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Régulation des cookies : où en est-on ?

Régulation des cookies : où en est-on ?
Plus de deux ans après la transposition en droit français de la directive européenne "Paquet télécom", où en sont les négociations entre la Cnil et les acteurs de la pub online ? Plus de deux ans après la transposition en droit français de la directive européenne "Paquet Télécom", le sujet continue d'agiter le monde du Web. Comment réguler l'utilisation à des fins publicitaires des cookies, ces petits fichiers valises qui permettent de collecter des informations relatives au surf de l'internaute afin de lui adresser des bannières display ciblées ? (lire l'article, Le marché de l'e-pub va-t-il se casser les dents sur les cookies, du 14/03/2012). La Cnil avait lancé le début des hostilités en publiant une fiche récapitulative des bonnes pratiques que les acteurs du marché estimaient au minimum zélée, au pire suicidaire pour l'économie online. Les discussions ont toutefois permis de converger vers certains consensus. Reste à définir concrètement cet acte positif.

The Evolution of Ad Tech Once upon a time the marriage of advertising to media was a simple party for two. And even when the traditional media landscape expanded to online, marketers continued to work directly with publishers’ sales teams to buy advertising space. After all, the golden rule was “media as proxy for audience.” But then the scale of the Internet exploded exponentially. One hundred billion ad impressions (each time an online ad is displayed is an impression) reach the market every single day, presenting 100 billion opportunities to place those ads. Something else happened as a result of the Internet’s growth: voluminous amounts of data appeared and so did the opportunity to use it for finding and targeting specific online consumers. With all this new online advertising inventory inevitably came unsold ad space, so called “remnant inventory.” “It’s about getting marketers closer to their customers. “The difficulty is everyone jumping on the bandwagon at the same time.

AppNexus : « le dernier trimestre va être explosif pour le RTB » Qui ? David Baranes, country manager France et Europe du Sud (incluant la Belgique, sic) d'AppNexus. Quoi ? La vision d'un acteur technologique du marché des ad exchange, qui travaille à la fois avec l'offre (SSP) et la demande (DSP) et fournit la technologie utilisée par Orange, Microsoft, Hi-Media, Horyzon Media et Audience Square. - Un point de vocabulaire pour commencer : "programmatique", "ad exchange", "RTB", quelles différences ? Pour faire simple, l'Ad Exchange, c'est l'entité média qui va gérer les inventaires. - Le marché Français semble plutôt avancé, si l'on en croit l'un de vos concurents, The Rubicon Project. Oui, effectivement. - Justement, face aux trading desks des agences, ces petits acteurs indépendants ont-ils encore leur place sur le marché ? Effectivement, le destin des trading desks est marqué par un grand point d'interrogation. - Autre spécificité française, La Place Media ou Audience Square. - Où en êtes-vous sur le mobile ? Propos recueillis par Benoit Zante

Google may ditch 'cookies' as online ad tracker SAN FRANCISCO — Google, the world's largest Internet search company, is considering a major change in how online browsing activity is tracked, a move that could shake up the $120 billion digital advertising industry. Google, which accounts for about a third of worldwide online ad revenue, is developing an anonymous identifier for advertising, or AdID, that would replace third-party cookies as the way advertisers track people's Internet browsing activity for marketing purposes, according to a person familiar with the plan. The AdID would be transmitted to advertisers and ad networks that have agreed to basic guidelines, giving consumers more privacy and control over how they browse the Web, the person said, on condition of anonymity. The person did not want to be identified because Google has not made the proposal public — although the company plans to reach out to industry participants, government bodies and consumer groups in coming weeks and months.

Publicité en ligne : la mutation s'accélère " Le marché de l'e-publicité a évolué plus rapidement que prévu et la crise accentue ce phénomène de mutation ", constate Christophe Blot, directeur adjoint de 3W Régie. À l'évidence, 2012 a été une année de changement, voire de bouleversement pour les régies publicitaires on line. Cet acteur pointe du doigt plusieurs évolutions qui ont des répercussions sur les investissements publicitaires digitaux. Tout d'abord, un élément conjoncturel lié à l'état du marché, en repli général sur l'ensemble des médias, comme l'indiquent les récents chiffres de l'Observatoire de l'e-Pub, publié par le Syndicat des régies internet. Dans ce contexte tendu, la frilosité des annonceurs face aux investissements plurimédias (-1 ,9% en 2012) s'étend au digital, qui enregistre un ralentissement continu sur les trois derniers semestres. E-pub, une progression modérée Pour autant, les indicateurs restent positifs. Le RTB ou le display revisité Mais où se situe cette valeur ? Vers de nouvelles monétisations

Publicité en temps réel - Real Time Bidding Le système d’enchères dans le domaine de la publicité en ligne n’est pas une nouveauté car on peut considérer qu’il a été introduit en 2000 avec le lancement du célèbre programme Google Adwords permettant d’acheter des mots clés aux enchères. A cette même époque, l’offre Display, majoritairement composée de bannières vendues au CPM (Coût Pour Mille) attire de nombreux annonceurs poussant mécaniquement les tarifs à la hausse. A partir de 2004, l’offre d’espaces display dépasse la demande, provoquant une dévalorisation des emplacements proposés au CPM par les éditeurs lesquels se tournent alors vers de nouveaux modes de facturation à la performance : au clic, au lead ou encore via des programmes d’affiliation. En 2005, on note l’apparition du “retargeting” (ou reciblage) qui utilise les données contenues dans les cookies et annonce ainsi l’exploitation des données comportementales.

Why Blocking Third-Party Cookies Is Good For Google And Facebook “Data Driven Thinking” is written by members of the media community and contains fresh ideas on the digital revolution in media. Today’s column is written by Mitch Weinstein, Senior Vice President of Ad Operations at UM. In light of Mozilla’s announcement that it will block third-party cookies on an upcoming version of Firefox, the buzz around first-party data has skyrocketed. The definition of first-party data, of course, varies depending on one’s role in the industry. Some agency ad platforms have been serving from a first-party perspective for several years now. However, ads don’t necessarily have to come from the client domain to be considered first-party. Now think about two of the biggest agency-side ad servers: DoubleClick and Atlas. This gives DoubleClick and Atlas a distinct advantage to drop cookies (and thereby collect data) over all other ad servers and data providers. Currently, DoubleClick serves from a doubleclick.net domain, and Atlas from an atlasdmt.com domain.

Premium : la régie Sublime Skinz commercialise l’habillage de sites en real time bidding Vous avez toujours rêvé de combiner le RTB avec le branding ? Sublime Skinz l’a fait. La régie publicitaire spécialisée dans l’habillage des sites vient de proposer la première offre de branding accessible depuis les ad-exchanges. Il s’agit d’une première mondiale qu’ad-exchange.fr est fier de vous présenter en exclusivité. Depuis son lancement à la fin de 2012, Sublime Skinz a su étoffer son inventaire qui compte désormais 300 sites. Pour migrer son inventaire sur les ad-exchanges, Sublime Skinz s’appuie sur le SSP Improve Digital qui a été racheté par l’éditeur suisse PubliGroupe à l’automne dernier. Marc Pericone, le CEO de Sublime Skinz a répondu en exclusivité à nos questions. Etes-vous vraiment les seuls à proposer un habillage en RTB ? Nous sommes le premier ad-network exclusivement dédié au format des habillages. Pourquoi aucun acteur aux US n’y a encore pensé ? Des acteurs y ont déjà pensé, mais pas de la même façon. Absolument. Pourquoi Appnexus est-il exclu ?

Qui sont les acteurs du RTB aux Etats-Unis? Afficher Acteurs du RTB aux Etats-Unis sur une carte plus grande Mais aussi… 10 choses à savoir sur le Real Time Bidding Le RTB faisait récemment l’objet d’un atelier FrenchWeb. L’occasion d’en apprendre plus sur l’ une des tendances de l’année 2012 , entre définitions, perspectives d’avenir avec l’explosion des supports mobiles et l’exemple concret de Facebook Exchange . Retour en 10 points sur un marché qui devrait représenter 30% des dépenses display dans le monde en 2017… Et l’actualité RTB côté français… Tout ce qu’il faut savoir sur Criteo… avant son entrée en bourse Alors que la rumeur d’une entrée en bourse de cette pépite française aux 400 millions d’euros de chiffres d’affaires se fait de plus en plus pressante, FrenchWeb fait le point sur ce qu’il faut savoir de Criteo, la future ex-start-up aujourd’hui leader du ciblage publicitaire . Zoom sur Ezakus, le petit frère de Criteo Comment La Place Media compte challenger Google Lire la suite de cet article:

[E-publicité] Les news à retenir: Google, La Place Media et les – 5,9% d’investissements en avril La baisse des investissements publicitaires en France en Avril… Leur hausse en Europe en 2012… Les lancements d’offres par Re-mind et La Place Media… Les nouveaux axes stratégiques des Argonautes… Retour sur l’actualité display. Baisse de 5,9% des investissements publicitaires online par rapport à avril 2012 Le display enregistre une baisse de 5,9% de ses recettes, qui passent de 245,2 millions d’euros en avril 2012 à 230,7 millions d’euros le mois dernier. La part du online dans le total des dépenses publicitaires passe ainsi de 10,2% à 9,6%. Les secteurs voyage / tourisme et finance / assurance sont largement à l’origine de ce retrait note aujourd’hui Kantar Media dans sa publication mensuelle des investissements publicitaires bruts du marché plurimédia français. Depuis le début d’année, ce montant se porte à 827,9 millions d’euros, soit une baisse de 3,1% par rapport à la même période l’année passée. La Place Media lance sa première offre d’AdExchange mobile Déjà sur FrenchWeb…

Ad-blockers : quels sont les pays, les navigateurs et les sites les plus touchés ? Le psychodrame qui a entouré la décision prise par Free d'activer par défaut une option de blocage des publicités, début janvier, a fait resurgir un débat presque aussi vieux que le Web : la place des ad-blockers au sein d'un écosystème qui repose en grande partie sur la publicité. Entre des internautes excédés par certains sites dont les pages ressemblent à des sapins de Noëls publicitaires et des éditeurs qui défendent leur business model, la tension est palpable. Pour preuve, la forte augmentation du taux de pénétration des ad-blockers. " Le taux de pénétration était en moyenne de 9,26% en mai 2012 aux Etats-Unis et dans l'Union Européenne, il est passé à 11,79% en mai 2013 , explique Ido Yablonka, CEO de Clarity Ray , un service anti ad-blocker. A ce rythme-là, le ratio atteindra les 15% en mai 2014." Le marché est dominé par deux acteurs. Des relations commerciales entre AdBlock Plus et les éditeurs qui posent problème

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