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La solitude nuit gravement à la santé

La solitude nuit gravement à la santé
Cet hiver, j’ai quitté New York pour Portland, dans l’Oregon. Les raisons de mon déménagement étaient purement pragmatiques. New York est une ville chère et stressante. Portland, m’étais-je dit, m’offrirait l’espace et le temps nécessaire à mon travail. Dès mon arrivée, j’ai loué une maison et je suis joyeusement partie à la recherche de mes pairs. publicité Autrefois sociable et optimiste, je suis devenue morose et limite paranoïaque. Pas trop sûre de moi, j’ai commencé à faire des recherches sur la solitude et suis tombée sur plusieurs études récentes pour le moins inquiétantes. Arthrite, diabète et maladies cardiaques La solitude ne nous rend pas seulement malades, elle nous tue. L’augmentation du risque de mortalité est comparable à celle des fumeurs. L’isolement social réduit les défenses immunitaires et augmente les inflammations, ce qui peut déboucher sur de l’arthrite, du diabète de type II et des maladies cardiaques. Un peu la honte «Seul? «Dérobade sociale» Et moi? Jessica Olien

La grande exclusion, une réalité difficile à cerner L'exclusion renvoie à plusieurs formes de grande précarité (sociale, économique et/ou professionnelle), allant du noyau dur du chômage aux personnes handicapées, en passant par les jeunes pas ou peu qualifiés, les personnes âgées ou les sans-domicile-fixe (SDF). L'exclusion renvoie à plusieurs formes de grande précarité (sociale, économique et/ou professionnelle), allant du noyau dur du chômage aux personnes handicapées, en passant par les jeunes pas ou peu qualifiés, les personnes âgées ou les sans-domicile-fixe (SDF). Après la création du revenu minimum d'insertion (RMI) en 1989, elle a donné lieu à de nouvelles mesures de protection d'envergure nationale, avec notamment l'adoption, en juillet 1998, d'une loi relative à la lutte contre les exclusions et la mise en place d'une couverture-maladie universelle (CMU) en 2000. La question de l'exclusion se pose avec encore plus d'acuité pour les SDF, qui ont descendu un degré supplémentaire dans la pauvreté : celui de la rue.

L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Vie privée Références

Comment accompagner une personne dans le coma: L'amour, un mode de communication avec nos proches en état comateux Vivre l'expérience intense d'accompagner un proche plongé dans un coma n'est pas sans douleur, ni sans joie. On n'en ressort pas tout à fait comme avant. Aux confins d'un monde presque inconnu, ces moments peuvent nous faire basculer vers le doute et l'incompréhension ou, à l'inverse, vers l'espoir et la volonté de croire que l'on peut jouer un rôle positif. Dans un premier article, nous avons vu l'importance qu'il y a à comprendre ce qu'est le coma. Voyons maintenant les enseignements que l'on peut en tirer pour accompagner un proche efficacement. Rappelons que le coma est une absence de relation avec l'environnement. Ne pas laisser le malade à sa solitude Il est nécessaire d'assurer une présence régulière auprès de la personne. Il est important de garder une régularité dans la fréquence et le rythme des visites. Lui offrir les repères du quotidien Une visite doit être un moment d'action avec le malade. Prendre soin de soi pour prendre soin de lui Ne pas ajouter de l'angoisse à sa détresse

Peut-on être heureux sans être en couple ? - Améliore ta Santé Bien évidemment, on peut être heureux sans être en couple, même si les personnes qui ne conçoivent le bonheur qu’à travers une relation sentimentale sont nombreuses. Mais, nous vous assurons que le célibat a beaucoup de bienfaits, nous allons vous les expliquer. Il est certain que vous connaissez des personnes seules qui recherchent désespérément à être en couple. 1. Ne pas être en couple vous permet de disposer de plus de temps pour vous-même, et vous devez en profiter pour apprendre à mieux vous écouter, et plus souvent. 2. Lorsqu’une relation de couple se termine mal, votre estime personnelle et votre optimisme peuvent être durement touchés. 3. Peu de choses sont aussi satisfaisantes que d’avoir du temps pour les choses que vous aimez. 4. Certaines personnes pensent que, dans la vie, le plus important est de rencontrer son âme sœur.

Solitude Certains individus se sentent seuls dans un groupe ou une collectivité. La solitude (du latin solus signifiant « seul ») est l'état, ponctuel ou durable, plus ou moins choisi ou subi, d'un individu qui n’est engagé dans aucun rapport avec autrui. Certains auteurs parlent de solitude objective pour distinguer cet état du sentiment subjectif associé à l'isolement social. La solitude est un sujet étudié sur le plan scientifique depuis la fin du XIXe siècle, avec les débuts de la sociologie (avec Durkheim et le concept d'anomie), et de la psychologie de l'enfant (Bowlby et ses études sur l'attachement), les études sur le deuil et la mortalité associée. Définitions[modifier | modifier le code] La langue française et d'autres langues latines utilisent le mot solitude (en espagnol, soledad) pour désigner à la fois le fait d'être seul et le sentiment douloureux qui accompagne parfois cette situation. Les langues germaniques distinguent deux notions : le fait d'être seul ou le fait d'en souffrir.

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