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Dictionnaire du cinéma anglo-saxon

Dictionnaire du cinéma anglo-saxon
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John Baldessari - Baldessari Sings Lewitt John Baldessari (b. 1931) Back to John Baldessari in UbuWeb Film Baldessari Sings LeWitt 1972, 15 min, b&w, sound In an ironic intersection of two systems - arcane theoretical discourse and popular music - Baldessari sings a tract by Minimalist artist Sol Lewitt. Introducing this performance by noting that "these sentences have been hidden too long in exhibition catalogues," Baldessari sings Lewitt's forty-five-point tract on Conceptual Art to the tunes of The Star-Spangled Banner and Heaven, among other songs. Baldessari's witty "art aria" functions as a meta-conceptual exercise. ----------------------- This title is available for exhibitions, screenings, and institutional use through Electronic Arts Intermix (EAI), NY. Rent or Purchase this film from Video Data Bank UbuWeb Film | UbuWeb PennSound | CENTRO | EPC | WFMU

CINEMACLASSIC 20 Films disponibles pour le moment (Classement chronologique) Le cinéma du XXIème siècle comptera-t-il un palmarès aussi prestigieux de films légendaires que celui du siècle passé ? Relèvera-t-il ce véritable défi avec succès ? Seul le temps pourra un jour apporter réponse à pareille question... En attendant, le septième art d'un autre temps vu par la petite lucarne de quelques uns de ses plus grands chefs d'œuvres, voilà ce à quoi cette partie se consacre. Vous trouverez ici l'analyse de plusieurs films de références, des films qui ont marqués leur époque, ou l'histoire même du cinéma, par leur inégalable interprétation, la richesse de leur réalisation et la recherche dont font preuve leurs scénarios. Des films à découvrir pour certains, à redécouvrir pour d'autres sous un angle nouveau au travers d'informations diverses ou de nos critiques personnelles notamment... "IT HAPPENED ONE NIGHT" New York - MiamiAvec Clark Gable et Claudette Colbert Columbia Pictures Corporation 1934

Mort du lièvre (pièce en trois actes dont deux où il ne se passe rien) Acte 1Au bord de la scène une petite vigie, qui aurait pu ouvrir sur des paysages plus glorieux. On verrait ce jeune corps de façon plus plaisante surplombant depuis corniche une scène marine, pins penchés, petits bateaux de pêche, écume et baignades. Ou alors ce serait l'innocente statue aryenne encadrant des jeux de plein air, comme olympiques ? Mais non, le jeu ce n'est pas ça : ce qu’on voit derrière lui, c’est un talus, un paysage de broussailles montées à la verticale pour nier toute idée d'horizon et de ciel. Long travelling d’herbes hautes, juste le vent dedans, à peine le vent. Acte 2 Et puisqu’on sait qu’on aura sa peau, au lièvre qu’on attend, on peut se permettre des tours et des détours. Acte 3 Ça peut surgir de n'importe où et qu’importe d’où ça a surgi. Cécile Portier

À propos Le Quotidien du Cinéma est un webzine créé en octobre 1999. Grâce à une équipe de cinéphiles bénévoles venus de tous horizons, Le Quotidien du Cinéma arpente depuis plus de quinze ans le web et l'actualité cinématographique. Le 02 octobre 2013, Le Quotidien du Cinéma a pris le virage du XXIème siècle en fusionnant avec un autre site : rendezvouscinema.fr. Cinéphiles bénévoles, journalistes professionnels et Web designers forment alors une équipe de choc pour proposer aux amateurs du 7ème art un webzine incontournable et de qualité. Fondateur : Jean-François Ballot. Directeurs de la publication : Christophe Dordain, François Bour. Responsable technique : Naodev.fr & Antoine Bourlart. Responsable des émissions radio : Christophe Dordain. Contribution aux archives : Christophe Colpaert, Anaïs-Hélène Herbez, Christophe Dordain. Mise en images des interviews : Alexandre Marouzé. Equipe Web TV : François Bour, Gabriel Carton, Alexandre Marouzé, Joris Naessens, Camille Flahaut.

Lions Love – Agnès Varda | LSH : Le Singe Hurleur pépite – Etrange Festival 2009. Lions Love fait partie de la « période américaine » d’Agnès Varda, fin des années 60, en juin 68 précisément, alors que surviendront une révolution sexuelle, l’explosion des drogues hallucinogènes, le suicide raté d’Andy Wharol et l’attentat, réussi, contre Robert Kennedy. Une période excentrique et tout en surabondance, comme l’était déjà la société américaine et ses rêves hollywoodiens. Une parade amoureuse empreinte de la grandeur des prédateurs insouciants, aux pas lents mais à la volonté certaine. Cette dernière s’amuse à jouer avec les cadres, ceux des des genres, se mettant en scène à la manière d’un hitchcock, image fugace dans un miroir ou ombre d’une actrice déficiente, preuve d’une construction en cours… Cadres fictionnels ou réels, aussi, comme cette horloge-femme interprétée par Viva… Un beau document sur une époque utopique, où la caméra se fait objet fluide, mouvant. Lions Love, d’Agnès Varda1968 Marion Oddon

| Érudit | Cinémas v16 n1 2005 | Cinémas : revue d'études cinématographiques / Cinémas: Journal of Film Studies Femmes et cinéma muet : nouvelles problématiques, nouvelles méthodologies Volume 16, numéro 1, automne 2005, p. 117-137 Avec ou sans voix : la femme défaite Michèle Lagny © Archivio fotografico, Cineteca di Bologna Andrei Tarkovsky – Zerkalo / Mirror / Le miroir (1975) Andrei Tarkovsky – Zerkalo / Mirror / The Mirror / Le miroir (1975)High quality rip from the Lizard edition (DVD9) with optional subtitles embedded. DVDrip | Russian | Dual audio | Subtitles (optional): English, Français, Español, Português, Deutsch 1:41:54 | MKV | H264 | 720x576 | 25fps | 2.67 GB | Log | 200MB RARs | RS Audio track 1: Russian original mono track (AAC 160kbps) Audio track 2: Russian stereo 2.0 mixdown (AAC 160kbps) Genre: Art House | Biography | Classics | History "Now I can speak !" Mirror is Tarkovsky's fourth of seven feature films and proceeds in a non-narrative, stream-of-consciousness form. The director mixes flashbacks, historical footage and original poetry to illustrate the reminiscences of a dying man about his childhood during World War II, adolescence, and a painful divorce in his family. Note: different rips of Mirror are available on avaxhome, but none of that quality. DOWNLOAD – 200MB RAR files – RS : No pass.

Glauber Rocha Glauber Rocha fut l'enfant terrible du cinéma brésilien, le mythe le plus respecté du Cinema Novo et son porte-parole infatigable. C'est la parabole qui caractérise l'aspect expérimental, délirant et moderne de son oeuvre, parabole par laquelle il essaya de résoudre ses problèmes idéologiques et ses équivoques. Il créa pour cela son cinéma d'auteur et inventa son propre langage, reconnaissant Eisenstein, Buñuel, Visconti et Welles comme ses maîtres. Toujours incompris et marginal dans son pays, Rocha ne connut jamais de succès commercial et fut même rejeté par certains critiques et intellectuels. Né le 14 mars 1938, à Vitoria da Conquista, dans le sertao da Bahia, il est encore adolescent lorsqu'il part à Salvador et abandonne des études de droit pour devenir journaliste. En 1961, renplaçant au pied levé Luis Paufino, il tournera le long métrage Barra vento, primé en Tchécoslovaquie. Rocha fut aussi écrivain.

2013-01-13 – N’ayez pas peur, dit-elle. La Rance déborde depuis Verneuil, le chemin est sous un pied d’eau, peut-être... Voyez : elle a déjà poussé ses vaches vers la remontée. Elle le regardait dans les yeux, avec une sorte de curiosité tranquille. – Partout ailleurs nous pouvions être surpris, Jacques. Un petit sourire, à peine malicieux, passa sur son visage, comme une ombre. – Cela vous étonne ? – M’étonner de quoi, ma chérie ? – Ne mentez pas, Jacques, fit-elle. – C’est ainsi que je vous aime, moi, dit-il. – C’est vrai, qu’importe ? – Françoise, reprit-il après un silence, pardonnez-moi, ce n’est pas cela qu’il faut dire. – Qui sait ? – Je le saurai. – Moi aussi, je dépends de vous ! – Vous écraser, Françoise ? – Je ne suis pas du tout ce que vous dites. – Mon amour, fit-il à voix basse, quel étrange plaisir prenez-vous à vous humilier ? Elle le fixa longuement, avec une attention extrême, et ses admirables prunelles grises se fonçaient à mesure, ainsi qu’une eau profonde. – Mon chéri !... – Non !

singes qui veulent attraper la lune (les) Synopsis Par une belle nuit claire, un groupe de singes essaient d’attraper la lune. Après avoir décidé de grimper les uns sur les autres, ils constatent bien vite qu’ils ne parviendront pas à l’atteindre. C’est alors que l’un d’entre eux, voyant le reflet de l’astre de la nuit au fond d’un puits, persuade ses amis de le capturer à la surface de l’eau ! Générique Réalisation : Zhou Keqin Direction artistique : Ah Da Animation : Sun Nengzi, Xu Xiaoming, Zhu Shuqin Image : Jiang Youyi Musique : Wu Yingju Sans paroles Durée : 10 mn Ce film fait partie du programme Contes chinois Mise en scène Adaptation d’une histoire populaire très ancienne, inspirée des pensées de Confucius, qui démontre que toute apparence est fausse. João César Monteiro | Festival International du Film de la Rochelle Fabrice Revault d'Allonnes Dans sa notice biographique (vraie ou fausse, peu importe), Monteiro déclare trois choses. Que son père souhaitait qu'il embrasse la carrière ecclésiastique. Ensuite, que dès l'adolescence il se sentit des faiblesses pour la chair. Enfin, qu'il devint cinéaste. Dans Souvenirs de la maison jaune, on le voit porter atteinte à la pudeur d'une appétissante jeune femme, être jeté dans un asile, puis en sortir avec la charge d'une mission vengeresse mais sacrée ("Va, et donne leur du fil à retordre!"). Dans Que Dieu me vienne en aide (texte paru dans "Trafic" n°1), son personnage qui porte une attention soutenue à la pilosité intime d'une jeune fille, est envoyé à l'hôpital psychiatrique, puis en ressort auréolé du titre de saint. On peut conclure de ces trois éléments que, pour Monteiro, le sexe n'est pas un péché, quoique la société le punisse comme tel, que c'est au contraire une grâce. Ceci va constituer le savoureux, le sublime paradoxe de son cinéma.

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