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Où en est l’Open Data

Où en est l’Open Data
La seconde édition de la semaine européenne de l'open data se tenait cette année à Marseille du 25 au 28 juin 2013 (voir notre compte-rendu de la première édition qui se tenait à Nantes en mai 2012). Et l'impression d'ensemble est très différente de l'année dernière. La technique a-t-elle pris le pas ? Si la semaine était plus européenne (certainement du fait du partenariat avec le projet Homer, un projet européen qui travaille à l'harmonisation des politiques de réutilisation des données publiques), elle était aussi plus technique : la plupart des intervenants, porteurs de projets Open Data pour des collectivités publiques, étaient venus évoquer comment ils mettent en place leurs portails de données publiques. Les enjeux de l'harmonisation ? Gérald Santucci (@GeraldSantucci) est responsable de l'unité "partage des connaissances" à la Direction générale pour les réseaux de communication, les contenus et la technologie de la Commission européenne (la "DG Connect"). L'Open Data européen Related:  Ressources et Outils numériques

FOUR CULTURE – September/October 2013 | freekiosk The magazine of music, literature & compelling societal views Category : Arts & Culture Language : English Content : Sounds, visions, words, voices… 104 pages Loading ... Read about previously unpublished interviews and articles with Rose Redd, Noblesse Oblige, Stephen Hues and many other artists in which their most private thoughts and their secret source of inspiration are unveiled to you. This time, Four Culture interviewed a rising star in entertainment business, Rose Redd. This young singer shared the fears and inspirations that punctuated the beginning of what looks to become a very long lasting career in showbiz. Learn more about her favorite artists, songs she made a cover of and many other tricks that helped her make such a remarkable leap from start. Tags: English

Home'n'go met de l'open data dans la recherche d'appartements Trois jeunes français ont créé Home'n'go, une plate-forme qui permet d'organiser ses recherches et d'y voir plus clair, grâce notamment aux données ouvertes. L'Atelier les avait rencontrés au Camping, accélérateur de start-up, cette semaine. Margaux Pelen et ses deux compères, Adrien Pavillet et Sébastien Zerah, tous trois fraîchement diplômés d'HEC, ont décidé de se lancer dans la création de leur entreprise. Home'n'go est une plate-forme gratuite qui permet aux internautes en recherche de logement, de se créer un profil personnalisé et de classer et commenter leurs résultats émanant de différents sites. Le but? L'important, pour les créateurs de la start-up, est de mettre toutes les chances du côté du client. En projet également, le développement de l'offre de services de Home'n'go. Et le site a déjà fait 3500 adeptes!

Pour une recherche reproductible, publiez vos codes et données En avril, un pavé a été jeté dans la mare de la recherche en économie : l'un des articles économiques les plus cités ces dernières années par les partisans de l'austérité, selon lequel le taux de croissance d'un pays devient négatif quand sa dette dépasse 90 % du produit intérieur brut (PIB), serait entaché d'erreurs de calcul et de manipulations de données. Ce sont trois économistes de l'université du Massachusetts qui ont découvert la fraude après avoir obtenu l'accès à la feuille de calcul Excel que les chercheurs de Harvard Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff avaient utilisée pour bâtir leur démonstration. En cause : des erreurs de formules Excel, une exclusion arbitraire de certaines données et une pondération non conventionnelle - sans lesquelles le résultat ne serait plus du tout probant et ne plaiderait pas en faveur d'un maintien de la dette en deçà de 90 % du PIB.

Libertic Reprenez le contrôle de vos données ! Open Data : le gouvernement favorable aux formats libres et ouverts Lors du dernier Conseil des ministres, qui s'est tenu comme tous les mercredi à l'Élysée, le gouvernement a abordé la question de la mise à disposition des données publiques, qui seront regroupées sur un futur portail en ligne, Data.gouv.fr. À cette occasion, le gouvernement a affiché sa détermination à favoriser l'usage des formats libres et ouverts afin d'encourager la réutilisation des données publiques. Les membres du gouvernement devront veiller "au recensement et à la mise à disposition la plus large possible des données de leur administration, à généraliser l'usage des formats libres et ouverts par les administrations afin d'encourager la réutilisation des données publiques et à inviter tous les établissements publics de l'Etat à participer largement à l'ouverture des données publiques à travers la plate-forme Data.gouv.fr". En début d'année, le gouvernement a lancé la mission Etalab afin de préparer le futur portail Data.gouv.fr.

L’école inversée ou comment la technologie produit sa disparition Je vais vous raconter une expérience qui pousse la logique du « massive open online course » (MOOC), ces cours en ligne ouverts et massifs, jusqu’au bout. Une expérience narrée récemment dans le New York Times par Tina Rosenberg, et qui est le point de départ d’un mouvement qui porte le joli nom d' »école inversée » ou flipped school. Tout commence il y a quelques années, à Clintondale, au nord de Detroit, dans une région loin d’être privilégiée. A la rentrée suivante, ce proviseur demande à un de ses enseignants en sciences sociales de tenter une inversion avec une classe : mettre des cours en ligne et consacrer les heures de classes aux questions et à la pratique. Qu’est-ce que ça change au fonctionnement de l’école ? Ça change surtout ce qui se passe à l’intérieur de la classe. Pour les enseignants, évidemment, ça change beaucoup de choses. « Utiliser la technologie pour humaniser la classe », dit le proviseur, c’est une ambition qu’on pourrait appliquer largement au-delà de l’école.

Et si la culture s’ouvrait à l’opendata? L'opendata est freiné dans le cas des données culturelles en raison d'un article de la loi CADA de 1978 alors qu'il n'a pas lieu d'être, estime Calimaq. Lundi 16 mai, la CNIL a publié une synthèse (Comment concilier la protection de la vie privée et la réutilisation des archives publiques sur Internet ?) qui me paraît importante dans la mesure où elle confirme une intuition que j’ai depuis longtemps : l’exception culturelle prévue par la loi du 17 juillet 1978 (dite loi CADA) en matière de réutilisation des informations publiques est inutile et vide de contenu juridique réel. Il y a un mois, la Fing dans un billet intitulé « La culture est-elle le parent pauvre de l’Open Data ? Les initiatives « open data » dans le monde de la culture semblent en effet encore peu fréquentes. Et elle avançait une cause juridique pour expliquer cet état de fait : Les données culturelles sont-elles plus sensibles que les autres ? La CNIL ayant à mon sens passablement affaibli (atomisé ?) Wikimedia Commons et

wget Wget est un programme en ligne de commande non interactif de téléchargement de fichiers depuis le Web. Il supporte les protocoles HTTP, HTTPS et FTP ainsi que le téléchargement au travers des proxies HTTP. Wget peut travailler en arrière-plan et ainsi vous permettre de lancer un téléchargement et de vous déconnecter du système ! utile car il ne requiert d'action de l'utilisateur et vous permet d'effectuer ses tâches en arrière plan, ce qui peut être très utile pour les téléchargements de données nombreuses et lourdes. Ce logiciel libre permet le simple téléchargement d'un fichier mais aussi la recopie en local de tout ou partie d'un site qui sera par la suite consultable hors-ligne. Pré-requis Disposer d'une connexion à Internet configurée et activée Installation Wget est installé par défaut dans les dernières versions d'Ubuntu. Il est possible de définir certaines des options ci-dessous dans le fichier personnel « .wgetrc ». On peut noter qu'il existe une interface graphique Gwget. 1) #! .

Google+ : bienvenue dans la Matrice La lecture de la semaine est un post du blog techno publié sur le site du Guardian, par Charles Arthur (@charlesarthur), journaliste. Son titre : "Google+ n'est pas un réseau social, c'est Matrix". "Presque tout le monde (moi inclus, dit Charles Arthur) a mal compris ce qu'était Google+. A cause de ressemblances superficielles avec des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter - on peut devenir "ami" avec des gens comme Facebook, on peut "suivre" des gens qui ne vous suivent pas, comme dans Twitter -, on a pensé que Google+ était un réseau social, et on l'a jugé sur ses bases, en concluant qu'il ne fonctionnait pas vraiment : un faible engagement et peu d'impact sur le monde extérieur. Si Google+ était un réseau social, force serait de constater qu'avec ses 500 millions de membres - soit près de la moitié de Facebook ce qui est colossal - ce serait un échec : on entend rarement parler de ce qui se passe sur Google+, et on reçoit peu de lien nous invitant à aller y voir.

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