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Georges Brassens - La guerre de 14-18.

Georges Brassens - La guerre de 14-18.

http://www.youtube.com/watch?v=l2F5qaHzkj0

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It's a Long Way to Tipperary Chantée pour la première fois sur une scène de music-hall britannique en 1913 par Florrie Forde, la chanson fut popularisée par les Connaught Rangers lorsqu'ils traversèrent Boulogne-sur-Mer le 13 août 1914. Ceci fut noté par le correspondant du Daily Mail George Curnock, et publié dans ce journal le 18 août 1914. L'air est dès lors régulièrement repris par d'autres soldats de l'Armée britannique. Refrain[modifier | modifier le code] Texte de : La chanson de Craonne Chanson anonyme écrite sur la musique de "Bonsoir m'amour" (Adelmar ou Charles Sablon, le père de Germaine et Jean) à laquelle on doit sans doute le succès de cette valse dont les paroles, aujourd'hui, font presque sourire. Son texte recueilli par Paul Vaillant-Couturier (1892-1937), avocat puis journaliste et finalement député, qui, entré dans la guerre avec un certain enthousiasme, en sorti socialiste, revendicateur même mais surtout pacifiste. Sous-officier, en 1914, dans l'infanterie; il termina la guerre capitaine dans les chars d'assaut non sans avoir été blessé, gazé, cité à l'ordre de la Nation mais aussi condamné cinq fois pour son action en faveur de la paix.

NI PÉTAIN, NI AUCUN ! « Ils se battirent pour que la France reste la France ». Des sanglots dans la voix, Macron repeint les poilus en résistants et en héros qui seraient morts pour sauver la France. Mais la France depuis un siècle rejette ce mensonge des maitres et des brutes galonnées. Non, ils ne se sont pas sacrifiés, ils ont été sacrifiés. Le Chemin des Dames n’est pas le Vercors. Florent Pagny - Le soldat Le soldat (Marie Bastide/ Calogero) A l'heure où la nuit passe Au milieu des tranchées Ma très chère Augustine Je t'écris sans tarder Le froid pique et me glace Et j'ai peur de tomber Je ne pense qu'à toi Mais je suis un soldat Mais surtout ne t'en fais pas Je serai bientôt là Et tu seras fière de moi A l'heure où la guerre chasse Des garçons par milliers Si loin de la maison Et la fleur aux canons Ces autres que l'on tue Sont les mêmes que moi Mais je ne pleure pas Car je suis un soldat Mais surtout ne t'en fais pas Je serai bientôt là Tu seras fière de moi

Libre Pensée 84 - Le pantalon (Alain Scoff) Le pantalon (Alain SCOFF) Lucien Bersot, incorporé le 2 août 1914, fusillé pour l'exemple pour avoir refusé de revêtir un pantalon souillé. Pétain dira : « Pour maintenir la discipline et l'esprit d'obéissance parmi les troupes, une première impression de terreur est indispensable. » Au milieu des obus, des balles traçantes et du déluge d'acier, les soldats sont de simples pions de la partie d'échec que se livrent les généralissimes par régiments interposés... Au bout de la chaîne hiérarchique se trouve le pauvre combattant. Il faut attaquer coûte que coûte sans tenir compte des pertes.

Jean Giono à Verdun Jean Giono avait 19 ans et était élève-aspirant à Montségur dans la Drôme lorsqu’il fut mobilisé en 1914. Il participa aux batailles de Verdun et du Chemin des Dames. Il y fut légèrement gazé aux yeux alors que son meilleur ami ainsi que beaucoup de ses camarades furent tués. Cette expérience de la première guerre mondiale le traumatisa. Il devint un pacifiste convaincu et évoqua l’épreuve de la guerre dans Le Grand Troupeau et dans plusieurs écrits pacifistes des années 30 dont voici un extrait qui pourra parfaitement illustrer la vie des soldats dans le programme de 3e de l’an prochain et faire l’objet d’un travail en collaboration avec un professeur de lettres.

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