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La permaculture peut-elle faire vivre des agriculteurs

La permaculture peut-elle faire vivre des agriculteurs
Ni pollution, ni pétrole, ni pesticide. La permaculture apporte des réponses détonantes aux critiques faites à l’agriculture conventionnelle. Elle permet de cultiver beaucoup sur une petite surface, le tout en créant de véritables éco-systèmes cohérents et auto-fertiles. En Australie, en Autriche et en Amérique du Nord les exemples se sont multipliés ces dernières années. Une première étude réalisée sur le sujet en France vient d’être publiée par le Sad-apt (un laboratoire commun à l’Institut national de recherche agronomique (Inra) et l’école Agro Paris Tech). Téléchargez ci-dessous l’étude complète : Les légumes produits sur la ferme en 2012 - où la météo a été particulièrement médiocre - montrent que l’on peut réaliser au moins 32 000 euros de chiffre d’affaires [1] pour 1400 heures de travail sur une surface cultivée d’environ 1000 mètres carrés. A lire aussi sur Terraeco.net : Bio et hyperproductive, la ferme magique d’un agriculteur québécois

Créer un jardin-forêt En un clic : le bon de com­mande pa­pier de l’association Ima­gine un Colibri. L’agriculture conven­tion­nelle, hé­ri­tière des agri­cul­tures du néo­li­thique ap­pa­rues il y a dix mille ans au Moyen-Orient, ap­plique bê­te­ment au monde en­tier un mo­dèle in­venté dans des éco­sys­tèmes de prai­ries semi-arides. Or les ré­gions tem­pé­rées comme la France ne sont pas na­tu­rel­le­ment des ré­gions de prai­rie. Quand on y laisse une par­celle en ja­chère plu­tôt que de dé­pen­ser des di­zaines de litres de die­sel à l’hectare pour la­cé­rer la terre avec une char­rue en sac­ca­geant sa struc­ture et en mas­sa­crant sa faune, elle s’embroussaille en quelques an­nées et de­vient fo­rêt en dix ou vingt ans. Pen­dant cette pé­riode de fo­rêt ju­vé­nile, la pro­duc­ti­vité vé­gé­tale et la bio­di­ver­sité sont spec­ta­cu­laires. Qu’est-ce qu’un jardin-forêt ? Mais on ne s’arrête pas aux arbres. Créer un jardin-forêt, en français Ou­ver­ture des pré-ventes Bonne lec­ture…

L'agriculture, à l'origine des deux tiers de la pollution de l'eau potable en France Selon l'UFC-Que choisir, 1,7 million de Français reçoivent encore une eau non conforme à la législation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Van Kote C'est l'histoire d'un verre d'eau pas tout à fait plein. Tout dépend de quel point de vue l'on considère les résultats de l'enquête de l'UFC (Union fédérale des consommateurs)-Que Choisir sur la qualité de l'eau potable en France, présentée mardi 20 mars. Premier constat, plutôt rassurant. L'étude confirme que l'agriculture est bien aujourd'hui la principale responsable de la pollution des eaux : 69% des cas relevés lui sont attribuables, 27% revenant à des défauts de traitement de l'eau et 4% à la radioactivité naturelle. A eux seuls, les pesticides – et en particulier l'atrazine (désormais interdit mais qui persiste longtemps dans l'environnement) – sont responsables de 60% des cas de pollution d'origine agricole. L'UFC-Que Choisir appelle donc à une réforme de la politique de l'eau et à une réforme profonde des pratiques agricoles.

ETUDE INRA MARAICHAGE_100413.pdf Peut-on vivre de la permaculture ? Pro­logue (facultatif) Un soir de la fin jan­vier, dans le cadre des jeu­dis en ques­tions –un cycle de conférences-débats men­suels et mi­li­tants dans le voi­si­nage de Mar­cillac– le café de Pruines re­ce­vait la vi­site de Lin­néa Lind­stroem pour par­ler de per­ma­cul­ture. On a compté entre 70 et 80 par­ti­ci­pants, ce qui était pour le moins in­at­tendu pour un thème si spé­cia­lisé et pour une contrée si re­cu­lée. Pour moi, c’est la preuve que ça bouge en France du côté de la per­ma­cul­ture et de la transition. Dans le dé­bat qui a suivi la pré­sen­ta­tion, une ques­tion m’a par­ti­cu­liè­re­ment in­ter­pellé, à la­quelle ni l’intervenante ni nous autres pauvres as­pi­rants per­ma­cul­teurs n’avons pu ap­por­ter de ré­ponse en­tiè­re­ment sa­tis­fai­sante. Peut-on vivre de la permaculture ? Au moins en théo­rie, ap­pli­quée aux sys­tèmes agri­coles, la per­ma­cul­ture ça de­vrait mar­cher. 1 — Le mar­ché est truqué 2 — Pay­san, c’est un vrai métier Quelques conclu­sions

Politique : Létard :«Ce scrutin territorial mettrait en cause la parité» La secrétaire d'État au Développement durable, vice-présidente du Nouveau Centre, estime que le projet de réforme du mode de scrutin territorial «raye d'un trait de plume le pluralisme et la parité». LE FIGARO.- Que pensez-vous du futur mode de scrutin territorial? Valérie LÉTARD. - Le projet, tel qu'il a été voté par les députés, raye d'un trait de plume le pluralisme et la parité, pourtant inscrite dans la Constitution. C'est un recul très net par rapport à la première mouture du projet et c'est en contradiction avec la politique de promotion de l'égalité hommes-femmes que nous menons depuis 2007. Si vous étiez toujours parlementaire, quelle serait votre attitude? Si le texte restait en l'état, j'en tirerais les conséquences. Souhaitez-vous que le Nouveau Centre présente un candidat en 2012? Il faut un candidat qui représente l'ensemble de la famille centriste. Grâce à des primaires, comme le suggère le président de l'Alliance centriste, Jean Arthuis? Pourquoi pas ?

« On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » Jacques Caplat est agronome et géographe. L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente… Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Mais ça n’est pas ça du tout ! Que faut-il comparer, alors ? Le système conventionnel s’est construit sur l’idée qu’on peut augmenter les rendements en sélectionnant les semences. Ce concept fonctionne de façon optimale avec un mélange de cultures sur une même parcelle. Vous soutenez que l’agriculture bio est le seul système viable dans les pays tropicaux… Le système conventionnel ne marche qu’en milieu tempéré. Que disent les études scientifiques sur cette question ? L’université anglaise de l’Essex a réalisé en 2006 une synthèse sur 57 pays et 37 millions d’hectares. Cette transition est-elle possible ? Dans les années 1960, on s’est donné un objectif, celui d’une révolution agricole industrielle, et on y est parvenu.

Vers la forêt comestible Et si la microscopique parenthèse agricole productiviste était arrivée au bout de son existence? Et si une autre façon de cultiver, d’imaginer sa relation à la nourriture, à la production de sa nourriture était pensable? Produire son alimentation en allant dans le sens de la Nature n’est pas un retour en arrière, c’est peut-être même tout le contraire : redevenons cueilleurs! Sans forcément apporter toutes les réponse à la faim dans le monde, la forêt-jardin est un nouveau paradigme agricole qui a toute sa place dans nos problématiques actuelles. Voici une partie des modules que je donne sur la forêt-jardin lors de cours certifiés de permaculture. Ils sont hautement perfectibles mais ont l’intérêt d’exister, et sont maintenant disponibles pour tout le monde. L’homme était au départ un chasseur-cueilleur, puisant dans la Nature de quoi assurer subsistance, santé, protection. On date les premières cultures de chasseurs-cueilleurs d’origine africaine de -44000 ans. Climax ? 7 étages : En plein

La Conférence environnementale ouvre cinq grands chantiers La Conférence environnementale a été conclue le 15 septembre par Jean-Marc Ayrault qui a annoncé, à travers cinq grands chantiers, la pleine intégration de l'environnement dans la politique du Gouvernement. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a conclu vendredi la Conférence environnementale aux termes de deux jours d'échanges "denses et riches". L'environnement n'est pas oublié et va être pleinement intégré dans la politique du Gouvernement. Le début de la transition énergétique ? Le premier des grands chantiers (et le plus important ?) Mais Jean-Marc Ayrault a d'ores et déjà annoncé des mesures immédiates. Le rééquilibrage du mix énergétique avec une diminution de la part du nucléaire de 75 à 50% d'ici 2025 constitue "la feuille de route du Gouvernement". Pour le solaire, la France doit miser sur la qualité. Une Agence de la biodiversité dès 2013 La stratégie nationale de la biodiversité sera déclinée dans tous les ministères. Vers l'interdiction totale du BPA

Les moissons du futur La viande artificielle déjà dans les assiettes : La viande artificielle, qu'est-ce que c'est ? - Business "D'ici 50 ans, nous échapperons à l'absurdité d'élever un poulet entier pour en manger le blanc ou une aile, en produisant ces parties séparément." Le carnivore forcené qu'était Winston Churchill avait vu juste dès 1932. Certes, il se trompait de quelques décennies. Mais le fait de manger de la viande qui ne proviendrait pas d'un animal n'appartient plus au domaine de la science-fiction. Et ce n'est pas Mark Bittman, célèbre chroniqueur gastronomique du New York Times, qui nous contredira. Alors, la viande artificielle, qu'est-ce que c'est ? Pour fabriquer ses produits, l'américain Beyond Meat manipule à la fois chaleur, refroidissement et pression. Le britannique Quorn, lui, utilise de la mycoprotéine, une protéine provenant de champignons, et a recours à "un procédé de fermentation très semblable à la fermentation de la bière. Parmi les techniques : planter des cellules souches de bovin dans un morceau de tissu musculaire afin de les "cultiver"

Le blog de permaculture.over-blog.fr Les Jardins Autofertiles : Buttes synergétiques sur couverture végétale vivante Qu’est-ce que c’est ? Les jardins autofertiles consistent en des aménagements visant la culture de fruits et légumes en recréent un écosystème diversifié où les processus naturels sont mis à contribution. Les buttes et/ou les ados en plus d'avoir une utilité pratique (moins besoin de se baisser), esthétique (on peut donner la forme que l'on souhaite),..., montrent également leurs interêts multiples : - avoir une couche de bonne terre plus importante - rechauffer le sol plus rapidement - mieux conserver l'eau du aux allées légèrement creusées. On peut aussi jouer sur les associations de legumes et jouer sur l'exposition des plantes nord/sud... Culture sur butte en synergie, formation des buttes par Richard Wallner, Au petit colibri ================ Historique et influences La synergie des trois éléments interreliés La préparation du terrain L'implantation des cultures Avantages & Problèmes ================

Comment réconcilier ville et agriculture - Introduction Déprise agricole - Négligeant les outils réglementaires visant à protéger les exploitations en zone périurbaine, les villes restent consommatrices des terres agricoles. Toutefois, la loi « Grenelle 2 » du 12 juillet 2010 assigne aux documents d’urbanisme un objectif de réduction de la consommation d’espace. Nouvelles dynamiques entre collectivités et agriculture - Le renforcement des liens entre le secteur de l’agriculture et la ville est aujourd’hui au coeur de nouvelles dynamiques de territoires. Penser le territoire - Pour protéger efficacement les terres agricoles de l’urbanisation liée à l’étalement urbain, le projet de territoire doit identifier et favoriser le développement des différentes fonctions de l’agriculture : économique, paysagère, pédagogique, sanitaire et environnementale. Comment réconcilier ville et agriculture : booster les circuits courts

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