background preloader

Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook - 9 septembre 2013

Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook - 9 septembre 2013
Travailler à Facebook… Un rêve pour beaucoup de jeunes diplômés. A tel point que Google, inquiet de voir les cohortes de jeunes diplômés de Harvard ou de Stanford snober son campus multicolore pour les plateaux "open space" de Facebook a dû augmenter d'un coup les salaires de 10% en 2010 pour calmer ses troupes. Mais travailler pour Mark Zuckerberg, est-ce vraiment un rêve? L'entreprise ne recèle-t-elle aucune faille, tant dans ses conditions de travail que dans son management ? Ce n'est pas l'avis de plusieurs salariés, qui se sont confiés au site communautaire Quora, soit de façon anonyme, soit en assumant leurs propos en signant de leur nom. Challenges a relevé 7 critiques emblématiques. 1. Keith Adams, Engineer at Facebook "Le pire pour moi, quand j'ai travaillé à Facebook, ça a été le "oncall duty", c'est-à-dire l'astreinte informatique, qui consiste à assurer une permanence 24h sur 24 pour résoudre des bugs. Anonyme Elaine C. Noah M. Noah M. "La nourriture est trop bonne.

7 anecdotes des salariés de Facebook Vous rêvez de travailler chez Facebook ? Afin de mieux cerner l’ambiance de travail à Palo Alto, vous pouvez découvrir sur Quora les témoignages d’employés qui présentent régulièrement les avantages et les inconvénients méconnus d’un emploi chez Facebook. Nous en avons sélectionné 7. Être joignable 24h/24, 7 jours sur 7 Un ingénieur de chez Facebook raconte l’incidence des astreintes sur le temps de travail. Quand les amis se plaignent de Facebook « Vous travaillez chez Facebook ? 3 repas par jour, cuisinés par des chefs reconnus Malgré ce rythme de travail intense, on ne mange pas sur le pouce chez Facebook. Salaire moyen des stagiaires : $6,213 euros par mois Facebook est prêt à tout pour attirer les meilleurs stagiaires. Traîner sur Facebook, c’est parfois recommandé Évidemment, chez Facebook, Facebook.com n’est pas bloqué. Les ingénieurs gouvernent sans se soucier des managers Sur son blog, Philipp Su pointe du doigt le manque de logique des prises de décision.

8 raisons de détester travailler chez Facebook Facebook bénéficie plutôt d’une bonne réputation et à même été élue « entreprise ou il est le plus agréable de travailler« . Il est donc assez surprenant de découvrir 16 raisons pour lesquelles certains employés de Facebook sont mécontents qui se sont exprimés sur Quora. Je vous laisse juger. « Durant 6 semaines dans l’année, je suis d’astreinte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7″. Keith Adams, ingénieur chez Facebook, explique qu’il doit dormir avec son téléphone et qu’il est de sa responsabilité que le service fonctionne, quoiqu’il en coute. « Il n’y a pas de mur chez Facebook ». L’ingénieur, qui témoigne anonymement, ne parle pas de mur physique mais de la barrière entre la vie professionnelle et la vie priée. « Il n’y a pas de vraie infrastructure ». L’entreprise a grandit très vite et manque d’organisation. « Ne vous plaignez pas de Facebook auprès de moi juste parce que j’y travaille ». « Le manque total de concentration de mon équipe » « Ce fut ma pire expérience à ce jour »

Pourquoi il fait si bon travailler chez Facebook - L'Express L'Expansion C'est comment, la vie chez Facebook ? Au top, si l'on en croit le classement Glassdoor des entreprises dans lesquelles il fait bon travailler, basé sur les notes délivrées par les salariés eux-mêmes. Facebook arrive en première position, tous secteurs confondus, ralors que Google pointe seulement à la 30e place. Comment expliquer l'amour qu'ils portent à leur employeur ? Des avantages au-dessus de la moyenne Chez Facebook, un comité d'audit est chargé d'étudier ce qui se pratique ailleurs dans les grandes entreprises, afin de s'assurer que les avantages offerts par Facebook, au global (salaires fixe, variable, bonus annuel, mutuelle, avantages en nature, etc.) sont supérieurs à la moyenne du marché, explique Damien Vincent, le directeur commercial France de Facebook. Au siège de Palo Alto, c'est un peu comme dans un séjour "all inclusive" : tous les jours, l'entreprise offre gracieusement le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner, mitonné par... l'ancien cuisto de Google.

Ingénieur, Aurélien va travailler chez Facebook Entretien avec Aurélien Fredouelle, ingénieur manceau. Vous partez dans quelques jours travailler comme ingénieur au siège de Facebook, près de San Francisco. Le rêve pour un jeune informaticien, non ? Disons que c'est, avec Google, le plus gros site internet du monde. L'idée de départ est géniale. Le fondateur est parti de rien. Comment avez-vous été recruté ? Au départ, un peu le hasard. Quel type de poste allez-vous occuper là-bas ? Je ne sais pas encore. Vous connaissez vos conditions de travail ? Sur les 3 000 salariés, il y a un millier d'ingénieurs. Les conditions sont très intéressantes : deux fois le salaire d'ici, l'assurance santé, ainsi que tous les repas pris en charge par l'entreprise. Qu'est-ce qui vous a séduit dans cette entreprise ? Sa jeunesse et celle de ses salariés, et son dynamisme. Le fait d'être Français a été un atout ? Je pense que Facebook souhaite des chercheurs d'horizons divers, avec des points de vue différents. Vous êtes un utilisateur de Facebook ?

Starbucks, la petite section CFDT qui monte… Google vs Facebook: où fait-il bon travailler? Le site du magazine américain BusinessWeek se fait l’écho des impressions d’un ancien développeur informatique pour Google passé en 2007 chez Facebook sur les conditions de travail dans les deux entreprises. David Braginsky, qui répond en détail sur le site Quora à la question «Pour quelle société vaut-il mieux travailler?», passe en revue tous les aspects de la vie au travail, des pressions de la direction à la qualité du café. De manière générale, il estime que l’ambiance à Mountain View (le siège de Google) ressemble aux dernières années des études supérieures: l’entreprise encourage les initiatives audacieuses (par exemple, elle encourage ses salariés à prendre 20% du temps pour leurs recherches persos, d'où sont nées Gmail et GoogleNews), chacun est attaché à rendre une copie soignée, et le travail est constamment soumis à un contrôle-qualité. L’inconvénient étant que le processus de production est souvent long, du fait de la taille gigantesque de la société:

Bonnes feuilles : Comment Starbucks a sauvé sa peau sans perdre son âme par Howard Schultz "Nous nous étions laissés distraire de notre coeur de métier" (...) Aujourd'hui, Starbucks dépasse les 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel et sert chaque semaineplus de 60 millions de clients dans 16 000 boutiques réparties dans 54 pays. Si ces chiffres permettent de mesurer le succès de Starbucks, ils ne représentent pourtant pas ce qui en fait, à mes yeux, la véritable réussite. En tant que chef d'entreprise, mon objectif n'a jamais été uniquement de gagner de l'argent ni de faire des bénéfices. Pendant des décennies, les partenaires et les actionnaires de Starbucks ont prospéré. En 2000, j'ai démissionné du poste de P-DG pour rester président et j'ai abandonné l'activité au jour le jour pour me concentrer sur la stratégie globale et sur la politique d'expansion. En 2007, Starbucks montrait des signes d'essoufflement. Et puis il y a eu la révolution numérique et le changement radical dans la façon dont les informations circulaient. Voici ce qui est arrivé ensuite.

Facebook (entreprise) Facebook [ˈfeɪsbʊk][3] Écouter (litt. « trombinoscope » en anglais) est une société américaine créée en 2004 par Mark Zuckerberg. Elle est un des géants du Web, regroupés sous l'acronyme GAFAM[4], aux côtés de Google, Apple, Amazon et Microsoft. Histoire La société a enlevé la particule « The » de son nom après l'achat du nom de domaine facebook.com en 2005 pour 200 000 dollars[5]. En avril 2006, Jeff Hammerbach, mathématicien auparavant employé par Bear Stearns, est embauché par Facebook, qui dispose alors de moins de 100 salariés, afin d'analyser les données des utilisateurs et développer des programmes permettant un meilleur ciblage publicitaire. Le 8 août 2010, Facebook achète 19 brevets à Friendster pour 40 millions de dollars[9]. Début janvier 2011, Facebook est valorisé 50 milliards de dollars américains[10]. En mars 2011, Facebook se lance dans la vidéo à la demande (VàD)[11]. En avril 2012, Facebook achète l'application Instagram pour un milliard de dollars américains[15]. Lobbying

Starbucks Corporation : connaître son adversaire – | Paris Fierté Publié le 14 décembre 2012 dans Culture, Vivre à Paris Starbucks Corporation, un géant de la malbouffe. Caféine, sucre et hypocrisie. La Starbucks Coffee Company est fondée en 1971. Il s’agit alors d’un commerce spécialisé dans le café en grains. Suite à son acquisition par Howard Schultz, en 1987, elle devient officiellement la Starbucks Corporation, même si elle continue à communiquer sous son nom d’origine. Starbucks, une machine de guerre anti-identitaire. Et c’est dans ce combat de titans de l’industrie alimentaire mondiale –trois termes qui, associés, évoquent inévitablement l’innommable Tricatel de « L’Aile ou la Cuisse » ! Pas besoin d’une « third place » en Europe : elle y existe déjà ! La Starbucks Corporation est donc l’ennemie déclarée de tous nos lieux de détente traditionnels et de nos traditions gastronomiques enracinées. Starbucks à l’assaut de la butte Montmartre et de l’Europe. Pourtant Starbucks fait mouvoir ses pièces sur l’échiquier européen. Le sucre ou l’alcool.

+48% d'employés en un an chez Facebook - ZDNet En un an, Facebook a recruté 48% d’employés en plus. Ils sont désormais 10 082 (chiffre à date de la fin du mois de mars) à travailler pour Mark Zuckerberg. A titre de comparaison, et bien que Facebook soit 5 fois plus petit, on peut noter que l’accroissement des employés chez Google n’a été ‘que’ de 12% l’an passé. Le monde amer de Starbucks Temps de lecture: 12 min Franchir la porte de la boutique. Se faire intercepter du regard par un vendeur moins de dix secondes après. Choisir un café sur une carte longue comme celle d'un restaurant. Le payer cher. J'avais toujours regardé cette marque d'un œil neutre, pas malheureux de poser mes fesses dans les fameux fauteuils pour squatter le wifi gratos. Violemment à charge, le texte dépeint une réalité désastreuse et des employés traités comme des esclaves à la merci de leurs manageurs. «On est les meilleurs. Mon enquête a débuté dans un café parisien. Comme des centaines de jeunes employés de chez Starbucks, c'est la recherche d'un petit boulot d’étudiant qui l’avait incitée à postuler. Comme tous les nouveaux employés chez Starbucks, elle hérite d'un CDI. «Ils t'embobinent avec leurs phrases à deux balles. Après deux jours à écouter une rhétorique pleine de bons sentiments, les baristas sont affectés à une boutique particulière qu'ils ne quitteront plus. La peur du snap-shoter

Pourquoi travailler chez Facebook n'est pas un job de rêve Le géant des réseaux sociaux rafle la première place des entreprises les plus attirantes aux yeux des chercheurs d'emplois. Mais est-ce à juste titre ? Facebook est souvent considéré comme l'un des employeurs les plus convoités du secteur technologique. Pas mal, non ? Et pourtant : selon un fil de discussion Quora, d'anciens et actuels employés du géant du social media pensent le contraire. Du manque de professionnalisme (il est courant de se retrouver à faire la lessive de son boss) à l'attitude suffisante de Mark Zuckerberg, nous avons rassemblé les détails les plus intéressants. "Six semaines par an, je dois être disponible 24h/24." Lorsqu'ils sont d'astreinte, les ingénieurs sont responsables du maintien et du bon fonctionnement des services quoi qu'il arrive. "La barrière entre travail et vie privée n'existe pas." "Il n'existe pas d'infrastructure véritablement fonctionnelle." "Ne vous plaignez pas de Facebook auprès de moi juste parce que j'y travaille." "Les drames au bureau."

Facebook annonce un bénéfice net de 2,4 milliards de dollars et un chiffre d'affaires dingue - LCI ECONOMIE - Mark Zuckerberg va bien, merci pour lui. Son réseau social, qui compte de plus de en plus d'utilisateurs, a publié des résultats financiers en augmentation pour ce 3e trimestre. La rédaction de LCI La publicité mobile a continué d'entretenir la croissance de Facebook au troisième trimestre, où le réseau social américain a de nouveau fortement amélioré ses performances financières et étendu son audience, selon des résultats publiés mercredi. Facebook a vu son bénéfice net bondir de 166% à 2,4 milliards de dollars, tandis que son chiffre d'affaires grimpait de 56% à 7 milliards de dollars, dépassant ainsi les attentes des analystes. Facebook a parallèlement continué à augmenter son nombre d'utilisateurs, qui atteignait 1,79 milliard fin septembre, contre 1,71 milliard trois mois plus tôt.

Related: