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La collaboration, premier pilier de l’entreprise de demain

La collaboration, premier pilier de l’entreprise de demain
Quels que soient les produits et/ou les services que les nouvelles entreprises développent et proposent, elles ne peuvent plus faire l’impasse – au niveau organisation – sur la mise en oeuvre de pratiques collaboratives et d’outils ad-hoc. Au delà de l’innovation technique ou commerciale, la collaboration est un des facteurs de réussite des petites et moyennes entreprises. Nécessaire, mais pas suffisante, elle contribue à créer la performance économique et c’est pourquoi la collaboration est le premier pilier de l’entreprise de demain. Ce n’est pas un besoin, ni même une exigence nouvelle, mais tout le monde s’accorde à reconnaître que l’évolution technologique de ce début de siècle rend la pratique collaborative plus facile, donc très certainement plus efficace. La collaboration est d’abord une attitude, un état d’esprit, qui consiste à travailler ensemble sur des projets, des dossiers, des idées. Hors, il n’en est rien. En effet, pourquoi collaborer ? Voici une liste non exhaustive : Related:  Réseau social d'entreprise

A quoi servent les réseaux sociaux d'entreprises Que ce soit dans la presse généraliste ou spécialisée, les réseaux sociaux comme Facebook font régulièrement l’objet d’articles et c’est bien normal tant ces derniers changent la manière de communiquer des organisations. Les initiatives en matière de réseaux sociaux d’entreprise (RSE) aussi appelés réseaux sociaux interne (RSI) jouissent eux d’une visibilité beaucoup plus relative dans les médias. Pourtant un RSE n’est pas autre chose qu’une plateforme web dotée de fonctions communautaires et qui peut parfois concerner plusieurs dizaines de milliers de salariés. Alors un RSE à quoi ça sert concrètement ? Zoom sur une tendance qui devrait s’accentuer dans les années à venir. A quoi sert un réseau social d’entreprise ? A casser la hiérarchie des organisations…. Aujourd’hui, une majorité des entreprises ont des modèles organisationnels qui ne sont plus adaptés au monde contemporain. …. pour améliorer la productivité des salariés. 2. 1. « Je n’en vois pas l’intérêt. » 3. 1. 2. Le mot de la fin :

La filière viande française à l'abattoir ? - Jean-Marie TETART Mercredi, table ronde très intéressante sur la situation et l’avenir des abattoirs en France. Très intéressante mais très inquiétante. Plusieurs raisons à cette situation inquiétante. D’abord une dégradation de l’élevage en France, donc plus assez de bêtes à abattre dans nos abattoirs qui gardent cependant les mêmes charges fixes. J’ai demandé en commission qu’on puisse faire le point sur toutes les voies par lesquelles les collectivités locales peuvent soutenir la filière viande et particulièrement les abattoirs. La question de l’étiquetage indiquant le mode d’abattage, rituel ou non, a été abordée. 80 % de la viande vendue à l’exportation est d’abattage rituel. La question des abattoirs de porc est encore plus délicate. Pour donner une idée générale du secteur, l’abattoir le plus important en France traite 5 millions de porcs par an, au Danemark 20 millions. Le porc « Francilin » est élevé en Seine et Marne, à Dagny, chez M.

L’entreprise de demain : à la recherche permanente de l’équilibre Il est loin le temps des certitudes et ceux qui s’y accrochent risquent de très vite déchanter. Les jeunes générations font évoluer notre rapport au quotidien, au travail, à l’entreprise et il est difficile d’imaginer un quelconque "statu quo" pour les prochaines décennies. L’entreprise de demain doit également faire fi de ces certitudes ou de celles des dirigeants formés dans les mêmes "business schools" à l’orthodoxie de l’efficacité économique et de l’organisation du travail. Il y a eu dernièrement la publication de cet article "La génération Y façonne autrement son parcours professionnel" qui illustre bien certains traits des changements qui s’opérent sous nos yeux, avec et/ou malgré nous. L’entreprise de demain va devoir vivre dans un contexte mouvant et pour survivre elle devra mettre en oeuvre de réels talents d’équilibriste ! La "nouvelle donne" demande une orchestration à la fois précise et "sensible" portée par des leaders et réalisée par un ensemble coordonné. Pour en parler,

Les questions à se poser avant de lancer un réseau social d'entreprise | U Pro Temps de lecture : 2min15 Les réseaux sociaux d’entreprise (RSE) ont incontestablement le vent en poupe : selon une étude réalisée mi-2015 par L’Observatoire de l’Intranet et de la Stratégie Numérique, 26 % des sociétés interrogées déclarent avoir lancé dernièrement un projet de ce type. Il faut dire qu’entre 2012 et 2013, déjà, le chiffre d’affaires généré par ce marché avait, d’après la société de conseils Lecko, augmenté de 170 % ! Mais toutes les entreprises ont-elles un intérêt à lancer leur réseau social ? Pour répondre à cette interrogation, nous avons sélectionné… 8 questions, qui vous aideront à savoir si cet outil de communication interne correspond à vos attentes et à vos besoins. 1. Plusieurs raisons peuvent vous pousser à adopter un réseau social d’entreprise. 2. Le réseau social d’entreprise est un espace privilégié pour booster la collaboration entre les membres d’un projet. 3. 4. 5. 6. Le marché des réseaux sociaux d’entreprise est en ébullition depuis quelques années.

Le secteur la viande en difficultés PARIS (France), 12 oct 2013 (AFP) - La suppression de près de 900 emplois dans la société d'abattage et de découpe GAD, annoncée vendredi soir, est une mauvaise nouvelle de plus pour un secteur aux abois, où résonnent des noms comme Doux,Tilly-Sabco ou encore Spanghero... Ces derniers jours, les cris d'alerte se sont multipliés : des abattoirs, réunis au sein du syndicat le Sniv-SNCP puis de la Fédération des industriels et des commerçants en gros de la viande (FNICGV). Tous font le même constat : la filière manque cruellement de compétitivité. Le coût du travail est trop lourd en France et la viande française n'arrive pas à concurrencer la viande allemande, où il n'y a pas de salaire minimum. Il y a trop de contraintes administratives. Les professionnels réclament notamment la fin des tests de dépistage de l'ESB (vache folle) sur les animaux arrivant en abattoir, comme l'autorise l'Europe depuis janvier 2013. 5.000 emplois supprimés ?

Réseaux sociaux : les entreprises s'y mettent aussi Danone, LVMH, BNP Paribas, Orange ou Alcatel se sont lancés. Mais en général ces plates-formes restent encore avant tout des outils de recrutement. La question n'est plus pourquoi, mais comment? Comment faire pour installer un réseau social d'entreprise, cet annuaire interne enrichi qui permet aux salariés de créer leur communauté et d'échanger savoirs et savoir-faire? Le top départ date de 2008 et le véritable tournant de fin 2010. Pour autant l'évolution se fait lentement. Si les directions ne le font pas, les collaborateurs passent à l'acte. Nicolas Rolland, directeur de la prospective sociale du groupe Danone, n'est pas convaincu. Présent dans plus de 90 pays, Danone avait un besoin professionnel de développer les relations entre collaborateurs. Sur les 40 000 personnes connectées, 30 000 ont enrichi leur profil et 10 000 l'utilisent régulièrement. Deux enjeux majeurs Chez Orange aussi le RSE est porté par le comité exécutif et sponsorisé par le DRH groupe.

Réseau Social d'Entreprise - Les clés d'un déploiement réussi Cette vidéo présente les différents aspects liés au déploiement d'un Réseau Social d'Entreprise (RSE), depuis la mise en œuvre jusqu'au développement de l'adoption par les utilisateurs. Elle s'adresse aux professionnels impliqués dans un projet de déploiement de RSE au sein de leur organisation. Après avoir défini ce qu'est un Réseau Social d'Entreprise, expliqué ses origines et ses spécificités par rapport aux autres logiciels de travail collaboratif, nous présenterons les principaux usages et bénéfices qu'il peut apporter aux organisations. Puis, nous aborderons la mise en œuvre d'un RSE dans ses différentes dimensions qu'il s'agisse de la démarche projet, du déploiement logiciel ou de l'accompagnement des utilisateurs. Nous évoquerons également les facteurs clés de succès indispensables à la réussite d'une telle mise en œuvre. Nous présenterons ensuite les différentes actions à mettre en place pour s'assurer de l'adoption par les utilisateurs et pérenniser le dispositif.

Tarbes. Un soutien de la CACG - 16/06/2013 - LaDépêche L’association Femmes Initiatives Laubadère (FIL) s’est vue remettre, jeudi matin, par la CAG (Compagnie d’aménagement des coteaux de Gascogne) un véhicule qui facilitera la livraison de plateaux-repas proposés par le snack. Rappelons que celui-ci a été ouvert il y a 15 ans, par un comité de femmes habitant le quartier, proposant sandwichs, plats du jour avec, aujourd’hui, une carte plus étoffée. La CACG fait en effet appel aux talents des cuisinières de Laubadère lors de séminaires d’entreprises ou à l’occasion de repas de travail, souligne Alain Poncet, le directeur général. «Cela fait partie des bonnes relations, glisse-t-il. Ils nous ont fait part du besoin d’un véhicule. On le donne afin d’aider l’association dans son développement.» Quant à Andrée Doubrère, adjointe en charge des affaires sociales et présidente du GIP contrat urbain cohésion sociale, elle déclare : «Cette association rayonne au-delà du quartier.

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