tout en décourageant la loyauté de leurs salariés ? Vous offrez une définition large de la culture, soit « les valeurs et les pratiques qui relient les gens ». C’est là justement le problème culturel du capitalisme contemporain. Vous insistez sur l’évolution de la [ lire la suite... ] Article de 2233 mots.

Chômeuse depuis six mois, ma vie sociale s'éteint Fin de semaine pourrie. Vendredi soir à la maison. Devant mon écran allumé sur ma page Facebook, je me trouve presque pathétique. Ne devrais-je pas être dehors à faire la fête ? A boire des verres dans des bars ? Non. Et j'ai le droit de ruminer dans mon coin, au vu des sorties de mes amis fièrement annoncées sur ce réseau social : untel est allé au concert de « machin-truc », l'autre est en week-end à Venise avec sa chère et tendre, etc. Pourtant, je devrais être bien placée pour savoir qu'appuyer sur « attending » aux événements qu'on m'envoie est facile, mais que de se bouger de chez soi et réellement aller ici et là est bien plus complexe. Un vendredi soir comme quand j'avais 12 ans et que je regardais des séries plus bêtes les unes que les autres, car j'étais trop jeune pour fréquenter les bars. Aujourd'hui, j'ai l'âge, mais l'envie me manque. Six mois, c'est long… surtout avec un CV de « killer » D'ailleurs, ces temps-ci, tout me manque. Un mois de chômage. Tout ça, j'ai fait.

retraite : la double peine des ouvriers | Scribd La « double peine » des ouvriers : plus d’années d’incapacité au sein d’une vie plus courte Population & Sociétés n° 441, janvier 2008INED  (8  ’c) : à 35 ,   35 p  c p   c è  ’è ’à 27  (pc 70 % 55 %  ’pc   ).L’pc    cpc  yp II 40  chz  c p c 32  chz  (pc 85 %  78 %   pc  ). L’pc    cpc yp III   45  chz  h c p- c 38  chz   (pc96 %  92 %   pc   ). La situation des autrescatégories professionnelles L  cg  p (1)c   - ( 2). Proession etcatégorie socialeRépartitiondans lapopulation(%) Espérance de vie (années)Espérancede vietotale(années) (b)Hommes, 35 ans (E.

Le Défouloir des Précaires ( Dernières mise à jour ) ► ► Chômologie portative ( ou Petit Dictionnaire du Cynisme Social ) ► Brèves du comptoir de l’ASSEDIC ► Pour en finir avec l’A.N.P.E. ! ► La Charte du Parfait Recruteur ► Les sans-visage de l'ANPE ► Pourquoi le chômage est-il tellement tabou ? ► Ligue contre le racisme et l’antichômitisme ► Lettres ouvertes... ( où l'on trouve le dernier casting de nos chers journalistes ) ► Idées neuves ► Agence Nationale Pour l'Utopie ► Le Parti des Précaires en Révolte ► Comment les embêter comme ils nous embêtent ► Vos Meilleurs C.V. ( prohibés ) ► Comment font-ils baisser les chiffres du chômage ! ► Chômage : Le chôc des images ► Cent façons d’éradiquer le chômage ► Pourquoi les Précaires ont-ils voté NON ! ► Petites Annonces ( farfelues ? ► 15 propositions sérieuses (pour que le choix du travail devienne un droit) ► Épîtres des lecteurs ► Les plus belles offres d’emploi vraies ( auxquelles Dieu vous interdit de répondre ! ► Petite idée du vrai taux de chômage ► À quand la (re)fête du chômage ?

Évolutions du contrat de travail : continuité de ruptures ? - No Évolutions du contrat de travail : continuité de ruptures ? [mercredi 28 avril 2010 - 16:00] Travail, emploi, relations sociales L'emploi en ruptures Éditeur : Dalloz 259 pages * Cet article est accompagné d'un disclaimer. Au moment où les enjeux sociaux font la une de l’actualité au travers des débats portant sur l’avenir des retraites, il est une autre question de société qui mérite qu’on y porte attention : il s’agit de la relation juridique qui lie un salarié à son employeur. Cet ouvrage a pour ambition de montrer comment le contrat de travail et les dispositions relatives à sa rupture constituent à la fois un sujet régulier d’intervention conventionnelle ou étatique et une marque des choix politiques effectués à un moment donné, traduisant l’évolution des formes productives et du débat économique.

Pourquoi les Français n’aiment pas travailler La France toujours en grève, voilà l’image que la terre entière a de notre pays… Et ils n’ont pas tort. Qu’est ce qui explique cette aversion au travail ? Première explication, tous les ans on se félicite d’avoir la meilleure productivité au monde, devant nos adversaires (en termes de modèle de société), les Américains. Donc déjà, on peut avoir un début d’explication, pour être plus productif, il faut aussi aller plus vite… ce qui engendre chez certains du stress. Histoire d’expliquer aussi un peu d’économie aux socialistes… si on repousse de plus en plus l’âge d’entrée sur le marché du travail (mieux vaut payer les €6.000 à €9.000 que coûte un étudiant même s’il échoue, plutôt qu’un chômeur à €14.000 ou €15.000)… Si on fait partir le plus tôt possible les gens à la retraite… forcément, il ne reste plus que les gens « productif » au travail !

le respect de l'ouvrier Le respect de l’ouvrier la maltraitance dans la grande distribution ou Gencode vous souhaite la bienvenue dans le monde de la GRANDE DISTRIBUTION lerespectdelouvrier.fr Agenda social du MEDEF : Les jeunes en "stand by" et les seniors sur la touche ! Enchantée par l'offre de la CFDT de "passer à autre chose" après le conflit des retraites, Laurence Parisot vient de communiquer aux syndicats son "agenda social". Celui-ci, freine des 4 fers sur les jeunes et fait l'impasse sur l'emploi des seniors ! Le MEDEF n'a pas mis longtemps à réagir aux propos de Xavier Bertrand le ministre du travail qui avait indiqué : " (...) qu'il allait lancer une « concertation spécifique » avec les partenaires sociaux sur l'emploi des jeunes, notamment pour trouver de « nouveaux outils » sur l'alternance ( Laurence Parisot, s'appuyant sur un courrier envoyé aux syndicats : " (...) pour leur proposer la « trame » d'un agenda social pour les deux années à venir (... ) " n'a pas retrouvé le ton "aimable", employé sur les plateaux de télévision, nous expliquent Les Echos " (...) Du côté de l'apprentissage, que Nadine Morano, qualifie : " (...) d' objectif national partagé ( La réponse est nette : " (...) " (...) Puis en avril 2008

La peur du déclassement L’ouvrage de Eric Maurin qui porte ce titre montre que la peur du déclassement est beaucoup plus fréquente que le déclassement lui même. Cette peur s’explique par l’importance des statuts et de l’écart entre ceux qui en ont un et ceux qui n’en ont pas. Les statuts mis en place pour protéger génèrent paradoxalement de l’anxiété sociale. Il faut préciser une chose tout d’abord. Seulement 1% des salariés environ chaque année se retrouvent au chômage suite à la perte d’un CDI (contrat à durée indéterminée), et pourtant la moitié de ceux qui ont un CDI craignent le déclassement. Cette peur s’explique par les conséquences importantes que représente la perte du statut. L’auteur montre de manière assez convaincante, à travers des comparaisons entre pays, que l’existence de statuts protecteurs n’a guère d’influence sur le taux de chômage. . Reste que le changement pour passer d’un modèle à l’autre ne peut pas se décréter. La première, dans les années 6O, avec une quasi stabilité à 500 €. .

Revenu garanti, « la première vision positive du XXIe siècle » Susanne Wiest, Enno Schmidt et Daniel Häni Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne. Elle travaille comme maman de jour, sans gagner suffisamment pour joindre les deux bouts : elle doit accepter l’aide de ses parents. Une réforme fiscale, qui l’appauvrit en intégrant les allocations de ses enfants à son revenu imposable, augmente encore son exaspération et son sentiment d’absurdité. Et puis, un jour, elle tombe sur une carte postale. Une carte postale dorée, avec, en lettres blanches, cette simple question : « Quel travail feriez-vous si votre revenu était assuré ? L’audition de Susanne Wiest au Bundestag, le 8 novembre 2010 En décembre 2008, usant d’un droit accordé depuis 2005 à tout citoyen allemand, elle lance une pétition en ligne demandant au Bundestag de se pencher sur la question du revenu de base. 1. Marie-Paule Perrin et Oliver Seeger Un jardin ?

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