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L'impact des réseaux sociaux sur la société.

L'impact des réseaux sociaux sur la société.
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La mauvaise influence des réseaux sociaux sur les jeunes SENENEWS.COM- L’accès facile aux portables, smart phone, Android, iPhone mais aussi à la connexion avec les wifi et les forfaits internet a vraiment révolutionné le monde et changé le comportement des individus surtout les jeunes. Sélectionné pour vous : Traitée de « dévergondée » après ses photos sexy, Queen Biz sort du silence (photos) Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’on appelle les enfants de la net-génération. Ils ont grandi avec l’internet au bout des doigts. Ils maîtrisent quasiment tout sur internet et sont toujours ´´online´´ sur les réseaux sociaux qui se multiplient d’année en année. Twitter, Tumblr, Facebook, instagram, viber, whatsapp sont dans leurs langages. Les influences négatives sont au rendez-vous Néanmoins, il y’a des influences considérables qui sont méconnues ou bien très souvent négligées par les jeunes. Réseaux sociaux ou baisse de niveau intellectuel? Les jeunes d’aujourd’hui préfèrent passer leur temps sur les réseaux sociaux plutôt qu’à étudier.

L'impact des réseaux sociaux sur notre vie Qu'ils soient sur invitation, réservés aux professionnels ou ouverts à tous, les réseaux sociaux et les blogues prennent de plus en plus de place dans notre vie. Avec des millions d'adeptes - Facebook compterait plus de 2.13 milliards d'usagés mensuels -, ils s'imposent comme outils de communication et de changement. Bien sûr, les réseaux sociaux offrent des avantages à ceux qui s'y inscrivent, mais aussi quelques inconvénients. Nous énumérons quelques-uns des impacts ici. Les avantages des réseaux sociaux Des outils de communication Les réseaux sociaux sont rapidement devenus un outil de promotion pour les entreprises commerciales et les fournisseurs de service. Des outils d'information C'est également via les réseaux sociaux que les entreprises de presse et les organes de communication informent leurs membres (followers) des derniers développements dans l'actualité. Des outils de rapprochement Des outils de partage Des outils valorisants Des outils relationnels Un remède à la solitude

Peut-on être accro aux réseaux sociaux ? Trois. C’est le nombre moyen de réseaux auxquels nous sommes inscrits depuis que nous fréquentons les plateformes sociales sur Internet selon une étude Médiamétrie. Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, Vine… Tout comme on ne compte plus le nombre de sites sur lesquels on s’inscrit, on ne compte plus réellement le temps passé à mettre son profil à jour, retweeter ses amis ou encore partager des photos de ses dernières vacances. 5 minutes dépensées par-ci par-là qui, mises bout-à-bout, nous font passer pas moins de deux heures par jour derrière notre écran d’ordinateur, de téléphone portable ou de tablette, d’après le dernier rapport de l’agence Wearesocial. Il ne faut cependant pas croire que l’addiction aux réseaux sociaux ne concernerait qu’un public jeune et hyper-connecté. Mais alors, serions-nous tous accro aux réseaux sociaux sans le savoir ? Pour aller plus loin Quel pays passe le plus de temps sur les réseaux sociaux ? L’addiction aux réseaux sociaux existe-t-elle ? Trois.

Nique ta mort : les réseaux sociaux à l’épreuve de la condition humaine Tous les jours, des milliards d’ultra-connectés postent des liens, des informations ou des photographies sur Facebook, Twitter, Instagram, Google + etc. Pourquoi ? La réponse semble simple : le besoin de se sentir appartenir à une communauté, de s’épanouir dans une forme nouvelle de société 2.0. Pourtant, il y a le réel pour ça. Que recherche la génération X, Y ou Z sur les réseaux virtuels : la vie, la mort, ou un état intermédiaire ? « Nique la mort! Et exister, au détriment d’être, porter sa voix malgré tout, contre tout, reste essentiel dans un début de siècle dévoré par les Pac-men consuméristes à la pensée unique bien-pensante. Oui, nous vivons sur les réseaux, dans la contestation, mais aussi, souvent, par le contenu. En cela, les réseaux sociaux sont profondément humains, et bien loin du vil narcissisme (même s’ils n’en sont pas exempts) qu’on leur plaque trop aisément. Du côté obscur de la force : internet et la pulsion de mort Anne Rouge

Addiction aux réseaux sociaux : quels dangers ? Avec Facebook ou Instagram toujours à portée de main, la consultation compulsive des réseaux sociaux est-elle une addiction ? A quel moment ce comportement virtuel devient-il un problème ? Existe-t-il un danger à trop liker, tweeter, commenter ? Les explications de Michael Stora, psychologue et psychanalyste. Poster une photo de son repas, commenter la publication d'un ami, "tweeter" sa dernière réflexion philosophique... Etre dépendant du regard de l'autre A quoi correspond alors le fait de consulter de façon obsessionnelle les réseaux sociaux, partout, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit ? Les dangers des réseaux sociaux L'usage des réseaux sociaux devient réellement problématique quand il y a une rupture de tous liens sociaux, quand les personnes délaissent le réel au profit des réseaux sociaux. Mais quel danger courent les internautes qui consultent et publient de manière compulsive sur les réseaux sociaux ? Guérir par les réseaux sociaux ? Sources : >> A lire aussi :

Les dangers des réseaux sociaux dans notre vie privée ! – Le blog des étudiants SAWI « Les risques sur les réseaux sociaux sont surtout liés à une mauvaise utilisation des fonctionnalités (de ceux-ci) et des règles de confidentialité. Certaines personnes ne sont pas conscientes qu’elles ne sont pas propriétaires des publications sur les réseaux sociaux, d’autres peuvent s’approprier vos contenus ou vos informations personnelles ! Cet article mentionne quels sont les risques sur les réseaux sociaux et quelles sont les bonnes pratiques conseillées ! » Les réseaux sociaux gardent bien leurs secrets ! Faut-il une loi pour les réseaux sociaux? Faîtes attention aux réseaux sociaux ! Le monde sur mobile ! Nous sommes que des pions pour les réseaux sociaux ! Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Derrière chaque réseau social il y a une organisation, donc des personnes qui voient toutes vos données, ce qui signifie que rien n’est privé mais tout est public. Statistiques : combien de gens utilisent les réseaux sociaux, Que font-ils sur ceux-ci. Sur le même sujet

La Cyberdépendance: Cas de l’addiction au réseau social Facebook Résumé La démocratisation de l’internet et la forte pénétration des réseaux sociaux dans la vie de tous les jours des internautes a montré un comportement d’addiction au réseau social Facebook. Malgré l’importance de ce phénomène, très peu de recherches en marketing se sont intéressées à son étude. La présente recherche a pour objectif de mesurer l’addiction des internautes aux réseaux sociaux et d’en déterminer les antécédents. La revue de la littérature relative à l’internet a mis en relief que l’estime de soi et la personnalité sont des antécédents psychologiques de l’addiction. L’enquête par questionnaire que nous avons menée sur Facebook auprès d’un échantillon de convenance de 252 internautes a révélé que trois dimensions sur cinq de la personnalité à savoir l’ouverture aux expériences, l’agréabilité et le névrosisme, sont en relation faible avec la cyberdépendance au réseau social Facebook. Keywords Cyberdépendance Internet Addiction

Les réseaux sociaux et la mort... ou quand ils nous survivent Salut ! Bienvenue ici Je te partage gratuitement mes crtières d'investissement gagnants. Clique ici ! …Ou quand les réseaux sociaux nous survivent C’est un fait : les réseaux sociaux et l’univers virtuel ne séduisent plus seulement les jeunes. Nos traces sur Internet sont-elles définitives ? Les internautes passent de plus en plus de temps sur les réseaux sociaux en postant des photos, des statuts, des informations, etc. Mais que deviennent nos pages Facebook, Twitter, Google+ après notre mort ? Faut-il donner ses codes à sa famille ? Vous pouvez également le faire à titre posthume, par la biais d’un notaire. Il y a néanmoins une autre option. S’il est déjà trop tard ? Si vous n’avez pas été prévoyant, quels recours reste-t-il ? Par exemple, pour récupérer votre code sur Google, cela reste complexe si votre famille n’a pas votre mot de passe. Depuis un certain temps, Facebook a mis en place un système de page commémorative. Une vie après la mort ? Et vous ? 25 novembre 2013 9 décembre 2013

Addiction aux réseaux sociaux : des anciens employés de Google et de Facebook s'inquiètent #JourneeMondialeSansFacebook Le 28 février marque la "journée mondiale sans Facebook". A cette occasion, nous vous proposons de relire cet article initialement publié sur le site de Sciences et Avenir le 5 février 2018. Quelle est la première chose que vous faites le matin après vous être réveillé ? En 2016, pour un Français sur 5, il s'agissait déjà de regarder son téléphone portable. "Facebook détruit le tissu social" Ces anciens de la Tech qui désormais la critiquent, qui sont-ils ? ENFANTS. La santé des GAFA au beau fixe Roger McName, ancien conseiller de Mark Zuckerberg lors des débuts de Facebook, a dit au New York Times qu'il était horrifié.

Les réseaux sociaux sont-ils en train de pousser les ados au suicide? Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Clinical Psychological Science Après des décennies de baisse constante, les suicides et les symptômes dépressifs chez les jeunes âgés de 13 à 18 ans sont repartis à la hausse aux États-Unis depuis 2010. Et pas qu'un peu. Une tendance d'autant plus préoccupante chez les adolescentes. Chez les jeunes filles, le taux de suicide a augmenté de 65% entre 2010 et 2015 et a été multiplié par deux depuis la fin des années 1990. Tels sont les résultats d'une grande étude menée par une équipe de psychologues affiliés aux universités de San Diego et de Floride, sur la base de deux enquêtes rassemblant 506.820 individus. Comment expliquer ce phénomène? En outre, la hausse spectaculaire du taux de suicide et des symptômes dépressifs chez les adolescents coïncide avec le boom des appareils connectés et de la fréquentation des réseaux sociaux. Manque d'appartenance et pesanteur

Les réseaux sociaux ont changé la vie des expatriés Aujourd’hui, d’un simple clic, les expatriés peuvent trouver tous les bons plans dont ils ont besoin sur les réseaux sociaux. Agathe, 30 ans, qui vit à l’étranger depuis l’âge de 7 ans, se souvient que cela n’a pas toujours été le cas. « Quand j’étais au collège à Djibouti, en 2000, il n’y avait même pas de téléphone », raconte-t-elle. L’unique opérateur local, Djibouti Télécom, venait de s’implanter, en 1999. « Je me souviens que mes parents allaient aux soirées organisées par l’ambassade pour rencontrer d’autres expatriés et échanger des conseils pour trouver un médecin ou un coiffeur », ajoute la jeune Franco-Canadienne, expatriée au Mali depuis trois ans, qui a souhaité garder l’anonymat. Sur le seul réseau Facebook, 92 millions d’expatriés sont organisés par pays ou par communauté. Les Français y ont leur groupe dans presque tous les pays du monde, du Pérou à l’Indonésie en passant par la Nouvelle-Zélande. « Ils ne remplacent pas la rencontre humaine » Parler sans tabou

1er novembre 2031 : le réseau social qui fait revivre et parler les morts est inauguré San Francisco, le 1er novembre 2031. En ce jour de la Toussaint, le "Brainlife Social Networks Institute" inaugure le "Loading Day", le jour où on peut discuter avec ses défunts. "Loading Day", car un jour par an (le jour de la Toussaint) on peut télécharger le cerveau et les données numériques de nos proches décédés pour entamer une discussion de quelques minutes au "Virtual Mausolée". Chaque jour dans le monde, il y a trois personnes inscrites sur les principaux réseaux sociaux qui meurent. Une fois par an, grâce au "BrainLife Social Networks Institute", on va donc pouvoir faire revivre nos proches. Ensuite, pour être encore plus fin dans la création d'un double, on duplique votre cerveau. PS : le Journal du Futur est une fiction d'anticipation qui se base sur des études scientifiques réelles. Lire la suite

"Cyberharcèlement, bien plus qu’un mal virtuel" : entretien avec Anaïs Condomines Elle-même victime de cyberharcèlement, Anaïs Condomines avait toute la légitimité pour co-écrire avec Emmanuelle Friedmann son premier ouvrage Cyberharcèlement, bien plus qu’un mal virtuel (Ed. Pygmalion 18,90 €). Dans ce livre riche en témoignages, les autrices font un triste état des lieux : que cela soit dans le cadre professionnel, amical ou même amoureux, ce phénomène est devenu, comme elles l’expliquent « le miroir de notre époque ». Anaïs Condomines et Emmanuelle Friedmann mettent des mots (et des chiffres) sur ce nouveau mal. De nombreux témoignages viennent ponctuer cet ouvrage. Nous nous sommes entretenus avec l’une des autrices de cet ouvrage, Anaïs Condomines. LES NUMÉRIQUES - Selon vous, qui sont les premières victimes de cyberharcèlement ? ANAÏS CONDOMINES - Au début, on pourrait penser que seuls les gens influents ou très en vue sont victimes de cyberharcèlement, mais en réalité ça peut être absolument tout le monde. Est-ce qu’il y a une éducation au web à faire ?

Focus sur la mort numérique Par Paul Salaun. Par le passé, le glas des clochers et le passage du corbillard drapé de noir matérialisaient un décès. On buvait ensuite un verre et mangeait un morceau en évoquant la vie du défunt. Cette biographie orale, ces souvenirs évoqués s’éteignaient avec le temps. Cette mort physique et biologique, que nous affrontons tous un jour, est plus ou moins présente à tous les esprits. La mort numérique est plus complexe que la seule disparition d’un internaute de réseaux sociaux fréquentés plus ou moins assidûment. Celui-ci a tout au long de sa vie écrit ou semé sur les réseaux sociaux, blogs et sites Internet, des parcelles de sa vie privée ainsi que des données personnelles. Ainsi notre existence numérique ne s’arrête pas à notre mort physique. La mort numérique présente ainsi des enjeux sociétaux et juridiques. Un devenir des profils actifs des personnes décédées encadrés par la législation française : Ces directives peuvent être générales ou particulières. Vous aimez cet article ?

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