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Un potager sur le toit

Un potager sur le toit
Imaginez un potager, situé sur le toit d'un gymnase, entouré de buildings d'une dizaine d'étages et offrant une vue panoramique sur toute la ville. Non, vous n'êtes pas dans une des méga-fermes qui poussent au sommet des tours de Brooklyn ou Montréal, mais sur le toit d'un gymnase du 20e arrondissement de Paris, dans le premier jardin sur toit de la ville. Oubliez aussi les retraités en mal d'occupations. Ce matin, c'est une population variée faite d'étudiants, de mères de famille et barbus lookés comme dans un catalogue d'Urban Outfitters qui sont venus en découdre avec les mauvaises herbes. « Pendant la belle saison, les gens viennent jardiner mais aussi lire, prendre le soleil, partager un repas ou bavarder avec leurs voisins. Il y a des enfants partout, c'est très sympa », précise Nadine Lahoud, l'une des habituées de ce lieu de 600 m2, qui vient de repiquer épinards et betteraves. A l'ère des graines tueuses, des oeufs à la dioxine et des lasagnes au cheval, rien de très étonnant.

Emballez, c’est pesé. | Ta Mère la Pub ! (par Reynier Cretté de Palluel Darcel) Bonjour à tous, Aujourd’hui nous allons parler packaging, et oui parce que c’est bien beau d’avoir un produit, mais si on a rien pour l’emballer et donner envie au consommateur, bah voilà quoi. Packaging vous dites? Et oui le pack quoi, c’est ce qui sert à conserver le contenu/produit bien au chaud (ou au froid), l’emballage si vous préférez. Mais à part cette fonction première qui est certes, la plus importante, il est utilisé pour donner envie. Une histoire de séduction donc, seulement pour ceux qui en ont les moyens ou ceux qui veulent à tout prix vendre leur produit,. Pentawards Tout ça pour vous parler de la première et seule compétition au monde qui vise à élire des packagings exclusifs d’un peu partout dans le monde ; c’est une référence en matière de design : les Pentawards. Le gagnant de l’année dernière vient de Suède, une bouteille d’eau de la marque Ramlösa et un design signé NINE. Prochaine édition en avril 2012, à noter dans son agenda.

Le jardin public partagé pour recréer du lien social ier au parc des expositions de Bordeaux-Lac se tenait le 17e Salon d'automne d'Aquiflor du nom de l'association régionale d'horticulteurs et de pépiniéristes qui tient son marché de gros sur le site de Marché d'intérêt national (MIN) de Brienne. Elle est présidée par le Landais Michel Vauthier. Au-delà des producteurs, la manifestation a accueilli environ 1 500 visiteurs représentatifs de l'ensemble de la filière, mais également beaucoup de représentants des collectivités dont les espaces verts sont les clients. Or les espaces verts évoluent. Jardin au carré Le but, explique-t-elle, est de « créer des espaces publics partagés entre les habitants d'un quartier. La technique adoptée en ce lieu est celle du « jardin au carré », soit des petites parcelles de 1,20 m de côté, attribuées à une quinzaine de familles qui y cultivent ce qu'elles veulent, aussi bien des fleurs que des légumes : tomates, radis, mâche, épinard, choux-fleurs, choux- rave, salades.

Le potager sur le toit de la bibliothèque royale de Bruxelles - RTBF Jardins loisirs M. Filippo Dattola, " Le Début des Haricots " ASBL Les 300 m2 de toit plat du la bibliothèque royale de Belgique ont été transformés en un potager grâce à l’ASBL " Le début des haricots ". Le principe : l’alimentation durable en ville : les légumes cultivés dans les espaces publics, sur les terrasses et balcons, sur les rebords de fenêtre et les toits plats. Au Québec et aux Etats-Unis, ce type de culture est très répandu. Le principe est de nourrir la ville dans des circuoits court, sans (ou peu) de transport, pas de chaîne de froid. Certaines cultures se déclinent en sacs de toiles synthétiques cousus par des couturières locales. Le compost est fabriqué également sur place pour enrichir le potager. Des nombreux bénévoles viennent prêter main forte pour l’entretien. Grâce à des subsides de la Ville de Bruxelles, un système de récupération d’eau de pluie a pu être mis en place. Dès l’entrée, la serre ne passe pas inaperçue. Bibliothèque royale de Belgique 1000 Bruxelles

L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? - La vi N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation. En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. De ce point de vue, les différentes fonctions que l’agriculture est appelée à remplir vis-à-vis de la ville ne relèvent pas du même type d’espace. L’approvisionnement alimentaire, inscrit de longue date dans une logique d’échanges commerciaux, relèverait plutôt d’un espace compris comme un réseau, alors que les fonctions environnementales ou paysagères, non délocalisables par nature, relèveraient davantage de ce que Roger Brunet appelle une aire dans sa typologie des chorèmes [1]. Quelles échelles pour l’autosuffisance alimentaire ?

Qu’est-ce qu’un emballage recyclable ? - Embaleo Un emballage recyclable est un emballage qui peut être traité pour être utilisé à nouveau. On peut donc le qualifier d’écologique car il réutilise la même matière au lieu d’en produire une nouvelle, ce qui engendre une préservation des ressources naturelles. De plus, en recyclant les emballages, on réduit le nombre de déchets et donc la pollution présente dans l’environnement. Qu'est-ce que le recyclage ? Selon la définition de Wikipedia, le recyclage est un "procédé de traitement des métaux, plastiques, déchets (déchet industriel ou ordures ménagères) qui permet de réintroduire, dans le cycle de production d'un produit, des matériaux qui composaient un produit similaire arrivé en fin de vie, ou des résidus de fabrication. [...] Cependant, certains types de déchets peuvent être difficiles voire impossible à recycler. Pour chaque type de déchets, il existe un type de recyclage différent : recyclage du plastique, recyclage des déchets ménagers, recyclage des déchets industriels, etc.

Parcs et jardins Montpellier, élue Capitale de la Biodiversité en 2011, s'engage dès cette année dans une démarche de labellisation de ses parcs. Le label EcoJardin, créé par Plante & Cité en partenariat avec des gestionnaires d'espaces verts, a vu le jour en avril 2012 après deux ans de réflexion. Dans un premier temps, la Ville de Montpellier souhaite obtenir ce label pour 3 de ses parcs; le Domaine de Méric, le parc Font-Colombe et le parc Georges Clemenceau. Un jardin sur le toit pour une école new-yorkaise USA / / Amérique du nord Une école primaire, située sur l’Upper West Side de New-York, cherche à créer un lien entre les élèves et la nature. Depuis deux ans, l’école subit des transformations majeures pour aller dans ce sens. Une école new-yorkaise souhaite installer un toit sur son jardin. ©Peter Blanchard (flickr) Les parents, les enseignants et le principal de l’école, Robin Sundick, souhaitaient créer de vrais espaces naturels dédiés aux enfants. Trois jardins aménagées En 2009, le comité de jardinage de l’école, composé de parents et d’enseignants, a rénové trois espaces autour du bâtiment de l’école. Les deux autres jardins sont plus petits et longent les murs de l’école. Les fruits et légumes que les enfants récoltent dans leurs jardins sont ensuite servis dans la cafétéria. Sur le toit, le projet prévoit des jardinières ainsi qu’un bac à compost. L’université Columbia s’en mêle C’est là qu’intervient l’université Columbia. Les dessins ont été soumis aux enseignants et aux parents.

Vauban, l'écoquartier du futur écologiquement exemplaire, mais socialement discutable Photo : Alter-Echos Les façades en bois non traité se succèdent. Certaines sont bleues, d’autres marrons, blanches, jaunes ou rouges. La végétation est partout : dans la rue, au pied des immeubles, le long des murs, sur les balcons et jusqu’aux toits-terrasses, qu’elle partage avec les panneaux photovoltaïques. Au milieu de la rue libérée des voitures, on devine les contours d’une marelle. Des jardins publics alternent avec les zones bâties. Andreas Delleske vit dans ce quartier depuis dix ans. Photo : Passivhaus-Vauban En 1994, la Ville lance un concours d’architectes. 114 euros pour se chauffer et cuisiner Ces Baugruppen, ou « communautés de construction », sont initiés par des personnes désireuses de construire leur logement sans passer par un promoteur. Quand les maisons produisent de l’électricité L’ensemble des maisons passives du quartier, dotées de leur propre cogénérateur, ont reçu une dérogation de la Ville pour ne pas être reliées au système de chauffage central. Photo : Source

Le design culinaire, un art à part entière Imaginez ce qu’il est possible de faire avec les milliers de couleurs, textures, formes et saveurs des ingrédients de notre alimentation… C’est tout simplement incommensurable ! De la même manière que les peintres, sculpteurs ou graveurs de matière, les designers culinaires sont des artistes qui utilisent à l’infini toute la palette de possibilités offertes par la nature. Voici une sélection de créateurs hors du commun, qui revisitent à merveille les aliments de notre quotidien… La « Carotte rappeuse » selon Stéphane Bureaux La mouillette et son oeuf coque revisité par Julien Maderou La bague jambon de Fulvio-Bonavia Le zèbre aubergine façon Carl Kleiner Les « Origami comestibles » en feuille de fruit de Delphine Huget … et son assiette en mille morceaux de choco Les puzzle biscuits de Julie Rothhahn Le « Bébéclair » de Fauchon Les mini choco-déco de Virginie Duroc Faites découvrir cet article à vos amis ! Envoyez une carte sur ce thème Partager sur Facebook Partager sur Twitter Imprimer

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