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Economie de fonctionnalité

Economie de fonctionnalité
Contexte Définition Conséquences pour les fabricants Exemples Pour aller plus loin Contexte Avec les débats actuels sur la diminution des impacts environnementaux d’un facteur 4 ou 10, l’important nombre des produits de grande consommation, leurs changements rapides et les flux de déchets qui en résultent, les approches : « réparer au lieu de jeter » et « louer au lieu d’acheter » sont aujourd’hui d’actualité. S’inscrivant dans cette logique, l’économie de fonctionnalité est une approche émergente qui vise à remplacer la vente de produits par la vente de l’usage. Définition L'économie de fonctionnalité consiste donc en la substitution de la vente d’un produit par la vente de l'usage. Cette approche a un bon nombre d’exemples de réussite à son actif : - Michelin facture les kilomètres parcourus par les camions équipés de ses pneus au lieu de les vendre - Xerox facture les photocopies à l’unité, au lieu de vendre ou de louer les machines Conséquences pour les fabricants Impacts pour l’entreprise :

L’économie de fonctionnalité : définition et état de l’art Par Johan Van Niel, Doctorant, Université de Lausanne – Université Technologique de TroyesMai 2007 Introduction La stratégie de dématérialisation des activités économiques, comme son nom l’indique, vise à limiter le plus possible la quantité de matières premières et d’énergie utilisée par les processus de production, d’échange et de consommation de biens et services. Comme on s’attachera à le démontrer plus bas, c’est très précisément à atteindre cette dissociation entre croissance économique et consommation de ressources que vise l’économie de fonctionnalité. Définition L’économie de fonctionnalité consiste en la substitution de la vente d’une fonction d’usage – un service – à celle d’un produit. Selon Walter Stahel (2006), « l’économie de fonctionnalité, qui vise à optimiser l’utilisation – ou la fonction – des biens et services, se concentre sur la gestion des richesses existantes, sous la forme de produits, de connaissances ou encore de capital naturel.

Définition de l'économie de la fonctionnalité L'économie de la fonctionnalité et de la coopération consiste à concevoir et à produire des solutions intégrant des biens et des services selon deux dynamiques : La première (stade 1 ) consiste à passer de la vente de biens ou de services, dissociés les uns des autres, à la contractualisation d'une performance d'usage et/ou d'effets utiles fondée sur leur intégration. La seconde (stade 2) consiste à élargir le périmètre des activités et des acteurs de telle manière que le saut systémique que cela engage permette à l'écosystème productif de prendre en charge des externalités négatives environnementales et sociales, repérables sur un plan territorial. Ces solutions se contractualisent sur la base d'engagements réciproques, favorisant la convergence d'intérêts entre les différentes parties prenantes sur un plan territorial. Pour se pérenniser, l’économie de fonctionnalité a besoin de faire évoluer les dispositifs institutionnels d’innovation d’évaluation et de professionnalisation.

Les filières des matériaux de construction biosourcés : plan d’action… Cette synthèse fait le point des travaux réalisés dans le cadre du plan d’actions de la DHUP depuis deux ans et renvoie à l’ensemble des délivrables qui ont été produits jusqu’à ... Cette synthèse fait le point des travaux réalisés dans le cadre du plan d’actions de la DHUP depuis deux ans et renvoie à l’ensemble des délivrables qui ont été produits jusqu’à présent. Ce document " Les filières des matériaux de construction biosourcés : plan d’actions, avancées & perspectives " est à l'initiative du Ministère de l’égalité des territoires et du logement, du Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, et de l’association "Constructions & Bioressources Statistiques Vues Total des vues Vues sur SlideShare Vues externes Actions J'aime Téléchargements 4 Ajouts 1,484 Droits d'utilisation © Tous droits réservés

Comment protéger les consommateurs de l’obsolescence programmée La nouvelle loi sur la consommation s’applique aux achats réalisés depuis le 13 juin. Elle vise notamment à freiner « l’obsolescence programmé », la durée de vie de plus en plus courte des biens d’équipement électroniques et électroménagers. Les consommateurs bénéficieront d’une garantie prolongée sur leurs achats et d’une meilleure information sur les possibilités, ou non, de réparer une défaillance. Des avancées qui demeurent cependant bien timides au vu de l’ambition initiale de la loi. Et si la « class action », l’action collective de consommateurs contre un fabricant, devient légale, elle ne pourra pas concerner la protection de l’environnement ni de la santé. Benoît Hamon a laissé une loi derrière lui avant son transfert du ministère de la Consommation à celui de l’Éducation. L’obsolescence programmée, fantasme ou réalité ? Nous changeons de smartphone en moyenne tous les 18 mois. Pratique commerciale trompeuse L’obsolescence programmée ne semble donc pas si difficile à définir.

Matériaux biosourcés | définition et principes Définition d’un « matériau bio-sourcé » L’éco-construction repose sur 3 principes que sont : la performance énergétique,le respect de l’environnement,le respect de la santé des Hommes. Dans ce cadre, tout projet d’éco-construction tend à privilégier les éco-matériaux de construction. La famille des éco-matériaux regroupe : les isolants recyclés comme la ouate de cellulose, ou le Métisse (isolant en textiles recyclés),les matériaux issus de la biomasse animale ou végétale, c’est-à-dire les matériaux biosourcés. Les matériaux biosourcés les plus connus sont le bois, la paille, le chanvre, le liège, la laine de mouton… Un isolant biosourcé : le liège (Chantier Terra Cités de maison en bois) Un label pour favoriser les matériaux biosourcés Les matériaux et isolants biosourcés se démocratisent progressivement dans les projets de construction et rénovation. Pourtant les matériaux biosourcés et autres éco-matériaux sont loin de s’imposer face aux produits de construction conventionnels.

Le BTP s’ouvre à l’économie circulaire - Entreprises de BTP Réutilisation, écologie industrielle, économie de la fonctionnalité et, bien sûr, recyclage : l’économie circulaire, priorité du gouvernement, est en passe de modifier la façon d’envisager la construction. Tour d’horizon avant la tenue le 17 juin à Paris des 1ères Assises de l’économie circulaire. Le schéma traditionnel de l’économie linéaire « extraire, fabriquer, consommer, jeter » a vécu ! Vivent les « 3 R » - pour réduire, réutiliser, recycler - du modèle de l’économie circulaire ! Mais quelles opportunités nouvelles ce système économique imaginé pour minimiser les prélèvements de ressources et les émissions polluantes peut-il proposer aux acteurs du secteur de la construction ? L’économie de l’intelligence face à la rareté Avant de recycler, il s’agit donc d’imaginer les manières de maximiser la durée d’usage d’un produit ou d’un ouvrage. Tout démarre par l’écoconception. Economie circulaire : déjà des déclinaisons dans le BTP

Un jour, on habitera dans du textile Troisième volet de notre série d'été. Où il est question de la ville et de l'habitat d'après-demain : aimable et apaisé, tourné vers les cinq sens et, surtout, recyclable. Aujourd'hui, c'est déjà demain ? De mutations en métamorphoses, le futur est parmi nous. Télérama vous invite à partir à la rencontre de nos amis humanoïdes, à la conquête de l'espace ou du code informatique, à la découverte des nouvelles méthodes d'enseignement en ligne…>Lisez les épisodes précédents de notre série Philippe Samyn, 65 ans, citoyen belge, nœd papillon impeccable, est architecte et ingénieur, à moins que cela ne soit l'inverse. “Beaucoup d'architectures d'aujourd'hui sont des sucres rapides, des choses qui parlent haut et rendent nerveux”, Philippe Samyn Pas simple à expliquer en quelques traits et mots (sa thèse sur le sujet fait cinq cents pages !) Mais l'architecture futuriste de Philippe Samyn ne tient pas qu'à une équation.

Trop d'emballages? Prenez vos bocaux et allez à La Recharge à Bordeaux ENVIRONNEMENT - Vous aviez pris l'habitude d'apporter vos sacs et paniers pour faire les courses, il faudra désormais ne pas oublier vos bocaux et autres tupperwares. Les Bordelais peuvent depuis ce mardi 8 juillet faire leurs courses dans la première épicerie sans emballage jetable de France. L'initiative existe déjà en Allemagne et en Angleterre. Cette épicerie baptisée La Recharge fonctionne comme un rayon géant de produits en vrac. Comme dans une épicerie classique, il sera possible d'acheter des pâtes, des produits frais, de la charcuterie, des produits d'entretien ou encore des boissons qui viendront de producteurs et d'usines de la région. La vente au détail et au poids n'est pas nouvelle en France. Des produits vendus sans emballage cela permet autant de réduire la quantité de déchets à traiter et à recycler que d'éviter le gaspillage en ne payant que pour la quantité désirée.

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