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Régime de Vichy 1940-1944

Régime de Vichy 1940-1944
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigé par le maréchal Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du au durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie[3], et dont le siège se situe à Vichy[5], situé en zone libre jusqu'en novembre 1942. Au cours de la guerre, cette collaboration prendra plusieurs formes : coopération économique, arrestations de résistants, de francs-maçons, et d'opposants politiques ainsi que de rafles de Juifs sur le territoire métropolitain. Sur le plan militaire, le régime n’est pas un allié officiel pour le Troisième Reich mais le gouvernement Laval reconnaît la Légion des volontaires français (LVF) comme une association d’utilité publique[9] et contribue aussi à l’effort de guerre allemand via la collaboration de son industrie militaire — comme défini dans les conditions d’armistice[10]. Les circonstances[modifier | modifier le code] Related:  manuliza

Gouvernement provisoire 1944-1946 République française[1],[2],[3]Gouvernement provisoire de la République française -2 ans, 4 mois et 24 jours Devise : « Liberté, Égalité, Fraternité » Hymne : La Marseillaise Territoire de la République française en vert foncé, de ses protectorats en vert intermédiaire et des territoires allemands et autrichiens occupés par la France en vert clair. Territoire de la République française en bleu foncé, de ses colonies et ses protectorats en bleu clair, mandat français sur la Syrie et le Liban en vert. Entités précédentes : Le GPRF considéra « illégitime, nul et non avenu » le régime de Vichy qui s'acheva le , par l’exil du maréchal Pétain pour l'Allemagne, ainsi que son reliquat de Commission gouvernementale de Sigmaringen qui prit fin le par l’arrestation de Pétain. Pendant ces deux années, quatre gouvernements provisoires dirigés respectivement par Charles de Gaulle, Félix Gouin, Georges Bidault puis Léon Blum se sont succédé. Création[modifier | modifier le code]

Discours de Bayeux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les discours de Bayeux sont deux discours prononcés par le général de Gaulle dans le contexte de la Libération, après le débarquement de Normandie en et dans l'immédiat après-guerre en . Ils ont été prononcés sur la place publique située à proximité de la sous-préfecture de Bayeux (ancienne place du château, dénommée depuis 1946 Place de Gaulle)[1]. Premier discours de Bayeux[modifier | modifier le code] Quelques jours après le débarquement de Normandie, le général de Gaulle souhaite symboliquement poser le pied sur son sol natal pour rencontrer les Français dans une des premières villes libérées. Arrivé à Bayeux le , il prononce un discours dans cette ville, avant d'aller pour la première fois aux États-Unis pour rencontrer des scientifiques français qui travaillent sur la force nucléaire, et Franklin Roosevelt. Deuxième discours de Bayeux[modifier | modifier le code] La volonté d'une nouvelle Constitution[modifier | modifier le code]

Lois Jules Ferry Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ferry. Lois Jules Ferry 1881-1882[modifier | modifier le code] L'obligation d'instruction[modifier | modifier le code] C'est une obligation d'instruction et non de scolarisation, l'article 4 indiquant que l'instruction peut être donnée dans les établissements d'instruction, les écoles publiques ou libres ou dans les familles. L'école elle-même n'a donc jamais été obligatoire ni dépendante. Contexte des lois Ferry[modifier | modifier le code] Les lois de l'enseignement de Jules Ferry sont aussi fondées sur la conviction qu'une éducation permet l'introduction progressive des idées républicaines dans les régions de France les plus isolées. Conséquences des lois Ferry[modifier | modifier le code] L'enseignement est donné en français, diffusant ainsi à l'échelle du territoire national l'usage d'une même langue. Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Laïcité en France

1936 : lois sociales du Front Populaire En juin 1936, le gouvernement du Front Populaire, dirigé par Léon Blum, adopte de grandes mesures sociales qui vont changer la vie des Français. Qu'est-ce que le Front Populaire ? Le Front Populaire, en France, désigne l'alliance gouvernementale des partis de gauche (socialiste, communiste, radical) mise en place pour les élections législatives de 1936. Sur la photographie illustrant la victoire électorale, on distingue de gauche à droite Léon Blum (SFIO, socialiste, qui devient président du conseil), Edouard Daladier (au second plan, roulant une cigarette, parti radical, ministre de la Défense), Maurice Thorez (parti communiste) et Roger Salengro (SFIO, ministre de l'Intérieur). Quelles sont les grandes mesures sociales ? deux semaines de congés payésla semaine de 40 heures au lieu de 48 heuresles conventions collectives A partir de juillet, la grève décroît progressivement. Que reste-t-il du Front Populaire ?

Morts pour la France de la Première Guerre mondiale Plus de 1,3 million de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu la mention "Mort pour la France" figurent dans cette base de données. A l’occasion du 11 novembre 2014 et dans le cadre du centenaire du conflit, la direction des Patrimoines, de la Mémoire et des Archives met également à disposition les 95 000 fiches des soldats n’ayant pas obtenu la mention et composant le reste du fichier général. Ces fiches correspondent en partie à des cas non instruits pour l’obtention de la mention. Cette base a été constituée par la numérisation et l’indexation des fiches élaborées au lendemain de la Première Guerre mondiale par l’administration des anciens combattants et aujourd’hui conservées par le ministère de la Défense. La mention "Mort pour la France" est accordée, suivant certaines conditions, en vertu des articles L488 à L492bis du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre.

Quatrième République Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. République françaiseQuatrième République 1946 – 1958&&&&&&&&&&&0437411 ans, 11 mois et 21 jours Ce nouveau régime républicain connaît de sérieuses difficultés pour dégager des combinaisons politiques stables, l'essentiel du pouvoir étant détenu par une Assemblée nationale au sein de laquelle ne se dégage pas de majorité claire. La formation de la Quatrième République[modifier | modifier le code] Les origines de la Quatrième République[modifier | modifier le code] La première Assemblée constituante[modifier | modifier le code] Projection graphique de la composition de la première Assemblée constituante issue des élections législatives de 1945 PCF : 27,13 % des voix, 159 sièges MRP : 25,60 % des voix, 150 sièges SFIO : 24,91 % des voix, 146 sièges Radicaux & UDSR : 12,12 % des voix, 71 sièges « Modérés » (droite) : 9,04 % des voix, 53 sièges Autres : 1,2 % des voix, 7 sièges La deuxième Assemblée constituante[modifier | modifier le code]

Cinquième République Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Cinquième République, ou Ve République, est l'actuelle forme du régime républicain en vigueur en France. Elle succède, le , à la Quatrième République, instaurée en 1946, et marque une rupture par rapport à la tradition parlementaire de la République française dans la volonté de renforcer le rôle du pouvoir exécutif. Mise en place[modifier | modifier le code] Des juristes ont argué que la mise en place de la Cinquième République s'est opérée selon une procédure non constitutionnelle et doit être considérée comme un coup d'État : en effet, la Quatrième République ne prévoyait pas la possibilité de modifier la constitution par référendum. Vers l'élection du président au suffrage universel[modifier | modifier le code] Un référendum est organisé en 1962 par le président de Gaulle pour modifier à nouveau le mode d'élection du président de la République. L’élection du président au suffrage universel conduit à la personnification du pouvoir.

3 mai 1936 - Un Front populaire en France - Herodote.net Le 3 mai 1936 a lieu en France le deuxième tour des élections législatives. Le scrutin donne la majorité à une coalition de gauche, le Front populaire, conduite par un chef charismatique, le socialiste Léon Blum (64 ans). Une victoire longtemps attendue Le Front populaire est une alliance électorale conclue deux ans plus tôt par les trois grands partis de gauche : le parti communiste de Maurice Thorez, le parti socialiste de Léon Blum et, plus près du centre, le parti radical-socialiste d'Édouard Daladier. Sa victoire soulève dans les classes populaires un espoir d'autant plus grand que le pays est tétanisé depuis plusieurs années déjà par la crise économique dérivée du krach de Wall Street de 1929. À peine le gouvernement est-il installé que se multiplient dans tout le pays les grèves et les occupations d'usines, de chantiers et de magasins, dans l'espoir d'un renversement du système capitaliste. Ces grèves sur le tas gagnent très vite l'ensemble du secteur privé. Réformes tambour battant

Sépultures de guerre Les fichiers des sépultures de guerre ont été constitués au moment de la création des nécropoles nationales à la fin de la Première Guerre mondiale. Ils comportent environ 700 000 fiches cartonnées rédigées à la main, dont la saisie informatique a débuté en 1997 et se poursuit à l'heure actuelle. Les fiches originales sont souvent incomplètement remplies et comportent des erreurs, notamment dans l'orthographe des noms et la numérotation des tombes. Compte tenu du nombre de sépultures, il est difficile de procéder à des vérifications systématiques. Si vous rencontrez les anomalies, merci de les signaler afin qu'elles puissent être corrigées. Office National des Anciens combattants et Victimes de GuerrePôle des Sépultures de Guerre et des Hauts Lieux de la Mémoire Nationale Cité administrative CS 71075 57036 METZ cedex 01 Tel : 03.87.34.77.57 Fax : 03.87.34.79.39 sepultures.pennhlm@orange.fr

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