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Plongée dans la "pieuvre" de la cybersurveillance de la NSA

Plongée dans la "pieuvre" de la cybersurveillance de la NSA

MATRIX – Ce que nos données Gmail révèlent de notre vie sociale Que contiennent les métadonnées transmises par Google à la National Security Agency (NSA) américaine ou celles qu’observe en France la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) ? Les métadonnées sont l’enveloppe d’une donnée, son contenant. Dans le cadre d’une conversation téléphonique, ce seront par exemple les fadettes, les factures détaillées des appels émis et reçus et les numéros contactés, mais pas le contenu de la conversation. Dans le cas d’un courrier électronique, ce sera le nom et l’adresse de la personne à qui l’on écrit, le volume de courriers envoyés et reçus, etc. L’accès à ces données techniques constitue-t-il de l’espionnage ? Le tout nouvel outil Immersion, développé au Massachusetts Institute of Technology (MIT) par le professeur César Hidalgo et ses étudiants, apporte d’intéressants éléments de réponse à cette question, et montre qu’avec les seules métadonnées, on peut en savoir beaucoup sur une personne, ses fréquentations et ses réseaux.

La DGSE a le « droit » d’espionner ton Wi-Fi, ton GSM et ton GPS aussi La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux français) ne serait pas, en l'état, en mesure de collecter "systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France". Une chose est de stocker "tous les mots de passe" qu'elle a pu intercepter sur les "réseaux grand public", comme je l'avais écrit en 2010 (voir Frenchelon: la DGSE est en « 1ère division »), une autre est de pouvoir espionner "la totalité de nos communications", en France, comme l'écrivait Le Monde, la semaine passée, avec ses "Révélations sur le Big Brother français". A contrario, et comme l'écrivait Le Monde mi-juin, la DGSE est bien "au cœur d'un programme de surveillance d'Internet" lui permettant de surveiller "le flux du trafic Internet entre la France et l'étranger en dehors de tout cadre légal"... Le monde a bien changé depuis les plombiers de la DST Espionner les FAI ? Comment les internautes sont mis sur écoute Son article date de 2001.

Revealed: how Microsoft handed the NSA access to encrypted messages | World news Microsoft has collaborated closely with US intelligence services to allow users' communications to be intercepted, including helping the National Security Agency to circumvent the company's own encryption, according to top-secret documents obtained by the Guardian. The files provided by Edward Snowden illustrate the scale of co-operation between Silicon Valley and the intelligence agencies over the last three years. They also shed new light on the workings of the top-secret Prism program, which was disclosed by the Guardian and the Washington Post last month. The documents show that: • Microsoft helped the NSA to circumvent its encryption to address concerns that the agency would be unable to intercept web chats on the new Outlook.com portal; • The agency already had pre-encryption stage access to email on Outlook.com, including Hotmail; • Material collected through Prism is routinely shared with the FBI and CIA, with one NSA document describing the program as a "team sport".

Les Anonymous s'attaquent-ils à Israël ? - Hacker ouvert - Le Nouvel Observateur Anonymous auraient-ils décidé de s'attaquer à Israël ? Les sites web de l'armée israélienne, des services de renseignements (Mossad) et de ceux de la Sécurité intérieure (Shin Beth) étaient inaccessibles ce dimanche 6 novembre, soit deux jours après une menace des Anonymous de riposte à l'arraisonnement d'une flottille pour Gaza. Plusieurs sites ministériels auraient également été mis hors ligne. Les sites ont été bloqués plusieurs heures. Anonymous n'a pas (encore) officiellement revendiqué cette attaque, mais le quotidien israélien "Haaretz" y voit l'ombre du groupe. "Lettre ouverte d'Anonymous au gouvernement d'Israël" Deux jours plus tôt, Anonymous avait posté une vidéo où le groupe menaçait de riposter à l'arraisonnement de deux bateaux qui tentaient de briser le blocus israélien de la bande de Gaza. Le Nouvel Observateur avec AFP

NSA slides explain the PRISM data-collection program U.S. intelligence mining data from nine U.S. Internet companies in broad secret program The National Security Agency and the FBI are tapping directly into the central servers of nine leading U.S. Internet companies, extracting audio and video chats, photographs, e-mails, documents, and connection logs that enable analysts to track foreign targets, according to a top-secret document obtained by The Washington Post. The program, code-named PRISM, has not been made public until now. It may be the first of its kind. The NSA prides itself on stealing secrets and breaking codes, and it is accustomed to corporate partnerships that help it divert data traffic or sidestep barriers. But there has never been a Google or Facebook before, and it is unlikely that there are richer troves of valuable intelligence than the ones in Silicon Valley. Equally unusual is the way the NSA extracts what it wants, according to the document: “Collection directly from the servers of these U.S. PRISM was launched from the ashes of President George W. Sens. Roots in the ’70s A ‘directive’ “Yahoo!

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