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Stage Evolution des êtres vivants - SVT Lyon Près de 150 professeurs de sciences de la vie et de la Terre étaient rassemblés pour ce stage organisé en l’honneur de l’année DARWIN et pour la formation des enseignants du second degré (stage à public désigné 00180 du PAF de l’académie de Lyon). Les six conférences, suivies d’un temps de question-réponse ont passionné les professeurs et ont permis d’apporter des perspectives scientifiques très nouvelles dans tous les domaines abordés. Il faut remercier chaleureusement tous les intervenants pour leur disponibilité et la qualité de leur intervention, en particulier Gilles ESCARGUEL, Maître de Conférences à Lyon I, qui a beaucoup donné de son temps pour la préparation de ces deux journées. Pour les professeurs qui ont participé à ces deux journées et pour ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir s’y inscrire, voici : G.Grousset, IA-IPR SVT Présentations et textes de conférences : Présentation de professeurs du secondaire :

Physiologie animale v Introduction : On parle des neurones mais ce que l’on va dire marche aussi pour les muscles, les cellules cardiaques, etc. (toutes les cellules excitables) Le potentiel transmembranaire, VM, correspond potentiel de l’intérieur de l’axone par rapport au potentiel de l’extérieur. Figure 1 L’injection de courant consiste en une injection de charges (positives) entraîne la dépolarisation de la membrane. Et la membrane y répond par une dépolarisation avec une inversion de la polarisation (VM devient positif) et repolarisation : VM redevient négatif et même plus négatif que potentiel de repos (= hyperpolarisation) L’axone permet le transport du message nerveux par ce courant ionique. Figure O1 Travaux de Hodgkin et Huxley (1952) Le courant ionique est voltage–dépendant (ou potentiel–dépendant) Le potentiel d’action commence par un courant entrant transitoire de Na+, puis par un courant sortant de Na+. Exemple : Le potentiel d’action cardiaque : Figure 1–B Travaux de Sakmann et Neher Figure 2 Figure 3 g =

classification phylogénétique  phylo-classe Deux modules à ce jour : Module 1 : Le lac de Beaulieu Phylo-classe est un logiciel pour apprendre à classer les êtres vivants, il est constitué de plusieurs modules, chacun correspondant à un milieu particulier. Le 1er module de Phylo-classe est consacré aux animaux du lac de Beaulieu. Il est constitué de plusieurs rubriques : - Les rubriques "Découverte du milieu" et "Situation du milieu" permettent de situer et de découvrir le lac et le marais de Beaulieu. - La rubrique "Sélection des attributs" permet de sélectionner les attributs de certains animaux qui vivent près du lac ou dans le lac, toute l'année ou à certaines périodes seulement. - La rubrique " Description des attributs" renseigne sur les attributs. - La rubrique " Partage des attributs" affiche les animaux qui partagent les mêmes attributs. - La rubrique "Classification", permet de ranger dans des "boîtes" (classer) les animaux en fonction des attributs. - Cette rubrique permet de donner un nom aux boîtes. Animation en ligne ou ou

La classification du vivant, mode d'emploi Auteur : Guillaume Lecointre Guillaume Lecointre est Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, Département Systématique et Evolution, Laboratoire "Systématique, Adaptation, Evolution" UMR 7138 CNRS-UPMC-MNHN-IRD-ENS.Adaptation et mise en ligne : Gilles Camus Table des matières Retour au début 1. Introduction générale On pourrait penser que classer les êtres vivant est une activité maîtrisée des naturalistes amateurs, des enseignants et des utilisateurs de la nature (agriculteurs, sélectionneurs, agronomes, pharmaciens, vétérinaires, paysagistes, conservateurs de parcs et de musées, etc.). Même chez les scientifiques dont le métier est très proche des classifications, il arrive encore trop souvent qu’on se méprenne sur ce qu’est que « classer ». C’est mal connaître le contexte. 2. 2.1. Dans les livres scolaires, on confondait encore il y a quelques années trier, assigner et classer. 2.2. Trier, ce n’est pas tracer des ensembles, ce n’est pas créer des groupes. 2.3. 2.4.

Évolution et développement des métazoaires | Institut Jacques Monod : Site officiel Notre équipe cherche à reconstituer les grandes étapes de l'évolution des animaux grâce à l'analyse comparative des réseaux génétiques qui contrôlent la mise en place du plan d'organisation au cours du développement. Notre modèle de prédilection est le ver segmenté marin Platynereis dumerilii, une espèce facile à élever au laboratoire et dont les embryons se prêtent particulièrement bien aux expérimentations de biologie moléculaire. C'est également une espèce modèle idéale pour l'imagerie du vivant. Nos principaux axes de recherche : Le dernier ancêtre commun des bilatériens (Urbilateria) était-il un animal segmenté ? Fig. 1 : Reconstruction 3D du profil d'expression du gène engrailed (rouge) chez une larve de 48h (noyaux en bleu). Quelle était l'architecture du système nerveux chez Urbilateria et comment se formait-il ? Urbilateria avait-il un système vasculaire ? Fig. 3 : Film du développement embryonnaire de Platynereis, vu depuis le pole postérieur (5-35 hrs après fécondation).

Sciences biologiques - Parutions Comme l'Homme, de nombreux êtres vivants présentent une symétrie bilatérale, c'est-à-dire un avant, un arrière, mais aussi un côté droit et un côté gauche. Urbilateria serait l'ancêtre commun de ces organismes. Grâce à une étude phylogénomique poussée, Olivier Mirabeau et Jean-Stéphane Joly du laboratoire Neurobiologie et développement (N&D) du CNRS viennent de montrer qu'Urbilateria devait très certainement posséder un cerveau développé, doté de l'arsenal de neuropeptides et de récepteurs retrouvé chez ses descendants. Cette étude a été publiée dans la revue PNAS. Remonter le fil de la vie n'est pas chose aisée. Olivier Mirabeau et Jean-Stéphane Joly viennent d'apporter de nouveaux indices sur Urbilateria. En plus d'approfondir nos connaissances sur les origines de la vie, ces résultats permettront de mieux comprendre les mécanismes d'évolution des neuropeptides et de leurs récepteurs au cours du temps. En savoir plus Contact chercheurs

Sélection naturelle - Evolution biologique Noir et blanc La Phalène ou Géomètre du Bouleau, Biston betularia est un grand Papillon de nuit. Cette espèce doit son nom au fait qu'on la trouve souvent posée sur le tronc des Bouleaux où la teinte de ses ailes la rend difficilement discernable au regard humain. Les adultes vivent 5 à 6 jours, sans se nourrir, après avoir passé plusieurs mois à l'état de chenille à se gaver de feuilles. Les femelles copulent le jour de leur sortie de la chrysalide et pondent dans les deux jours qui suivent. Copulation d'une forme carbonaria et d'une forma typica. Jusqu'au début du dix neuvième siècle on ne connaissait que la forme typique aux ailes blanches tachetées de noir. D'où viennent ces Papillons noirs jusque là passés inaperçus ? Le mélanisme est lié à la production d'un pigment foncé, la mélanine, par les cellules de l'épiderme. haut de page Survie Dès la fin du dix neuvième siècle on a réalisé l'importance de cette observation. Prédation Critiques Dépollution Cousin d'Amérique Insularia, l'oublié

Dendroscope — Algorithms in Bioinformatics Software for visualizing phylogenetic trees and rooted networks. Download Dendroscope 3 here.See our book on phylogenetic trees and networks...Over 20,000 registered users...This program is open source, the source is available here. Dendroscope 3 - An interactive viewer for rooted phylogenetic trees and networks Researchers studying phylogenetic relationships need software that is able to visualize rooted phylogenetic trees and networks efficiently, increasingly of large datasets involving hundreds of thousands of taxa. The program should be user friendly (easy to run on all popular operating systems), facilitate interactive browsing and editing the trees and allow one to export the result in multiple file formats in publication quality. We have developed the platform independent tree and rooted network viewer Dendroscope that addresses these issues. Feature List: Download Download an installer for linux, MacOS X or Windows for version 3 here. (Version two is still available here). References

IUFM de Bretagne : CAREST classification des êtres vivants Classer les êtres vivants c’est rechercher leurs points communs pour effectuer des regroupements, c’est rechercher une certaine unité dans la diversité. Des résultats de cette activité naît la notion de parenté entre les êtres vivants : plus des êtres vivants présentent des caractères (appelés également " attributs ") en commun, plus ils sont apparentés. On devine derrière ces " parentés " une idée d’évolution. Classer selon certains critères : homologie et analogie Il existe un obstacle majeur aux parentés ainsi trouvées. Si le critère principal choisi est par exemple le milieu de vie : requin et dauphin sont les plus apparentés, ils partagent ce milieu de vie en commun. Tout d’abord, on ne peut comparer que ce qui est réellement observé : les liens de parenté sont établis sur la base des ressemblances et non des différences. Nous utiliserons donc ce que l’on appelle des caractères homologues pour effectuer des comparaisons. Autres emboîtements possibles

sciences de la vie et de la Terre - classification des êtres vivants, dessin vectoriel et tableau blanc interactif La suite logicielle libre OpenOffice est disponible en téléchargement. Elle comprend un module de dessin vectoriel appelé OpenOffice Draw. Par défaut un dessin comporte trois couches superposées. Les couches "contrôles" et "Lignes de cote" n'étant pas utilisées, nous ajoutons une couche nouvelle en faisant un clic droit sur l'un des onglets. Les paramètres de la couche apparaissent. Le paramètre "Vérouillé" appliqué à la couche "mise en page" permet de la figer tandis que nous travaillons sur la couche biodiversité qui n'est pas vérouillée. Pour pouvoir déplacer ensemble le cadre et les objets qu'il contient, il faut d'abord les sélectionner un par un y compris le cadre qui les contient en maintenant l'appui sur la touche "Shift" du clavier. Un clic droit permet de "Grouper" les objets qui sont maintenant solidaires en déplacement et en redimensionnement sauf en ce qui concerne la taille des caractères.

theconversation Il y a 99 millions d'années, dans ce qui est aujourd'hui la Birmanie, une grenouille se préparait à faire son repas d'un scarabée. Las ! Les deux animaux ont été engloutis, englués dans une résine : le morceau d'ambre qui en a résulté vient d'être analysé par des chercheurs américains. Une belle et rare découverte qui nous offre l'occasion de lever le voile sur des pans entiers de l'histoire de la vie. La compréhension de cette mégabiodiversité, des centaines de milliers d’espèces d’insectes, ne peut plus se faire sans que l’on étudie de près l’évolution de ses compartiments les plus importants. Des fossiles peu prisés… à tort Les insectes fossiles sont plutôt négligés dans les études paléontologiques. C’est une source maintenant reconnue en biologie évolutive, grâce aux efforts de quelques scientifiques qui les traquent sur tous les continents et à travers la découverte de gisements exceptionnels. Anciennes lignées Le mystère des Hémiptères élucidé Ambre fossile et nouvelles technologies

Pourquoi les extraterrestres sont-ils chauves? Lorsqu’on cherche « extraterrestre » sur le moteur de recherche Google images, des dizaines d’illustrations nous sont proposées. L’imaginaire humain n’a pas été avare tout au long du siècle dernier pour donner mille formes à ces mystérieux envahisseurs venus d’un autre monde. Parfois grands, parfois minuscules, parfois dotés de trois yeux, parfois d’un seul, ces visiteurs, qu’ils soient pacifiques ou agressifs, sont très différents les uns des autres. Leur description pourrait remplir un livre entier d’« exozoologie », comme l’étaient jadis les recueils raisonnés des différentes variétés du vivant que les amateurs naturalistes pouvaient rencontrer. Pour diverses que soient ces figures, un point est frappant par sa constance : la plupart de nos « frères de l’espace » sont chauves. Que ce soit E.T., les petits gris ou les Annunakis, comme les nomment parfois les experts en la matière, ces visiteurs n’ont pas un cheveu sur le crâne.

Les inquiétants scénarios de la biologie végétale high-tech aux États-Unis Modifier génétiquement des plantes par l’action d’insectes porteurs de virus génétiquement modifiés… Loin d’être le scénario d’un film catastrophe, c’est bel et bien le projet de Insect Allies, un programme de recherche conduit en ce moment aux États-Unis Lancé par l’Agence de recherche de l’armée américaine (Darpa) en novembre 2016, ce programme scientifique de quatre ans est subventionné à hauteur de 27 millions de dollars (la Darpa dispose d’un budget annuel de l’ordre de 2,9 milliards de dollars). À ce jour, 3 consortiums – formés d’universités et d’instituts de recherches états-uniens – ont déjà annoncé être les récipiendaires de tels contrats de recherche afin de développer des systèmes de dispersion de virus génétiquement modifiés. La Darpa est coutumière de ce type de projets exploratoires – que ce soit dans le domaine de l’informatique, de la physique et maintenant dans celui de la biologie. Déploiement à la demande Un silence inquiétant Ouvrir le débat au plus vite

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