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Ouvroir de littérature potentielle

Ouvroir de littérature potentielle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de littérature potentielle, généralement désigné par son acronyme OuLiPo (ou Oulipo), est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir[1]. » L'OuLiPo se définit d'abord par ce qu'il n'est pas[2] : Ce n'est pas un mouvement littéraire.Ce n'est pas un séminaire scientifique.Ce n'est pas de la littérature aléatoire. Premier d'une longue série d'ouvroirs rassemblés sous le terme Ouxpo — prononcé « Ou-X-Po », le X étant généralement remplacé par une syllabe articulable tel que OuMuPo (musique) ou OuBaPo (bande-dessinée) —, l'Oulipo est une association fondée en 1960 par le mathématicien François Le Lionnais, avec comme cofondateur l'écrivain et poète Raymond Queneau. L'Oulipo anime parfois, sans les organiser, des ateliers d'écriture[3]. Historique[modifier | modifier le code] Présentation[modifier | modifier le code] l’âge Related:  Bizarre M-Q

Ouvroir de bande dessinée potentielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de bande dessinée potentielle (OuBaPo) a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association[1]. Ce comité crée des bandes dessinées sous contrainte artistique volontaire à la manière de l'Ouvroir de littérature potentielle (OuLiPo) créé par Raymond Queneau. Quatre OuPus ont été publiés parcourant les diverses recherches, auxquels s'ajoutent les œuvres individuelles de ses membres et sympathisants. Histoire[modifier | modifier le code] Constitué en 1992, le groupe de l'OuBaPo est formé lors de la première séance de travail début 1993 de François Ayroles, Anne Baraou, Gilles Ciment, Jochen Gerner, Thierry Groensteen, Patrice Killoffer, Étienne Lécroart, Jean-Christophe Menu et Lewis Trondheim. Contraintes en bande dessinée[modifier | modifier le code] Les contraintes formelles que s'imposent les auteurs dans la réalisation d'un album à caractère OuBaPien peuvent être classifiées.

Ouvroir d'x potentiel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un ouvroir d'x potentiel (Ouxpo) est un regroupement de groupes de recherche sur les créations possibles basées sur la contrainte volontaire. L'Ouxpo regroupe l'Oulipo, l'Oubapo, l'Outrapo, etc. Le terme « ouvroir », recouvrant anciennement des œuvres de charité, a été réutilisé pour le rapprochement entre « ouvroir » et « œuvre », sur proposition d'Albert-Marie Schmidt, de l'Oulipo, et adopté dès sa deuxième réunion en remplacement de Sélitex (pour « séminaire de littérature expérimentale »). Le terme « potentiel » est utilisé dans le sens de ce qui est possible, réalisable si l'on suit certaines règles. Tous ces ouvroirs se donnent pour objet d'investigation le travail sous contrainte. Historique[modifier | modifier le code] Selon les vœux de François Le Lionnais et Raymond Queneau, à partir du creuset oulipien, d'autres Ouvroirs d'X Potentielle se sont formés pour l'ensemble des arts et même plus. Voir Liste des Ouxpo

Collège de 'Pataphysique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Collège de 'Pataphysique est une « société de recherches savantes et inutiles » qui promeut la 'Pataphysique. L’organisation et la promotion de ces recherches nécessitent une administration rigoureuse, qui s’inspire de diverses institutions du passé (Curie romaine, République de Venise, etc.). Organisation[modifier | modifier le code] « Un Curateur inamovible »[1] « sis dans l’éthernité », à savoir le Docteur Faustroll[2], préside à l’essence et à l’existence du Collège. Un corps de « Provéditeurs »[3] administre les biens « imaginaires et réels » du Collège ; il organise ses publications et manifestations ; il crée les chaires d’enseignement. Les « Dataires »[5] sont des fonctionnaires-dignitaires chargés d’exécuter les décisions des Provéditeurs et de transmettre les messages et envois du Collège à ses membres. Le rayonnement de la ’Pataphysique et son enseignement sont assurés par les « Satrapes »[6] et les Régents[7].

Georges Perec Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Perec. Georges Perec Œuvres principales Georges Perec est un écrivain et verbicruciste français né le à Paris et mort le à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Membre de l'Oulipo à partir de 1967[1], Perec fonde ses œuvres sur l'utilisation de contraintes formelles, littéraires ou mathématiques, qui marquent son style[2]. La Vie mode d'emploi (prix Médicis 1978), dans lequel Georges Perec explore de façon méthodique et contrainte la vie des différents habitants d'un immeuble, lui apporte la consécration. Biographie[modifier | modifier le code] L’enfance[modifier | modifier le code] Engagé volontaire contre l'Allemagne dans la guerre franco-allemande de 1939, Icek Peretz est mortellement blessé le 16 juin 1940. Études et analyses[modifier | modifier le code] Profondément marqué par la disparition de ses proches (notamment ses parents pendant la guerre), Perec entame une psychothérapie avec Françoise Dolto en 1949.

MUSEE de l'EROTISME Contrainte artistique volontaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une contrainte artistique volontaire est une contrainte artistique (formelle, théorique, plastique, thématique…) utilisée sciemment comme un moteur créatif. Le rapport entre les contraintes artistiques et littéraires et la liberté est problématique : on soupçonne parfois les premières de nuire à la seconde. Pour lever cette ambiguïté, les praticiens utilisent aussi un oxymore, la "contrainte libératoire", qui investit le concept de toute sa charge créatrice. La contrainte en littérature[modifier | modifier le code] Les contraintes sont à la base de la littérature « oulipienne » et plus généralement de tous les « Ouxpo » Ouvroirs d’X Potentielle (Oulipo, Oupeinpo, Outrapo, Oubapo, Ourapo etc.) « Parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense ! Exemples[modifier | modifier le code] Le Train de Nulle Part est un roman écrit en 2004 sans verbe. Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

La perversion à travers les âges Les pervers font le mal pour le mal, jouissent de l’angoisse qu’ils suscitent chez autrui et défient les normes morales d’une société par leurs conduites « déviantes ». Mais est-on pervers de la même façon au Moyen Âge qu’au XXIe siècle ? Violeur d’enfants, mari manipulateur, homme politique aux mœurs légères… Désormais, pas une semaine sans que le mot « pervers » soit utilisé à tort et à travers dans les médias pour désigner à la vindicte publique des individus dont le comportement déviant scandaleux, grotesque ou abject nous donne à voir dans un miroir grimaçant ce que nous nous évertuons à cacher sans cesse : la part obscure de nous-mêmes (1). L’existence du mot « pervers » est attestée en 1190 et dérive de « pervertere » : retourner, renverser, inverser, commettre des extravagances. >> L’existence du mal chez un individu relève-t-elle de l’ordre divin ? L’homme médiéval appartient corps et âme à Dieu. >> Le libertin est-il un pervers ? >> La médecine, nouvelle référence ? Sarah Chiche

Joséphin Peladan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Sâr Mérodack Joséphin Peladan, pseudonyme de Joséphin Peladan[1], né à Lyon le 29 mars 1858 et mort à Neuilly-sur-Seine le 27 juin 1918, est un écrivain et occultiste français. C'est à son frère Adrien (1844-1885), l'un des premiers homéopathes français, que Joséphin Peladan doit son entrée dans une branche toulousaine de la Rose-Croix. À cet Ordre appartenait aussi le Vicomte de Lapasse [2], alchimiste toulousain présenté comme un élève du Prince Balbiani de Palerme, prétendu disciple de Cagliostro. Biographie[modifier | modifier le code] Issu d'une famille de cultivateurs et de commerçants, Joseph-Aimé Peladan, qui se donnera plus tard le prénom de Joséphin, est le fils de Louis-Adrien Peladan, journaliste à La France littéraire, fondateur de La Semaine religieuse, mystique exalté et confus, et de Joséphine Vaquier. Il entre comme employé au crédit Faillelle à Paris. Peladan et Barbey d'Aurevilly[modifier | modifier le code]

Other World Kingdom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. OWK possède sa propre monnaie, ses passeports, une police, un tribunal, un drapeau et un hymne. Aucun pays ne reconnaît cette micronation. Histoire[modifier | modifier le code] OWK est fondé officiellement le 1er juin 1996. Le terrain et les bâtiments sont proposés à la vente en 2008 pour huit millions d'euros. Description[modifier | modifier le code] Gouvernement[modifier | modifier le code] L'OWK est un matriarcat, où les femmes dominent, selon les règles du BDSM et de la domination féminine. L'OWK est gouverné par la reine Patricia Ire, une monarque absolue. OWK comprend plusieurs classes d'habitants : La première est celle des dames sublimes ou dames citoyennes qui constituent la noblesse. La classe suivante est constituée des sujets de la reine. La classe la plus basse est celle des esclaves qui sont des hommes propriétés de la reine et des dames sublimes. Source, notes et références[modifier | modifier le code]

Exposition "L'Ombilic du Rêve" à Paris Le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris accueille l'exposition "L'Ombilic du Rêve". Du 25 septembre 2014 au 4 janvier 2015, le public pourra voir des œuvres de Félicien Rops, Max Klinger, Alfred Kubin, Armand Simon. "– chaque rêve comporte au moins une partie qui ne peut être creusée jusqu’à son fondement, comme un nombril, un ombilic qui le met en relation avec l’inconnu." Sigmund Freud, dans L’interprétation des rêves. Placée sous l’égide de "L’Ombilic du rêve", l’exposition se veut une invitation à sonder les limites de notre conscience, à travers l’imaginaire graphique d'une centaine de dessins et de gravures de 4 artistes d’exception, Félicien Rops (1833-1898), Max Klinger (1857-1920), Alfred Kubin (1877-1959) et Armand Simon (1906-1981), dont les œuvres respectives révèlent des liens évidents et des préoccupations communes. Tarifs : 5 €, 3 € (réduit).

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