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Adapter_évaluations.pdf

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Ne pas opposer bienveillance et exigence L’année électorale qui vient sera chargée en caricatures, fausses bonnes idées et poncifs rétrogrades sur l’école, son fonctionnement, les méthodes pédagogiques... Nous avons souhaité au CRAP-Cahiers pédagogiques nous essayer à déconstruire ces caricatures et ces promesses hasardeuses. Cette rubrique se veut un remède aux simplismes rances et aux mythes miteux. Nous n’y traiterons que des questions proprement pédagogiques, pas des menaces de suppressions de postes dans l’Éducation nationale ou des attaques éventuelles contre les différents métiers de l’éducation, quoi que nous en pensions par ailleurs... Et ça commence par la bienveillance, qui s’opposerait à l’exigence. « La bienveillance c’est bien joli, mais il faut les habituer à la société qui n’est pas bienveillante. » Crier « haro » sur la notion de bienveillance est devenu très à la mode chez certains. Bienveillance et exigence Tout cet argumentaire rate en fait sa cible. Ce qu’en dit Ferdinand Buisson

Un jour avec… la classe coopérative du collège Van Gogh d’Émerainville Sylvain Connac et la journée académique de la Cardie « Chercher pour comprendre, Coopérer pour apprendre » L’année dernière, lors de la journée académique de la Cardie intitulée « Chercher pour comprendre, Coopérer pour apprendre », nous avions eu le plaisir d’accueillir Sylvain Connac, spécialiste des pédagogies coopératives. Maître de conférences en Sciences de l’éducation à l’Université Paul Valéry de Montpellier et professeur des écoles, Sylvain Connac est aussi l’auteur d’Apprendre avec les pédagogies coopératives. Démarches et outils pour l’école (Paris, ESF éditeur, collection pédagogies – 2009), un ouvrage de référence donc il nous a donné un aperçu au cours de sa conférence intitulée « Coopération entre élèves et apprentissages scolaires ». Les pédagogies coopératives du collège Van Gogh d’Émerainville... Après la théorie, la pratique ! ... en vidéos ! Vous voudriez bien voir ça ?! Memento de la DGESCO sur la coopération Pour aller plus loin : le conseil coopératif version longue

évaluation-rapport de comparaisons internationales Comment les élèves sont-ils notés à l’étranger ? Existe-t-il des pays sans notes ? Les enseignants doivent-ils harmoniser leurs évaluations dans les établissements ? Depuis plus de 30 ans, la liberté pédagogique des enseignants s’est trouvée progressivement encadrée par des réglementations qui se sont multipliées. Dans les pays de l’OCDE, le développement de nouvelles normes, sous forme de programmes scolaires formulés en objectifs pédagogiques ou en standards (National curriculum en Angleterre ou Socle commun en France), a progressivement encadré l’activité évaluative des enseignants dans la classe et dans les établissements. L’apparition de nouvelles normes d’évaluation a conduit à une diversification des modalités d’évaluation imposée aux enseignants. Certains pays ont supprimé les notes, notamment au primaire. Certains pays nordiques – comme la Finlande, la Suède, le Danemark ou, dans les années 1990, le canton de Genève – ont supprimé les notes, notamment au primaire.

Autonomie, responsabilité et coopération : ce qu’en disent les élèves utilisant un plan de travail 1 consul (...) 1Le socle commun de connaissances et de compétences correspond au minimum à maîtriser par chaque élève français à la fin de sa scolarité obligatoire. Depuis 2005, il regroupe les connaissances, compétences, valeurs et attitudes nécessaires pour « réussir sa scolarité, sa vie d'individu et de futur citoyen.1 » Les compétences relatives aux piliers 6 (Les compétences sociales et civiques) et 7 (L’autonomie et l’initiative) du socle commun revêtent une dimension transversale. 2Ce ne sera toutefois pas l’objet de cette recherche qui présentera les représentations des élèves utilisant le plan de travail, autour des domaines de l’autonomie, la responsabilité et la coopération. 4En France, c’est une innovation introduite par Elise et Célestin Freinet (Connac, 2009, p. 96). 8La plupart du temps, un plan de travail est accompagné de tout ou partie des outils pédagogiques suivants :

Constante macabre : Colloque le 2 fevrier André Antibi et le Mouvement contre la constante macabre organisent leur colloque 2017 le 2 février à l'Hotel de ville de Paris. L'événement sera l'occasion d'ateliers de pratiques et d'un point sur le développement de l'EPCC à l'international. Le Mouvement MCLCM propose une nouvelle conception de l'évaluation qui vise à redonner confiance et améliorer le niveau des élèves. L'évaluation par contrat de confiance (EPCC) repose sur un programme de révision explicite. Une semaine avant le contrôle les élèves disposent d'un programme de révision précis et un ou deux jours avant le contrôle un jeu de questions - réponses permet de déceler les difficultés. Au programme du colloque 2017, une table ronde réunira JM Blanquer, F Robine, J Grosperrin, B Hamon, P Joutard et J Fabre. Le mclcm Le colloque 2016

Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ? François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Or il y a d’autres formes d’intelligence, comme la résolution de nouveaux problèmes. Par exemple, dans les start-up, les hackerspace ou encore les communautés d’informaticiens, les participants sont jugés sur leur capacité à faire quelque chose que les autres n’avaient pas fait jusque-là, ce qui est très différent de faire la même chose que d’autres ont déjà fait mais plus vite. La troisième forme d’intelligence, encore supérieure aux deux autres, est la capacité à définir soi-même un problème.

Pourquoi et comment évaluer par compétences L’évaluation par compétences est à la mode dans les salons du ministère de l’Éducation Nationale depuis plusieurs années. Différentes annonces récentes, sur la mise en place d’une Conférence nationale sur l’évaluation des élèves, ou sur l’instauration d’un nouveau socle commun de connaissances au collège, confirment cette tendance.] Dans la pratique pourtant, les choses changent peu. Si en Primaire, les enseignants évaluent souvent par compétences, particulièrement dans leurs bilans trimestriels, ce système est souvent jugé puéril et inadapté au secondaire, où le mode d’évaluation quasi exclusif reste la traditionnelle note sur 20. Le socle commun de connaissances en place au collège, le B2I, imposent dans les textes une validation de compétences, mais dans la pratique, cela s’opère souvent sans véritable concertation, en cochant des croix en fin d’année, pour remplir des tableaux. J’avais déjà rédigé un article, il y a 3 ans, qui relatait ma première expérience.

Théories de l'apprentissage Apprendre, c'est comprendre. C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre. Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir. Ce qui est essentiel avant / pendant / après l'enseignement : Connaître la façon dont l'enfant apprend.Vérifier qu'il ne construise pas une " fausse compréhension ". LE TRIANGLE PEDAGOGIQUE de HOUSSAYE : Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye, aujourd'hui professeur de Sciences de l'Education à l'université de Rouen, définit tout acte pédagogique comme l'espace entre trois sommets d'un triangle : l'enseignant, l'apprenant et le savoir. Selon Houssaye, toute pédagogie est articulée sur la relation privilégiée entre deux des trois éléments (les sujets actifs) et l'exclusion du troisième (qui fait le fou, ou le mort)

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