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Obsolescence

Obsolescence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un exemple probant est le calendrier, qui peut servir q'un an est dont l'état est parfait mais doit être changé. Pour se prémunir contre ce phénomène, les entreprises doivent exercer une action de veille technologique ou de veille sociétale pour prévoir, avec autant d'avance que possible, les changements risquant de remettre en question la valeur de leur savoir-faire. Une entreprise peut décider néanmoins de fabriquer des produits à « vieillissement programmé », ou bien encore non réparables parce que lors de leur sortie celui qui les remplacera est déjà à l'étude, ou bien parce qu'on estime que la réparation coûterait plus cher qu'un remplacement. Parfois même le changement de parties à durée de vie faible est impossible ou incommode : pile soudée à une carte-mère, batterie non remplaçable par l'utilisateur parce que le constructeur estime que le changement n'aura jamais lieu. Notes et références[modifier | modifier le code]

Performance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : performance, sur le Wiktionnaire En français, l'usage du mot implique l’idée de résultat, de réalisation, de finalisation d’un produit, alors qu'en anglais le terme se réfère au comportement, à la tenue d'un produit ou d'une personne face à une situation donnée. On observe que le français calque les concepts anglais utilisant le nom (« performance environnementale » au lieu de « comportement environnemental » par exemple), mais non le verbe anglais (les acteurs ne « performent » pas un rôle, ils le « jouent »)[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Toutefois, le mot français « performance » existe aussi et dérive du latin performare, avant d’être attesté en anglo-normand, et ensuite en ancien et moyen français The Oxford English Dictionary, second edition, volume XI, Clarendon Press, Oxford, 1989.

Performances financières et performances sociales sont-elles compatibles ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Nicolas Mottis, professeur à l'Essec Une entreprise peut-elle croître tout en étant vertueuse dans ses pratiques sociales, environnementales ou de gouvernance ? Dans le jargon managérial, cela renvoie au lien entre "création de valeur" - comprendre performance financière - et performances extra-financières ou performances "ESG" (environnementales, sociales et de gouvernance). Cette question simple est en fait bigrement compliquée. Malgré des années d'effort, la recherche en économie peine encore à apporter une réponse ferme. Par exemple, certains concluent qu'une gestion sociale de qualité est indispensable à l'obtention d'une bonne performance financière. Bien que la conclusion ne soit pas claire, le débat monte en puissance. Dans un article publié dans la Harvard Business Review en février 2011, l'un des derniers rares gourous du management anglo-saxon, Michael Porter, met en avant la notion de "valeur partagée".

Les indicateurs de performance sociale et financière Conseils de mise en œuvre 1. L’information financière 1.1 Les normes comptables L’IMF doit d’abord s’assurer d’utiliser des normes comptables adaptées : claires, respectant celles édictées par l’organe de supervision et les standards internationaux en vigueur dans le secteur de la microfinance : comptabilité en partie double (actif = passif), principe de prudence, principe d’importance relative, principe de spécialisation des exercices, principe de rattachement. Ainsi, ses données seront compréhensibles et comparables. 1.2 Les états financiers L’IMF présente ensuite clairement les données financières, sous forme d’états financiers. 1.3 Les ratios financiers Enfin, une série d'indicateurs clés de performance financière est utilisée pour jauger les résultats des IMF. Ces ratios seront ensuite analysés et aideront à expliquer la performance de l’IMF. 2. Pour suivre sa performance sociale, l’IMF doit tout d’abord définir ses objectifs en termes de développement économique et social.

Notions Qu'est-ce qu'une organisation performante ? - Réviser le cours - Sciences de gestion L'analyse de la performance de l'organisation doit être envisagée dans ses diverses composantes, c'est-à-dire en établissant un lien entre les résultats obtenus et les aspirations des différents acteurs. Il s'agit d'envisager comment ces aspirations sont traduites en termes d'indicateurs et comment la performance de l'organisation se situe par rapport à d'autres, ou comment elle évolue dans le temps. 1. La performance organisationnelle La performance organisationnelle se définit comme la réalisation d'un résultat équivalent ou supérieur à l'objectif fixé par l'organisation compte tenu des moyens mis en œuvre. L'analyse de la performance va se décliner en deux grandes notions : L'efficacité mesure la capacité de l'organisation à atteindre ses buts. Une organisation est performante quand elle utilise au mieux ses ressources (matérielles, humaines et financières) afin d'atteindre ses objectifs. 2. La fidélité de la clientèle ou de l'usager Le chiffre d'affaires (hors taxes) 3. La rentabilité

Au nom de la performance, recréons de l’envie dans l’entreprise Car il n’y a pas de performance sans envie et c’est bien le désir de réussir qui donne à un collectif l’énergie d’entreprendre. Pourtant depuis plus de 20 ans, au nom de cette performance, l’envie des salariés est détruite sous la pression de la financiarisation du business et de la mondialisation de l’économie bouleversant profondément et durablement le climat émotionnel des entreprises. Un sentiment d’injustice face à la répartition de la valeur produite jugée de plus en plus inéquitable On le sait, l’entrée au capital des entreprises des fonds de pensions et la volatilité des marchés ont généré des méthodes de gestion court-termistes et des dérives sur le plan social. Car les émotions sont bien le moteur de l’envie qui fait la performance. Des managers devenus de véritables contremaîtres en col blanc Longtemps, le management intermédiaire et la communication ont joué un rôle d’amortisseurs. En négligeant les émotions, les patrons accélèrent eux aussi cette destruction de l’envie.

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