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Soja : vérités et mensonges

Soja : vérités et mensonges
Aucune de ces deux études n’aborde le cycle menstruel des femmes, la première étude établit qu’une réduction substantielle du risque du cancer du sein est constatée chez les femmes ayant un apport élevé de phytoestrogènes, tandis que la seconde porte sur les formules infantiles à base de soja. S’agit-il d’un mauvais copier-coller de la part des auteurs ? D’un manque de rigueur ? En tout cas, cela démarre mal et cela augure de la suite… Les auteurs ont certainement voulu faire allusion à cette étude (Nagata et al., 1998, Journal of National Cancer Institute) où il a été constaté que les femmes japonaises qui ont consommé 400 ml de lait de soja sur une période couvrant trois cycles consécutifs, ont vu leur cycle allongé de deux jours (ce qui ne veut pas dire « perturbé ») ainsi que la diminution de leur concentration plasmatique d’œstrogènes d’un quart, ce que la WAPF se garde bien de préciser. Source : Article de A. (source) Allégation n° 6Le soja est fortement déconseillé pour les bébés.

Soy Does Not Affect Puberty | Physicians Committee June 13, 2014 Soy products do not affect onset of menarche for girls, according to a new study in the Nutrition Journal. Girls in the United States are experiencing puberty earlier in their lives – increasing their risk for diseases such as breast cancer – with several theories regarding its cause. Some studies have focused on dietary factors, such as animal protein and dairy and soy product intake.

Toute la vérité sur les « phyto-oestrogènes »1.2.3. Veggie | 1.2.3. Veggie! On entend souvent dire que la consommation de soja serait à éviter en raison de la présence de "phyto-oestrogènes" dans cet aliment, qu’elle serait à déconseiller aux enfants... Qu’en est-il ? La commission scientifique de l’Association Végétarienne de France fait le point pour répondre à ces questions. Que sont les « phyto-œstrogènes », et d’ailleurs, existent-ils vraiment ? Sous le nom (très mal choisi) de « phyto-œstrogènes » on regroupe une classe de composés produits naturellement par les plantes dont la structure moléculaire est proche de l’estradiol, une hormone nécessaire au maintien de la fertilité et des caractères sexuels secondaires chez la femme. Les « phyto-œstrogènes » sont en réalité des SERM (modulateurs sélectifs des récepteurs œstrogéniques), c’est-à-dire qu’ils sont capables de se lier aux mêmes récepteurs que les vrais œstrogènes et à la place de ceux-ci. Un apport alimentaire en « phyto-œstrogènes » comporte-il un effet œstrogénique dans l’organisme ?

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