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Lecture-écriture numérique. Synthèse

Je viens clore la quinzaine d’articles que j’ai écrite sur le thème de la lecture-écriture numérique (ici, ici et là) par un schéma dont j’espère qu’il est lisible alors que le sujet est d’une véritable complexité. Je vous dois à cet effet quelques explications sur une représentation graphique forcément discutable. Je l’ai imaginée comme un « réseau conceptuel » (Britt-Mari Barth) dont la lecture se fait à deux niveaux. L’un horizontal, non hiérarchique, caractérisé, dans l’accomplissement d’une tâche, par les va-et-vient et les interrelations entre des éléments de contexte (en bleu) et des cultures (en vert clair). L’autre vertical, hiérarchique, qui propose une distinction entre des notions organisatrices (en orange) et des notions essentielles (en jaune). Afin de gagner en simplicité je me suis employé à décomposer ce qui se veut être, dans mon esprit, un modèle opérationnel. Related:  ecriture numerique

Ecriture numérique et publication (1) : cadre théorique et prospective Je me propose, dans cette série d’articles sur l’écriture numérique et la publication, de clore une réflexion engagée sur le document et prolongée par la lecture numérique. J’entends, pour ce faire, aborder cette notion selon la même méthodologie et commencer par préciser le cadre théorique dans lequel je m’inscris, avant d’envisager des pistes d’exploitation pédagogique. Il me faut préciser, d’emblée, que je n’aborderais pas la question du code, non qu’elle manque d’intérêt, mais parce qu’elle me semble devoir être traitée par des spécialistes. Je trouve particulièrement opérantes les notions de « texte » et de « signe passeur » développées par Yves Jeanneret et Jean Davallon. ın-bεtwεεn stochastıc powεrs oƒ εntropy . . Cela suppose aussi que soit abordé le concept de « média » dont la distinction entre média support, média type et média source est loin d’être acquise.

Dossier séminaire PRECIP - Enseigner l'écriture numérique ? Jean-Michel Meurice - Cugat 2 (2002) Enseigner le numérique ? Ce séminaire, qui s'est tenu les 4 et 5 Avril 2012 à l'UTC de Compiègne, pose une question à laquelle il ne répond que partiellement, car cette question, lapidaire dans sa formulation, mais si complexe dans sa résolution, n’est pas prête de s’éteindre. L'expression « écriture numérique » a été choisie, faute de mieux, pour sa simplicité. Ce séminaire, mené dans le cadre du projet PRECIP (Pratiques d'écriture interactive en Picardie), avait une vocation pédagogique et scientifique, mais il a soulevé des questions philosophiques. Victor Petit Vous trouverez ci-dessous les enregistrements video de l'ensemble des interventions du séminaire. Le programme et l'argumentaire du séminaire peuvent être téléchargés ici.

Humanités numériques | Un site utilisant Réseau de blogs de l'ENSCI-Les Ateliers | Page 2 Quelles relations entre la grammaire numérique et les contenus (images, sons, textes) auxquels ces technologies nous donnent accès ? Quelle modification de nos usages d’intégration des connaissances cette grammaire numérique implique-t-elle ? Les outils que le numérique met à notre disposition pour mettre en forme comme pour transmettre toutes sortes de contenus culturels les remodèlent furtivement, sans que nous en ayons totalement conscience. Voici réunis des articles, vidéos de conférences, références de livres, qui donnent différents éclairages sur cette question du croisement entre technique et connaissance. Le second est un article s’intitulant «Prendre le pli des techniques», il est du philosophe Bruno Latour. Avec le numérique, nous parlons d’une technique très diverse, aux multiples visages.Toutefois la grammaire codificatrice qui le fonde soulève des questionnements quant à notre emprise sur les dispositifs qu’il met en place. (2) Bruno Latour, «Prendre le pli des techniques»

PRECIP | PRatiques d’ÉCriture Interactive en Picardie Présentation PRECIP est un projet financé par la Région Picardie (nov. 2009 – juin 2014) sur l’enseignement de l’écriture numérique. / Presentation in English Le projet PRECIP comprend : une partie théorique (voir aussi Nos publications)une carte heuristiquedes modules pédagogiquesdes expérimentations dans des établissements scolairesl’organisation de séminaires (programme, dossier et vidéos) Présentation lors de la Semaine de la Recherche et de l’Innovation en Picardie (nov. 2012) Objectifs L’objectif générique de ce projet est d’analyser et d’accompagner le développement et la maîtrise des pratiques d’écriture numérique (multimédia, interactive, collaborative) dans les territoires picards, afin de contribuer à la réduction de la fracture numérique. Objectif scientifique L’objectif scientifique consiste à mettre à jour les spécificités de l’écriture numérique ainsi que les apprentissages spécifiques qu’elle nécessite. Objectif opérationnel Postulats Questions de recherche Hypothèses Archives

QUELS SONT LES TYPES D'ECRITURE (SCENIQUE ET TEXTUELLE) A L'OEUVRE DANS LES <I>DIGITAL PERFORMANCES</I> ? Quels sont les types d’écriture (scénique et textuelle) à l’œuvre dans les digital performances ? Introduction Ecrire / programmer Les " théâtres interactifs "Références Le symbole Ö avant ou après un mot indique un lien vers une autre fiche des " Les Basiques : Arts de la scène et technologies numériques : les digital performances ". Trente ans séparent ces deux citations. Dans l’intervalle, des liens réciproques se sont noués entre programmation et arts de la scène : D’une part, les technologies numériques et les réseaux ont donné naissance aux digital performances, lesquelles se présentent sous des formes aussi variées que des CD-ROMs, des environnements immersifs, des représentations sur des scènes, des dispositifs de téléprésence, etc. Dans cette fiche consacrée à l’écriture dans les digital performances, j’explorerai ces deux aspects. Rappelons brièvement que l’informatique n’a pas inauguré les relations entre programmation et écriture théâtrale ou chorégraphique. .

Document Numérique Éléments pour une théorie opérationnelle de l’écriture numérique Éléments pour une théorie opérationnelle de l’écriture numérique Elements for an operational theory of digital writing Le passage à l’écriture numérique est une reconfiguration qui agit sur la nature de la connaissance. Il y a un enjeu scientifique et opérationnel à étudier cette écriture renouvelée, en particulier pour la conception de systèmes, l’analyse de pratiques et l’enseignement de l’écriture numérique. Cet article y contribue sous la forme d’une étude théorique reposant sur une description à trois niveaux du numérique : théorético-idéal, techno-applicatif et sémio-rhétorique. Cette description est prolongée par une carte heuristique des fonctions de l’écriture numérique et un répertoire de figures rhétoriques et de genres d’écrits numériques. The change to digital writing amounts to a reconfiguration which affects the very nature of knowledge. numérique, modèle, tropismes, principes, fonctions, figures rhétoriques, genres. Français

C. Herrenschmidt, Les trois écritures, 2007 | Paroles en cours Texte 1. « Code et simulacre » (p. 395-397) Diane écrit un texte sur un micro-ordinateur, où un programme de traitement de texte – catégorie de logiciels la plus couramment utilisée – a été implémenté et chargé, c’est-à-dire appelé à fonctionner par l’utilisateur, en le faisant passer de la mémoire de masse à la mémoire vive, celle qui participe directement au travail de l’utilisateur. Elle entre ses données dans la machine […] – et pour cela frappe une à une les touches du clavier – un cas plus complexe voudrait qu’elle en frappât deux ou trois en même temps. Le signe de cette touche est formaté en une séquence de huit signaux qui se réalisent sous deux formes physiques : le passage ou le non-passage du courant, et sont envoyés du clavier vers l’unité centrale. Tout organe d’entrée d’un ordinateur transforme les données en bits, de l’anglais Binary digiTs, « chiffres binaires » : le bit constitue la plus petite unité que traite un ordinateur, son signal de base. Texte 2. J'aime :

Ecrits numériques : vers une fiction interactive et collaborative Si les théories sur l'écriture numérique se multiplient, si les outils sont maintenant disponibles, qu'en est-il de la pratique ? InternetActu | • Mis à jour le | Par Rémi Sussan - Internetactu Si les théories sur l'écriture numérique se multiplient, si les outils sont maintenant disponibles, qu'en est-il de la pratique ? Qu'est-ce qu'écrire aujourd'hui ? Qu'il s'agisse d'un jeu vidéo ou d'une fiction intéractive, il existe aujourd'hui une nouvelle forme de littérature qui utilise l'informatique comme médium pour élaborer des histoires et des personnages crédibles. La fiction intéractive accompagne l'informatique personnelle depuis ses débuts. La fiction intéractive ne consiste pas uniquement à écrire des "aventures dont vous êtes le héros” comme on peut le croire trop rapidement. Si la fiction intéractive est fille du roman, Façade, le jeu expérimental d'Andrew Stern et Michael Mateas, se rapprocherait plutôt du théâtre. J'ai joué plusieurs fois à Façade.

A2 – Ecriture numérique Planning des cours : 10 heures (5 x 2h) CM Programme : Définition & bases théoriques de l’écriture web/multimédia/hypertexteNotions de référencement et de positionnement payantIdentité numérique et e-reputationIntroduction aux métiers du community managementPourquoi ce cours :Préalable à l’atelier multimédiaWeb-compétence transversale pour vos (futurs) métiers et vos prochains stages : être à l’aise avec les supports et comprendre les enjeux.ML ET CO ……………………..Cours 1…………………….. !! ……………………..Cours 3…………………….. ……………………..Cours 5…………………….. Bibliographie et ressources utiles : SUR L’ENSEMBLE DU COURSJoël Ronez : “L’écrit web : traitement de l’information sur Internet”, Editions CFPJ, Paris, 126 p, illustrations N&B, 23X16, ISBN : 978-2-35307-005-3. Et surtout n’oubliez pas … « Rien ne vaut un bon cours.

L’appropriation des dispositifs d’écriture numérique : translittératie et capitaux culturel et social Allard L., (2009), Britney Remix : singularité, expressivité, remixabilité à l’heure des industries créatives. Vers un troisième âge de la culture ?, in Poli, n°1. Allard L. Allard L. et Blondeau O., (2007b), La racaille peut-elle parler ? Aubert N. et Haroche C. Boyd D., (2007), Pourquoi les jeunes adorent MySpace ? Brotcorne P. et al., (2009), Les jeunes off-line et la fracture numérique – Les risques d’inégalités dans la génération des « natifs numériques », Rapport publié par le SPP fédéral, Bruxelles. Brotcorne P. et al., (2010), Diversité et vulnérabilité dans les usages des TIC – La fracture numérique au second degré, Academia Press. Cailleau I. et al., (2012), Compétences et écriture numérique ordinaire, in Recherches en communication, n°34, à paraître. Cardon D., (2011), Réseaux sociaux de l’internet, in Communications, n°88, pp. 141-148. Donnat O., (1994), Les Français face à la culture. Gautier J., (2009), Vers une culture numérique lettrée ?

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