Je ne sais pas quoi lire : nouveau service des médiathèques de Lorient J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes J’ai récemment découvert un nouveau service proposé par le réseau des Médiathèques de Lorient. Je trouve la réalisation graphique particulièrement réussie. Voici deux exemples de réponses personnalisées qui m’ont été envoyés par Magali Haettiger par courriel pour ce billet de blog : Comment est née l’idée de ce service? Cette expérience s’inscrit dans le projet de création d’un nouveau portail Web pour le réseau des médiathèques de Lorient ainsi que dans le projet d’établissement. Comment définir une envie? Comment s’organisent les bibliothécaires pour répondre? Les bibliothécaires qui répondent travaillent au sein du réseau des médiathèques de Lorient (en tout trois médiathèques et un bibliobus). Non. Pourquoi avoir choisi de proposer une réponse en 72h?
Faut-il collectionner des livres numériques dans les bibliothèques ? J’ai récemment publié un article dans lequel je soulignais un certain nombre de points soulevés par le Rapport Lescure à propos du livre numérique en bibliothèque. Alexandre Lemaire, de la Communauté Française de Belgique en commentaire puis dans un article publié sur Actualitté s’interroge au sujet du contrôle d’accès à l’abonnement qu’il assimile à à modèle d’achat par abonnement. Sa prise de position me permet non pas d’entrer dans une vaine polémique, mais de poser avec lui une question importante : faut-il collectionner des livres numériques dans les bibliothèques ? Avant de répondre à la question, encore faut-il préciser quelques notions. Le texte publié par CAREL est une avancée timide vers une position plus respectueuse de la qualité de l’expérience utilisateur du livre numérique dans les bibliothèques, mais cela est loin d’être suffisant. D’une part, il faut faire une différence fondamentale entre les modèles d’achat et les modèles d’accès. A. (A. Sur le même thème
L’Ipad en public … en toute sécurité ! L’ipad, de par son format portable et son écran tactile, est une plateforme de choix pour livrer de l’information, mettre à disposition du public des enquêtes interactives ou encore comme outils marketing lors de congrès. La société générale va, par exemple, utiliser la tablette d’Apple pour permettre à ses clients de remplir des enquêtes de satisfaction. Les tablettes seront déployées comme des bornes interactives, scellées dans un dispositif de PLV (publicité sur le lieu de vente). D’autre part, un espace tablettes numériques a été créé à l’espace numérique pédagogique de la médiathèque du CDDP92. Un autre exemple que je connais mieux puisqu’il s’applique sur mon lieu de travail, à la médiathèque du Bois Fleuri à Lormont. Cependant, la première difficulté rencontré lorsque l’on souhaite partager l’Ipad est la convoitise engendrée par ces jolis gadgets numériques. Il peut être une bonne solution si la zone d’utilisation est facilement visible.
Automne numérique : l'innovation au service de la culture / Dossiers / Actualités L’Automne numérique, lancé le 23 octobre par Aurélie Filippetti, se poursuit le 7 novembre avec une journée de restitution pour revenir sur les enjeux du numérique : comment favoriser l'éducation artistique, optimiser la démocratisation de la création et remise des prix aux lauréats. L’Automne numérique, c'était deux étapes tout en créativité avec un « mashup » et le premier « Hackathon » organisé par le ministère de la Culture et de la Communication. « À la manière de Daft Punk », selon les mots de Simon D'henin, désigner et professeur à l'Ensci (École nationale supérieure de création industrielle), les étudiants de l'école se sont répartis en groupe de travail pour mixer, combiner et mettre en valeur les œuvres du domaine public. Le 7 novembre, Aurélie Filippetti est revenue lors d'une conférence de presse sur les enjeux d'une société de confiance de l'économie de la culture à l'ère numérique. © Ministère de la Culture et de la Communication
Installer des applications sur plusieurs tablettes Android Si une bibliothèque veut proposer des tablettes, soit elle installe des applications différentes par support, soit elle installe le même "pack" sur tous. Dans ce dernier cas, il faut trouver la procédure la plus adaptée. Avec des tablettes sous Android, 2 manières de faire : - à partir d'une tablette "prête-à-l'emploi" => à oublier - à partir de votre compte sur Google Play (ex-Android Market) => à privilégier A partir d'une tablette "prête-à-l'emploi" Ce système montre vite ses limites, et n'est clairement pas à privilégier. On part du principe que vous avez installé les applications voulues sur une première tablette. On se dit donc qu'en sauvegardant toutes nos applications sur une carte SD, on pourra ensuite insérer celle-ci sur une autre tablette, et tout restaurer à l'identique. 4 problèmes se posent : - Toutes les applications ne sont pas conçues pour être migrées vers une carte SD, même si ça évolue dans le bon sens. - Les problèmes de compatibilité Concrètement ça veut dire que :
Pour une véritable politique numérique, arrêtons de mimer l'environnement physique ! Paris, le 25 juillet 2013 — Le Ministère de la Culture a créé une commission au sein du Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique (CSPLA) pour se pencher sur la question de la revente de fichiers numériques d’occasion. L’ouverture de ces travaux répond aux inquiétudes des titulaires de droits face à la multiplication des services d’occasion numérique qui menaceraient le marché primaire des œuvres. En réalité, aborder la question sous cet angle revient une nouvelle fois à plaquer les anciens schémas de l’environnement physique sur les pratiques numériques. Derrière le faux problème de la revente d’occasion, c’est à nouveau la question du droit au partage qui est posée et que le Ministère de la Culture refuse de prendre en compte. Derrière l'occasion numérique, la question de l'épuisement des droits Un faux problème Sortir du paradigme de la rareté Admettre la revente d’occasion de fichiers conduit en réalité à des aberrations et à des successions de dérives potentielles.
Nouvel iMac arrivé, déballé et premiers tests Le nouvel iMac d'entrée de gamme nous a été livré aujourd'hui. En attendant des tests plus complets et avec des applications courantes, nous avons réalisé ceux qui mesurent les performances brutes de la machine. De manière à avoir de premiers éléments de comparaison avec la précédente entrée de gamme des iMac et les derniers MacBook Air. Ce sont deux familles aux antipodes l'une de l'autre, mais cet iMac a la particularité d'utiliser le même processeur et la même puce graphique que la gamme MacBook Air sortie il y a quelques semaines (lire Test du MacBook Air 13" début 2014). On a donc un 21,5" avec un Core i5 à deux coeurs à 1,4 GHz (2,7 GHz en Turbo Boost), 8 Go de RAM figés car soudés sur la carte-mère et un disque dur à 5400 t/min de 500 Go. Le tout est vendu 1099 € depuis hier (lire Un nouvel iMac à 1099 € et des baisses de prix sur le Mac mini et l'Apple TV). Tout comme les MacBook Air, cet iMac utilise un i5-4260U "Haswell" lancé par Intel au second trimestre.
Réflexion sur les tablettes en bibliothèques J’ai eu l’occasion d’intervenir ou de discuter à plusieurs reprises des tablettes en bibliothèques. On se rend compte que certaines questions reviennent assez régulièrement chez les collègues qui souhaitent mettre en place ce service. J’aimerais apporter quelques éléments de réponses qui, je l’espère, aideront celles et ceux qui veulent franchir le pas et proposer des ardoises numériques à leurs publics. Evidemment, les réponses reposent sur mon expérience et sur ma conception de ce service. Vous n’êtes pas obligés d’être d’accord. 1) Le matériel : Apple ou Android ? 2) Accès libre/prêt : La question de la forme de la mise à disposition est inhérente aux tablettes. 3) J’achète comment les applis pour mes tablettes ? Si je suis sous iOS, je passe par l’AppStore. a) Je pique celle d’un lecteur. b) Si la bibliothèque n’a pas de CB. 4) Les tablettes ne sont pas utilisées : Il peut arriver que les tablettes ne rencontrent pas le succès escompté. 5) Autoriser ou non le téléchargement d’applis ?
La boîte à outils ADBDP Le ministère de la Culture et de la Communication (Service Livre et Lecture) propose une boîte à outils sur le numérique en bibliothèque. Poursuivant sa politique d’accompagnement auprès des bibliothèques territoriales, le Service du Livre et de la Lecture a mis en place une « Boîte à outils du numérique en bibliothèque » visant à l’établissement de fiches pratiques sur le numérique. Ces fiches pratiques visent à accompagner les bibliothèques territoriales dans leurs projets numériques en les aidant à aborder au mieux les impacts technologiques ou organisationnels. Ces fiches sont élaborées par un groupe de travail dont les membres sont épaulés par des experts invités à présenter l’état de l’art dans leur domaine : Les thématiques abordées dans le cadre de la Boîte à outils de la numérique en bibliothèque seront les suivantes : La récupération de données catalographiques La ré-informatisation et l’évolution des catalogues L’aménagement des espaces livreetlecture